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La synthèse du synode sur la synodalité, “un désastre du début à la fin” pour le supérieur de la FSSPX

Commentaires (11)
  1. Courivaud dit :

    maintenant que l’on sait que ce synode “ce n’est pas bien”, qu’on le sait bien, et plus que bien, et encore très bien, passons à l’étape suivante : brûlons un cierge devant notre saint préféré (moi, ce sera saint Martial ou mon saint Patron, tout dépend de l’église où je mettrai mon cierge) pour que ce synode coule.
    Et pensons aussi à l’étape qui suivra celle-ci : demander des comptes au Vatican pour tout cet argent gaspillé, surtout s’il est prélevé sur les dons des fidèles, un argent qui aurait pu être donné aux pauvres (des vrais, pas ceux de Judas Iscariote et présentement, du pape Bergoglio : on le sait déjà !). Ce serait la moindre des choses : ouvrir des ponts et fenêtres, ce n’est pas jeter de l’argent sur les ponts et par les fenêtres, mais commencer par être transparent dans le geste, sans ostentation ni démagogie.

  2. teddy dit :

    Seigneur venez a notre aide et a notre secours !!!! ils font n importe quoi….

  3. Roannais dit :

    Georges Bergoglio et ses affidés sont comme chez eux dans l’Eglise, détruisant celle-ci pan par pan. On détricote l’héritage peu à peu . Personne ne réagit.
    Les évêques sont tétanisés comme la souris devant la vipère. A quand des réactions groupées des évêques? Ce sont de préfets catholique acquiescent devant le scandale de ce synode.
    On assiste au phénomène de la grenouille bouillie , on chauffe insensiblement et à la fin , l’Eglise est détruite.

  4. Pitoune dit :

    Quand on réfléchit bien, c’est un retour au temps d’avant l’unique Pentecôte.
    Leur volonté est claire et limpide, anéantir tout rôle apostolique de l’Eglise.
    Leur ruse est d’avoir réussi à occuper la place de ceux qui devraient l’assumer.
    Ce synode est un reniement du Credo. (une, sainte, catholique et apostolique)

  5. Courivaud dit :

    à Roannais
    C’est l’Eglise “terrestre” qui peut être détruite, surtout si les cardinaux, les “gardiens de la porte”, ne veulent pas emppêcher que les ennemis de l’Eglise catholique pénètrent au sein du gouvernement du successeur de saint Pierre, et ne sont pas prêts à donner leur sang pour que “porta inferi non praevalebunt” (c’est le sens de la pourpre qu’ils portent tous les jours (j’espère).
    Il est plus que temps que les cardinaux agissent, et notamment Mgr Burke qui avait pourtant annoncé qu’il ferait une correction fraternelle publique au pape François 1er ; il l’a annoncé en 2016 : que n’a-t-il fait depuis ?
    Et tant d’autres : le cardinal Sarah, par exemple.
    Vous vous êtes vous posé la question de savoir si l’on a VRAIMENT affaire à des cardinaux ?
    En tout cas, les prélats ne protègent plus le “troupeau” des fidèles de tous ces brigandages, divers et variés.

    à nous, les fidèles d’agir puisque les prélats ne veulent pas le faire à leur vraie place (je me répète).

  6. Benoît YZERN dit :

    Deux réflexions ou remarques.

    Premièrement, les clercs synodalistes des années 2020 sont les continuateurs d’autres clercs, conciliaires, qui, dans les années 1960, ont accepté de se faire laver le cerveau, en aval de toute une période de prélavage philosophique et théologique qui a commencé à se concrétiser dès les années 1930, et qui a continué à se manifester davantage à partir de 1945.

    Or, il serait particulièrement intéressant de savoir dans quelle mesure les clercs synodalistes ont bien conscience du fait qu’ils sont les continuateurs de leurs prédécesseurs, en tant que “bénéficiaires” de ce lavage de cerveau collectif, ou plutôt collégial, car il n’est pas a priori anodin de s’inscrire dans le sillage d’évêques qui, au moment et au moyen du Concile, ont dit oui à n’importe quoi, dans bien des domaines.

