Mgr Joly, évêque de Troyes, annonce la vente à la ville de Troyes de la maison diocésaine Notre-Dame en l’Isle, véritable feuilleton local; le département avait retiré son offre en mars dernier. Les services diocésains vont déménager dans de nouveaux bâtiments rue Danton d’ici trois à quatre ans :
Le service communication du diocèse a interrogé à ce sujet Mgr Joly, qui a expliqué : “Nous avons mené un grand chemin de discernement et un temps de réflexion. Ce qui a mené à la décision de vendre Notre-Dame-en-l’Isle et d’acquérir l’école Danton à Troyes, plus modeste et plus à notre taille, tout près de la cathédrale. Et vu le montant de cette vente, il fallait obtenir l’autorisation du Saint Siège. Et je viens de recevoir la licence pour effectuer cette opération immobilière. C’est donc un feu vert que je viens de transmettre à François Baroin.
Nous allons travailler avec les services de la ville de Troyes. Et puis nous allons définir un projet passionnant pour savoir quel projet pastoral et humain nous souhaitons pour la nouvelle maison diocésaine. Un projet de vie, de fraternité, d’ouverture aux plus fragiles, pour une maison qui ait du sens. Un projet qui ait aussi de la souplesse et dans lequel les gens puissent se projeter. Il nous faudra un programme d’architecture pour traduire tout cela.
Je pense qu’on est à une échéance de trois ans pour intégrer les nouveaux locaux de Danton, trois ou quatre ans peut-être. Ce que l’on m’avait présenté comportait un double aspect de mise en valeur du patrimoine et de transmission. Cela correspond d’ailleurs bien à l’histoire de la tête du Bouchon de Champagne”.
grande reflexion et discernement , litote pour ce qui n’est qu’un bradage du patrimoine catholique dont la nouvelle eglise n’a que faire
Oui au précédent commentaire : toujours ces nouveaux mots woke verbeux au lieu de s’exprimer normalement et intelligemment : Même nos curés sont gangrénés par le modernisme progressisme à la mode, sous des termes peccadilleux qui se refusent à énoncer qu’un chat est un chat..
c’est une tragédie patrimoniale