Nous avons pu consulter le trombinoscope 2023-24 du séminaire des Carmes à Paris qui compte actuellement 27 séminaristes dont deux en première année et trois en seconde. Parmi les deux séminaristes de première année il y en a un du Havre. Si, si.
- 1ère année : 1 du Havre, 1 des MEP (missions étrangères de Paris)
- 2e année : 1 des MEP, 1 de Saint-Dié, 1 de Verdun
- 3e année : 2 de Lille, 2 de Nanterre, 1 de Versailles
- 4e année : 3 de Versailles, 1 de Pontoise, 1 de Besançon, 1 de l’eparchie saint Vladimir (ukrainiens), 1 de la congrégation de la Mission et un MEP en stage intercycles.
- 5e année : 2 de Créteil (dont un MEP), 1 MEP, 1 de Créteil, 1 de Monaco, 1 d’Arras, 1 de Quimper, 1 de Nanterre
- 6e année : deux diacres issus des MEP, dont un de Saint Denis (en France)
Soit 7 séminaristes issus des MEP, congrégation dont on ne sait encore si elle va survivre à la double déflagration de l’affaire de Salvert qui vise aussi un évêque auxiliaire de Strasbourg, Gilles Reithinger et à l’affaire Colomb.
Vous avez déjà consacré un article à l’abbé Pascal Thuillier, recteur du Séminaire des Carmes. Je l’ai connu vicaire à Saint Nicolas du Chardonnet et il a été professeur à Ecône. Il cache bien son jeu. Il sera toujours mieux qu’un de ses prédécesseurs aux Carmes qui prêchait à ses séminaristes : “ne soyez pas des prêtres d’ancien régime”. A t-il lui encore en tête l’exemple d’Ecône ?
Le printemps conciliaire….
La débandade en acte !