Paix Liturgique continue de revenir sur le colloque Desiderio Desideravi à Paris, et notamment sur l’intervention de Mgr Viola, secrétaire du dicastère pour le culte divin. Voilà ce que les participants du colloque, enfermés à double tour dans la crypte de l’église Saint-Honoré d’Eylau, ne voulaient pas que leurs fidèles sachent… raté.
“Dans notre lettre 937 publiée le 22 mai 2023, nous avons donné une vue d’ensemble sur cet important colloque liturgique, organisé par le Service national de la pastorale liturgique et sacramentelle (SNPLS), qui s’est tenu dans la crypte de Saint-Honoré d’Eylau. Nous rapportons aujourd’hui les grandes lignes de la conférence – de la méditation, pardon – de Mgr Viola, Secrétaire du Dicastère pour le Culte divin, remplaçant au pied levé le cardinal Arthur Roche qui avait invoqué des raisons de santé pour expliquer son absence au colloque. Confier cet exercice à Mgr Viola était d’autant plus naturel qu’il passe pour être le principal rédacteur de la lettre apostolique – en forme de médiation… – Desiderio desideravi, qui se veut un hymne à la réforme bugninienne et un acte de décès définitif de la liturgie antérieur. Exercice typique de circuit-fermé, par conséquent, en parfaite consonance avec l’autocélébration d’une assemblée de convaincues qu’est la nouvelle liturgie.
Le pape François veut… la paix liturgique
« L’intention du pape François n’est certainement pas de déclencher une guerre en interrompant une paix liturgique, d’ailleurs très présumée. » Ces mots de Mgr Vittorio Viola montrent qu’on est parfaitement conscient au Dicastère pour le Culte divin et la Discipline des Sacrements non seulement de l’opposition suscitée par le Motu proprio Traditionis custodes, mais du vocabulaire et des arguments de cette opposition – « Paix liturgique » en tête !
Le cardinal préfet du Dicastère, Arthur Roche, aurait probablement présenté un exposé moins fouillé, moins profond. Son secrétaire-archevêque, Vittorio Francesco Viola, OFM, avait visiblement un double objectif en prenant longuement la parole (en italien) devant un parterre généralement acquis à la liturgie réformée : dénoncer l’attachement qui perdure à la messe traditionnelle, et justifier théologiquement le remplacement de force de cette dernière par la messe issue du concile Vatican II.
Il voulait montrer qu’il fallait fonder ce choix sur l’application du Concile, au nom de l’ecclésiologie et de principes théologiques qui restèrent cependant dans un certain flou, comme si Viola ne voulait assumer ouvertement les points précis de rupture ou de changement. Flou facilité par le fait qu’il déclara vouloir présenter une « méditation » plutôt qu’un « traité ». C’est ce qu’il affirmé dès l’introduction de son propos en annonçant vouloir s’attarder « sur le sens théologique de la liturgie ». Ce qu’il fit en effet, mais principalement dans une direction : l’amour de Dieu pour les hommes et ce que la liturgie fait pour eux a été bellement affirmé, mais l’aspect du culte d’adoration rendu à Dieu à travers la liturgie qu’Il nous donne était bien moins présent, et le caractère sacrificiel et propitiatoire de la messe étaient pour ainsi dire ignorés.
A cette fin, rien de mieux en effet que de se centrer sur la lettre Desiderio Desideravi (DD) du pape François qui vise à présenter à tous, « tout le peuple de Dieu », « les arguments qui veulent motiver Traditionis custodes de manière positive et convaincante afin qu’elle ne reste pas un simple texte juridique ».
Mgr Viola venait de se réjouir de la disparition de la distinction entre « forme ordinaire » et « forme extraordinaire » de « l’unique rite romain », « fait sans précédent dans la tradition romaine », par le retour à « l’unité rituelle ».
