Lu dans le bulletin hebdomadaire des Veilleurs – ces fidèles qui prient devant l’archevêché de Paris, tous les midis en semaine les jours ouvrables, pour le rétablissement des messes injustement supprimées par Mgr Aupetit, à Notre-Dame du Travail, saint-Georges de la Villette etc :
“Dieu veut sans doute éprouver, tester, la fidélité de ceux qui se battent pour la préservation de lex orandi très pure de l’Église romain et de ce qui l’accompagne, essentiellement le catéchisme catholique. Et il bouscule tout risque d’« embourgeoisement » des bénéficiaires de ces biens.
Il faut savoir que nous ne sommes pas seuls dans le monde à protester avec persévérance et ténacité. À Washington, depuis juin 2022, date à laquelle des restrictions de messes ont été annoncées, un groupe de fidèles organise un rassemblement tous les samedis à 9h, pour prier le Rosaire devant la nonciature apostolique, occupée par le nouveau cardinal français, Mgr Christophe Pierre, très hostile à la liturgie traditionnelle. Il s’agit de fidèles des diocèses de Washington DC et d’Arlington qui prient pour la liberté des messes traditionnelles dans leurs diocèses.
Riposte catholique nous apprend qu’ils ont également organisé trois pèlerinages à pied depuis la cathédrale Saint-Thomas More d’Arlington jusqu’à la cathédrale Saint-Matthieu de Washington, en priant pour la fin des restrictions et la restauration de la messe traditionnelle.
Saint Ambroise, dans une leçon des Matines de Noël, compare les bergers de Bethléem aux pasteurs de l’Église, c’est-à-dire aux évêques. Mais, ajoute-t-il, « le Seigneur n’a pas seulement commis les évêques à la défense du troupeau, mais il y a aussi destiné les anges. » Si donc les évêques nous manquent, il nous reste les anges de Dieu !
Nos chapelets continuent devant les bureaux de l’archevêché, 10 rue du Cloître-Notre-Dame, cette semaine et la suivante du mardi au vendredi, de 13h à 13h 30 (pas le lundi de Noël, ni le lundi de l’Octave, le 1er janvier), à quoi s’ajoutent les chapelets à Saint-Georges de La Villette, le mercredi à 17h, et devant Notre-Dame du Travail, le dimanche à 18h”.