    Deuxièmement, il est absolument ahurissant que presque personne ne relève ou ne souligne ce qui suit : avec son processus synodal, le pape François voudrait détourner l’attention, faire diversion dans les esprits, afin que presque personne ne s’intéresse et ne s’interroge sur l’échec du Concile et la faillite de l’après-Concile, qu’il ne s’y prendrait absolument pas différemment.

    Quand on fonctionne fréquemment sur le mode “projet”, on fonctionne rarement sur le monde “bilan”, or, de même que le Concile constitue, aujourd’hui encore, un “objet – totem”, de même le bilan du Concile constitue, encore aujourd’hui, un extraordinaire “sujet – tabou”.

    Pour que nous en soyons arrivés là, c’est que quelque chose ne tourne absolument pas rond, à l’intérieur du mode de détection et de formation, puis de promotion et de sélection des futurs évêques, et c’est à cela qu’il va falloir remédier, pour pouvoir sauver l’Eglise malgré bien des clercs.

  7. Benoît YZERN dit :

    La situation est d’autant plus cocasse que, à l’origine, le remplacement ou, en tout cas, la transformation du catholicisme par le néo-catholicisme, à partir de 1945, notamment sous l’impulsion de Chenu, Congar, Maritain, Mounier, Rahner, Teilhard, a eu pour objectif de permettre aux fidèles d’acquérir des capacités de réflexion personnelle et de devenir des chrétiens “adultes” dans l’Eglise et la foi.

    A contrario, aujourd’hui, il crève les yeux et les oreilles que seuls des catholiques abêtis, au moins depuis le début des années 1960 et du Concile, notamment par un anthropocentrisme ou un humanitarisme plus sentimental que théologal, peuvent adhérer au registre d’expressions et d’omissions caractéristiques de l’idéologie, de la novlangue ou de la phraséologie inclusiviste, périphériste et synodaliste.

    La remarque qui précède devrait, à elle-seule, faire réfléchir tous ceux qui ne voient pas où est le problème, avec ce pontificat déconstructeur et avec ce processus synodal, en aval duquel, un peu après 2030, nous pourrions très bien commencer à avoir droit à des évêques homosexuels, vivant en couple, avec ou sans enfants, sans que cela choque ou gêne outre mesure les catholiques qui ne jurent que par le “discernement évangélique dans la miséricorde et dans l’ouverture sur les peripheries”, confessionnelles et existentielles.

  8. Juliette dit :

    « Élargis l’espace de la tente » ! … dans ce cas particulier entendre élargis la destruction de l’Eglise sans doute !

    « Élargis l’espace de la tante » irait mieux pour le programme détaillé des conciliaires modernistes !

    « Élargis l’espace de l’attente » ça les catholiques qui ont gardé la foi, l’ont bien compris, de la part des artisans du synode ils peuvent toujours attendre …

  9. Boulé dit :

    Un synode qui se veut porte d’entrée dans la nouvelle église oecuménique mondialiste, cela peut hélas devenir réalité, avec un pape et des cardinaux aveuglé par le libéralisme et adepte d’un humanisme débridé, de plus soumis à la pression du nouvel ordre mondial avec toutes ces caractéristiques antichristique
    Reste notre prière de supplication pour toucher le cœur de Notre Seigneur Jésus christ pour qu’il vienne au secours de son Eglise catholique apostolique romaine

  10. Courivaud dit :

    Prier sans doute mais agir dan la continuité de la prière, Boulé, c’est plus important.
    Le recours exclusif à la prière en temps de grave crise ne saurait être un mantra.
    Comment ont fait les cristeros du Mexique ou le Vendéens sous la Terreur ? .
    Et l’initiative, dans ces deux cas, est venu de ceux qui avaient le sensus fidei.
    Nous sommes à présent dans une situation comparable aujourd’hui et à la manière de saint Jacques, la charité nous presse d’agir. Des initiatives de fidèles existent en ce moment, informez-vous !

  11. fg dit :

    Garder la foi catholique et obéir au pape devient un numéro de cascadeur.