« Dans cette intention, DD est plus “tridentine” qu’on ne pourrait le penser », assurait le représentant du Dicastère : « En fait, dans la bulle Quo Primum (14 juillet 1570) par laquelle le Missale Romanum a été promulgué, saint Pie V déclare que “de même que dans l’Église de Dieu il n’y a qu’une manière de psalmodier, de même il est suprêmement convenable qu’il n’y ait qu’un seul rite pour célébrer la messe. » Qui ne soit plus le rite tridentin…
Il fallait oser. Sur l’unité dans la diversité qu’a conforté l’œuvre de saint Pie V, vois dans le dernier numéro de Sedes Sapientiae (n°163, mars 2023), revue de la Fraternité Saint-Vincent Ferrier, l’article de l’abbé Gabriel Diaz Patri, « L’unicité du missel romain au regard de l’histoire. » Car dans Quo Primum, dès le paragraphe suivant, on lit qu’aucun indult, privilège ou confirmation apostolique ne peut permettre de déroger à la règle d’utilisation du Missel tridentin, « à moins que depuis la première institution approuvée par le Siège Apostolique ou en vertu de la coutume, cette dernière ou l’institution elle-même aient été observées dans ces mêmes églises depuis deux cents ans au moins, d’une façon continue, pour la célébration des messes. Dans ce cas, Nous ne supprimons aucunement à ces églises leur institution ou coutume de célébrer la messe ; mais si ce Missel que Nous avons fait publier leur plaisait davantage, de l’avis de l’Évêque ou du Prélat, ou de l’ensemble du Chapitre, Nous permettons que, sans que quoi que ce soit y fasse obstacle, elles puissent célébrer la messe suivant celui-ci. »
Quant à la suite, que Mgr Viola n’ignore certainement pas, elle contient les avertissements de saint Pie V sur la validité « à perpétuité » de sa codification de la messe, et son commandement : « que jamais rien ne soit ajouté, retranché ou modifié à Notre missel, que nous venons d’éditer ». Certes, les papes qui suivirent immédiatement saint Pie V, puis d’autres papes, jusqu’à Pie XI, Pie XII, Jean XXIII, apportèrent quelques modifications, dont font état les éditions typiques successives jusqu’à celle de 1962, mais ils préservèrent intégralement l’édifice transmis par le missel tridentin, qu’est venu abattre la réforme – ou plutôt révolution – de Paul VI.
Tout cela étant passé sous silence, Quo Primum ayant été caviardé sans états d’âme, Mgr Viola assurait : « DD veut faire en sorte que le peuple de Dieu ressente comme une nécessité, et pas seulement comme une obligation imposée, de retrouver l’unité du rite romain sous la forme voulue par le Concile, expression la plus haute de la synodalité de l’Église ».
Inutile de rappeler que la réforme liturgique fut menée à terme (on n’ose écrire : « à bien ») plusieurs années après la clôture du Concile, mais l’idée reviendra à plusieurs reprises non seulement dans la conférence de Mgr Viola, mais tout au long du colloque : il faut opérer un incessant va-et-vient entre Sacrosanctum Concilium, qui assura « la redécouverte de la compréhension théologique de la liturgie », et Lumen Gentium et la liturgie réformée pour comprendre celle-ci. Quant au peuple, il lui revient sans doute d’imiter Winston dans les dernières pages de 1984 : « Et il aimait Big Brother. »
Reprenant l’idée que la « tolérance » offerte par Benoît XVI aux « personnes qui ont été formées dans la liturgie précédente (…) a ensuite été comprise comme une promotion de cette forme rituelle », et le « rejet » de la réforme et du Concile Vatican II dénoncé dans la lettre de François accompagnant Traditionis custodes, Mgr Viola commentait : « La teneur souvent âprement polémique de la réflexion sur la question liturgique confirme malheureusement cette affirmation ». Et c’est là qu’il évoqua la « paix liturgique » dont il nie jusqu’à l’existence passée. Oui, il y a une guerre, mais ses fauteurs se trouvent du côté de ceux qui ont rejeté l’unicité du rite romain, comprend-on.
