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Le Mans : un prêtre de l’Emmanuel renvoyé de l’état clérical

Commentaires (4)
  1. Jacques Fauchille dit :

    Leurs déclarations de l’esbroufe !

  2. karr dit :

    Je vais peut-être scandaliser, mais je me demande comment des femmes adultes ne réagissent pas par une paire de gifles, nous ne vivons plus en 1900, à moins que cet homme n’ait utilisé la force .
    Un signalement engendrant un encadrement du prêtre, l’interdiction de confession et d’accompagnement spirituel temporaire ou définitif seraient peut-être efficaces et suffisants .
    L’agression d’enfants et de personnes fragiles me parait-être un crime bien plus grave ,ou bien encore les prêtres vivant en concubinage .

  3. Pol dit :

    Ce sont les fruits de l’effusion de l’esprit des sessions de Neuilly-en-Charolais (autrefois appelée Paray-le-Moniale)

  4. Anne C. M. dit :

    Bonjour Karr. Je ne sais pas si vous avez été vous-même victime d’abus ou d’agressions, mais cela paraît si simple quand on ne l’a pas été. Pour avoir moi-même été victime d’agressions sexuelles dans ma jeunesse (par des inconnus), je peux vous dire qu’il se passe des choses chez les victimes qui font que la dénonciation (et le fait de se reconnaître victime) sont beaucoup plus compliqués qu’il n’y paraît. De plus, il n’y a pas de gradation dans la gravité des crimes sexuels : tous ces crimes, quelles que soient les victimes, sont graves de toute façon ; merci de ne pas faire de classement dans la gravité de ces crimes car cela pourrait être particulièrement mal ressenti par les personnes qui, selon vous, ont subi des crimes moins graves (elles pourraient se sentir comme des victimes de seconde zone) ; quand on est victime, on est victime : point final. Se remettre de ce genre de crimes est suffisamment long et douloureux pour ne pas en plus s’entendre dire que ce dont on a été victime est moins grave… Merci de votre compréhension.