Prêtre incardiné dans le diocèse de Vannes, l’abbé Jean-Eudes Fresneau a décidé de rejoindre la communauté des capucins de Morgon. Le prêtre, qui prenait encore ses distances avec le magistère de l’Eglise, ne porte plus le col romain et s’est laissé pousser la barbe. « Une décision pour laquelle mon évêque a été au courant »: le père François-Marie, comme il faudra désormais l’appeler, a voulu être discret autant que possible dans une démarche qu’il entend dédier à la conversion – la sienne, celle de nos contemporains et celle de l’Église. Il se retrouve ainsi chez les capucins de Morgon, une communauté traditionnelle d’inspiration capucine liée à la Fraternité Saint-Pie X. L’abbé Fresneau rejoint le Couvent Saint-François, l’un des trois couvents de la communauté de Morgon. Dans son choix, l’abbé Fresneau dit avoir été marqué par la figure du père Eugène de Villeurbanne, le fondateur de cette communauté, à la lecture de l’ouvrage d’Yves Chiron, Veilleur avant l’aube : le père Eugène de Villeurbanne (Clovis,
« Un changement étonnant » selon ses proches
Pour ses proches, « c’est vraiment un changement étonnant. On l’a connu en pointe sur certains sujets, très critiques sur certaines positions ecclésiales. Mais il a aussi travaillé de son côté, en lisant des livres, ou même Riposte catholique ». Pour notre part, nous estimons ne pas avoir été pour grand chose dans cette démarche: c’est l’affaire de la Providence. On pourra lire avec intérêt la lettre d’adieu de l’ancien abbé Fresneau, appelé désormais vers de nouveaux horizons.
Bien joué. Connaissant le bonhomme depuis 30 ans, je n’y ai pas cru une seconde, mais j’ai bien rigolé.
😅😅😅
Vous ne pensez pas que vous avez des choses plus intéressantes à faire que des bouffonneries ?
Quand on voit l’Eglise qui tombe ne ruines, l’apostasie généralisée jusqu’au plus haut sommet de l’Eglise il n’y pas de quoi rire.
L’intéressé l’a bien pris ! Malgré tout le mal qu’il pense de Riposte catholique et du « tradiland ». Du sain humour, cela ne fait pas de mal. J’aimerais aussi que l’on cesse de se prendra au sérieux, que l’on se considère comme des serviteurs inutiles et que l’on médite sur la parabole du bon grain et de l’ivraie.
https://x.com/FresneauJean/status/1907204380325191925
Trés bon poisson d’avril