Continuer la marche en avant
Aussi Mgr Viola a-t-il insisté : « Desiderio Desideravi [DD] veut reprendre et relancer le chemin de la réforme liturgique qui, à certains égards, malgré les nouveaux livres liturgiques, reste inachevée. Il ne s’agit pas de réformer la réforme, mais de la vivre pleinement. » Et ce, en nous demandant toujours « quelle est notre vision de l’Église », et en vérifiant « sa correspondance avec ce que le Concile nous enseigne dans Lumen Gentium ».
Desiderio Desideravi s’inscrit dans cette logique, et répond aux dires de Mgr Viola à une souhait exprimé par le cardinal Bergoglio en mars 2005 à l’assemblée plénière de la Congrégation pour le Culte divin dont il était membre : « Je voudrais un document limpide et clair du point de vue expressif, avec un caractère biblique et des textes liturgiques ; un texte de méditation, plutôt qu’un traité de théologie ; exhortatif ou, mieux, capable d’offrir des motivations, plutôt que juridique ou rubriciste. »
On peut dire que le futur pape François a eu de la suite dans les idées, et que Traditionis custodes et les textes qui lui sont liés sont marqués par une vraie cohérence. Il se dit que Mgr Viola explique : « L’intention est d’offrir une parole “différente” sur la liturgie, un battement d’aile pour tenter de sortir la question liturgique du bourbier à la fois des polémiques souvent instrumentalisées par des visions idéologiques de l’Église et du monde, et d’une superficialité qui n’a rien à voir avec la noble simplicité de l’action célébrative. »
Un peu plus loin : « Dans un langage presque narratif, DD nous rappelle tout d’abord ce qu’est la Liturgie d’un point de vue théologique. La liturgie est l’aujourd’hui de l’histoire du salut, le lieu de la rencontre avec le Christ ; elle a pour sujet l’Église, Corps du Christ ; elle est l’antidote à la mondanité spirituelle alimentée par le gnosticisme et le néo-pélagianisme ; elle ne peut être réduite à l’esthétisme, au rubricisme ou à un fonctionnalisme superficiel ; elle suscite un véritable émerveillement devant le mystère pascal. »
Beaucoup de mots et de réquisitoires dont nous commençons à avoir l’habitude. Mais au chapitre de la liturgie vue par Mgr Viola, il ne fut pas question de l’actualisation, du renouvellement non sanglant du sacrifice du Christ.
En affirmant que « c’est précisément de la compréhension théologique de ce qu’est la Liturgie que dépend notre idée de la pastorale liturgique », Mgr Viola a certes montré l’importance du sujet. Mais la réponse était finalement centrée sur une seule phrase du Christ : « J’ai désiré d’un grand désir manger cette Pâque avec vous avant de souffrir. » On aboutit à une vision qui semble amputée, car s’il est vrai que tout chrétien peut trouver « dans ce verset un espace infini pour grandir dans la connaissance de Lui, connaissance qui n’aura pas de fin », en voyant « à l’intérieur du cœur de Jésus », en saisissant « la possibilité de regarder la Cène à travers ses yeux », on focalise sur ce que la liturgie apporte à l’homme (et ce n’est rien moins que l’amour infini du Christ) mais sans évoquer sa fin première : « le culte et l’hommage dus à l’unique et vrai Dieu » comme l’affirmait Pie XII dans Mediator Dei.
La méditation de Mgr Viola sur la messe n’a manqué ni de grandeur ni de poésie : « Depuis le jour de notre péché, nous n’étions plus capables d’un geste d’obéissance. » Ou encore : « Il a fallu que le Verbe éternel se fasse chair pour que Son obéissance éternelle puisse nous guérir de notre désobéissance », poursuivit Viola, s’émerveillant devant l’amour de la Trinité pour les hommes : « Pour nous offrir une nouvelle chance de l’aimer, Dieu a tout fait »… Le désir du Christ pour cette Pâque, « est le désir de pouvoir nous aimer ainsi, comme les Personnes de la Sainte Trinité s’aiment, dans l’altruisme parfait du don que chacun fait de lui-même aux autres. Cette mesure extrême d’amour est versée dans nos cœur comme une cascade dans un dé à coudre, afin qu’en nous aimant comme Lui nous a aimés, toute notre vie puisse entrer dans la communion de l’amour trinitaire. » Ici, Mgr Viola essuya une larme.
Mais rien dans ses paroles, ni dans les paragraphes qui suivent, ne dit ou ne cherchait à démontrer la supériorité du rite réformé ou l’incapacité de la messe traditionnelle à communiquer et à faire saisir la réalité de cet amour. A moins qu’une réponse ne s’esquisse ici : « Je ne peux pas risquer que ma prière soit le sentiment inconstant d’un prétendu dialogue avec une image de Lui, souvent trop semblable à une projection de moi-même, de mes propres pensées. Nous avons besoin d’une objectivité de la rencontre avec Lui, comme celle de son corps. C’est une question très sérieuse, la plénitude de notre vie en dépend, la vie éternelle est en jeu. »
En tout cas, si c’est seulement dans la liturgie réformée que l’on peut échapper à un manque d’objectivité de la rencontre, il faut bien que l’ancienne, la messe traditionnelle, soit aux yeux de Viola un obstacle à cette objectivité. Mais comment les saints d’avant 1965 et 1969 ont-ils donc fait ?
Sacrosanctum Concilium et Lumen Gentium, une réforme liturgique et ecclésiologique
C’est alors que Vittorio Viola aborde la question de la « pastorale liturgique », « capable de nous faire grandir dans une participation authentique, sérieuse et vitale au Mystère pascal » : il s’agit d’assurer une « formation » à la liturgie, formation que le nouveau rite n’a certes pas su accomplir, vu le terrifiant déclin de la foi et la désertion de la pratique qui ont accompagné sa mise en œuvre.
Mais Viola ne veut pas d’une telle rétrospective : « J’éviterai de m’attarder sur l’évaluation du chemin parcouru, qui risque trop souvent d’être préjugée par des approches idéologiques de différentes natures, voire opposées entre elles. »
Il a au contraire un plan d’avenir : « Le domaine dans lequel il faut relancer avec conviction une action formative solide est celui du peuple de Dieu tout entier, celui de nos assemblées dominicales. Dans leur concrétude, et non dans leur idéalisation, nos assemblées liturgiques sont le premier noyau de la communauté ecclésiale… il faut les prendre par la main… et les faire entrer dans le mystère pascal qu’elles célèbrent pour que, de la Pâque au Seigneur, elles prennent vie. »
Cette insistance – en langage amphigourique – sur le mystère pascal est bien celle du Nouvel Ordo, qui prétend répondre à un prétendu oubli de la Résurrection dans le rite traditionnel, et assortir toujours la désolation du Golgotha à la réalité exultante de la Résurrection.
La raison pour laquelle on ne saurait se soustraire à la liturgie réformée est ici discrètement donnée par Mgr Viola. Il dit : « Quand nous disons « liturgie », entendons-nous tous la même réalité ? Sans cette clarification, nous finirons par appeler pastorale liturgique une infinité de tentatives – plus ou moins réussies, et normalement, toutes inefficaces – de ressusciter une réalité qui, si on la pense autrement qu’elle n’est, ne peut pas être ressuscitée. Une sorte d’acharnement thérapeutique. » Il faut au contraire « une ouverture docile à la présence et à l’action de l’Esprit qui se manifeste dans la dimension rituelle ».
« Le lien entre liturgie et ecclésiologie est très étroit : la célébration est par excellence une épiphanie de l’Église » : il faut « une même compréhension de ce qu’est l’Église ». « Sacrosanctum Concilium et Lumen Gentium s’éclairent mutuellement, et la réforme liturgique voulue par le Concile manifeste leur lien intime », affirme alors Mgr Viola. On comprend bien qu’il y a un « avant » et un « après » de l’ecclésiologie, même s’il ne détaille pas explicitement les différences entre celle d’avant et celle d’après. C’est pourtant bien, à l’écouter, le cœur de la question.
Mgr Viola s’est ensuite livré à une longue réflexion sur la « Parole de Dieu », dont il nous dit : « Ne nous faisons pas d’illusions : sans appréciation (valorizzazione est le mot employé en italien par l’archevêque) de la Parole, il n’y a pas de célébration. » Pas de sacrifice de la messe si les fidèles ne sont pas là pour entendre cette parole, pour la voir mise en valeur ? « Le binôme Parole-Sacrement est inséparable. Sans la Parole, le rite devient vide, risquant de dériver vers le magique. Sans le Sacrement, la Parole reste inefficace, risquant de dériver vers la gnose. » De quels horribles dangers nous a délivré la réforme de Paul VI !
Mgr Viola assure plus loin que « la Parole de Dieu a en elle-même une primauté que la ritualité de sa célébration exprime et réalise bien ». Parole de Dieu au sens de lectures de la Bible – Ancien Testament, Épître, Évangile – alors que la primauté revient évidemment à Jésus-Christ, le Verbe incarné, de telle sorte que l’Offertoire et le Canon de la messe sont véritablement la liturgie de la Parole, la liturgie du Verbe.
A nouvelle liturgie, nouvelle esthétique
Mgr Viola a identifié un « troisième domaine de la pastorale liturgique », celui de « l’expérience esthétique » et son « action formatrice incomparable », avec un art sacré « expressément au service de la célébration. » Pour lui, « l’édifice ecclésiastique est une métonymie figurative de l’Église en tant que peuple de Dieu » (et non, vous l’aurez remarqué, en tant que Corps mystique du Christ).
Il n’est pas indifférent que Mgr Viola ait voulu faire ici une réflexion sur l’art contemporain, très présent au cours des deux journées du colloque au demeurant : « Parmi les symptômes les plus inquiétants d’un patronage impuissant, je crois qu’il y a une incapacité généralisée à s’engager dans un dialogue avec l’art contemporain, mais aussi par une utilisation imprudente de celui-ci. Investir dans ce dialogue, non seulement dans un patronage fort des vérités révélées et célébrées, mais aussi dans la connaissance et le respect de l’autonomie du langage de l’art, est une action pastorale liturgique de haut niveau qui peut porter des fruits précieux. »
A la nouvelle liturgie correspond bien une nouvelle « esthétique », bien souvent rejetée par les paroissiens comme on a pu l’entendre lors des « ateliers d’art sacré » qui eurent lieu à divers moments du colloque : leur amour des choses anciennes y était volontiers dénoncé et ridiculisé. Cela est un tout.
La conférence de Mgr Viola s’est achevée sur une courte réflexion sur la « présidence » de l’assemblée, et ses travers possibles, mais ici point de mise en valeur, du rôle du célébrant, agissant in persona Christi.
Les dernières lignes de sa conférence furent finalement très révélatrices, les voici : « Tel est le but de la pastorale liturgique : faire en sorte que l’Église devienne de plus en plus une communion d’hommes et de femmes qui, après avoir reconnu le Christ à la fraction du pain, courent dans le monde pour dire à tous qu’Il est vivant. » C’est « l’Église en sortie ». Courant loin du sacrifice du Golgotha ?
En fait une Liturgie – et une Eglise – d’EXCLUSION qui lentement s’engage vers la mort…
Un gloubi-boulga très conciliaire !
Il n’y a que le fin qui est intéressante, que Mgr Viola avec les conciliaires partent en sortie et emportent leur pique-nique en courant et dégagent de l’Eglise !
Pour une fois qu’ils ont une bonne idée !
Les fidèles avec les prêtres pourront enfin revenir prier avec bonheur dans leurs églises, mettre de l’ordre, remettre le Christ le Dieu vivant à sa place avec le tabernacle dans le chœur, avec le Saint Sacrement, la liturgie avec la messe catholique, le catéchisme aux enfants, la vie et les missions pourront enfin reprendre pour le bien et l’avenir du peuple de Dieu.
Qu’il se réfère à Quo Primum est déjà une victoire de la liturgie traditionnelle. N’importe qui voulant aller à la source comprendra qu’il a été floué. Le pire eut été de nier Quo Primum.