En Une

Sœur Albertine représentative des jeunes ?

Commentaires (16)
  1. Marek dit :

    Soeur Albertine, Frère Paul Adrien d’Hardemare, abbé Grosjean, Padreblog, etc… c’est le style tendance “nouvelle évangélisation”. Faut faire djeunn, cool, fresh, sourire colgate. Branché écolo, gayfriendly, égalité des sexes, unité du genre humain, oecuménisme, partâââge, etc… Soeur Albertine est à la recherche du temps perdu.

  2. Benoît YZERN dit :

    D’une part, de même qu’il est question de donner plus de pouvoir aux évêques, MAIS PAS aux évêques conservateurs, de même il est question de donner la parole aux jeunes, MAIS PAS aux jeunes traditionnels : c’est CELA, le caractère idéologique et discriminateur de l’inclusion, périphériste et synodaliste, cette inclusion n’hésitant pas à fonctionner à l’exclusion des dissidents et des résistants.

    D’autre part, encore plus depuis le début des années 1980 que depuis celui des années 1960, si les responsables religieux catholiques qui acceptent voire approuvent la défiguration du catholicisme par l’humanitarisme et le sentimentalisme voulaient transformer le christianisme catholique en une religion du DÉVELOPPEMENT PERSONNEL et de la CONVIVIALITE COMMUNAUTAIRE, dans l’acceptation prétendue évangélique dans la miséricorde du quasi relativisme et du quasi subjectivisme, en religion et en morale, ils ne s’y prendraient pas autrement.

    Tout ceci tend à transformer le fidèle catholique, non fidèle aux fondamentaux du catholicisme, en un co-producteur et en un consommateur de toute une atmosphère et de toute une praxis à caractère pseudo-religieux, le risque étant que des préoccupations propices à la recherche d’une “connaturalité” entre l’Eglise et le monde, et au remplacement de ce qui est théologal par ce qui est sociétal, soient désormais considérées comme incontestables, incontournables, indépassables et indispensables, dans l’Eglise de François.

    Enfin, attention à la “greta-thunberg-isation” de qui que ce soit, que ce soit à l’extérieur ou à l’intérieur de l’Eglise de François, ou du Synode.

  3. gruber dit :

    En son temps, le Général Bigeard avait conseillé de confier ce genre de personne écervellée à un para. Pour leur remettre la cervelle d’applomb.

  4. Pitoune dit :

    Dans l’antiquité grecque, un synode était :
    “une confrérie d’acteurs, de poètes, de musiciens en l’honneur d’Apollon”

    Dans la religion catholique (la vraie, pas la frelatée) c’était
    “Une assemblée d’évêques délibérant sur des questions touchant à la vie de l’Église”
    ou
    Une réunion d’ecclésiastiques convoquée par l’évêque pour délibérer sur les affaires du diocèse”

    Dans la religion des réformés
    “Une assemblée régionale ou nationale constituant le gouvernement des Églises protestantes; réunion des ministres du culte délibérant de points litigieux de la religion réformée”

    Dans la religion frelatée
    “Une confrérie sur la confrérie de tout le monde en l’honneur d’on ne sait qui”
    ou
    “Des réunions qui ont lieu un peu partout et nulle part pour réussir à faire du grand n’importe quoi à partir de quelque chose pas clair du tout”

  5. Benoît YZERN dit :

    De toute façon, on ne comprend rien à la crise de l’Eglise tant que l’on ne comprend pas que nous sommes aujourd’hui en présence de clercs qui sont les continuateurs de leurs prédécesseurs, qui ont eux-mêmes été les continuateurs de leurs prédécesseurs, etc., jusqu’à celle dont LE “CERVEAU CHRÉTIEN” A ÉTÉ LAVÉ, ou, si l’on préfère, jusqu’à celle, conciliaire s’il en est, dont les convictions catholiques ont été tellement lessivées puis essorées, dans les années 1960-1970, qu’elles ont fini par être décolorées et déstructurées.

    Or, nul n’accepte impunément ou innocemment d’être le continuateur d’une génération de clercs qui a elle-même accepté, auparavant, de s’inscrire dans la continuité à l’égard d’une autre génération de clercs, qui a elle-même souvent accepté, sinon toujours approuvé, le lavage de son “cerveau chrétien” ou la décoloration et la déstructuration de ses convictions catholiques.

    Comme il est évidemment hors de question, pour tous ces clercs, notamment ratzingériens ou bergogliens, de reconnaitre l’échec du Concile et la faillite de l’après-Concile, en raison et non en dépit d’au moins une partie du Concile, une solution a été trouvée, pour donner le change : la pérennisation du néo-catholicisme post-conciliaire au moyen d’un STYLE, ou la subordination du néo-catholicisme post-conciliaire à un certain STYLE, à la fois détendu et concerné…

  6. STEEVEN dit :

    C ‘est ca l église de demain ????? ca promet… de toutes façons on a déjà touché le fond….😁

  7. B Rchr dit :

    Mais que vient faire Caroline Fourest dans cette histoire?

  8. Père Gruber dit :

    @Benoit Yzern. Vous êtes passablement difficile à suivre… Mais, comme une génération dure 30 ans, et que le Concile remonte seulement à 55 ans, votre assemblage sur au moins 3 ou 4 générations voire plus ne tient pas mathématiquement. Dans l’Eglise Catholique,on a toujours considéré et enseigné qu’un Concile oecuménique légitimement convoqué et approuvé par le Pape légitime (à savoir saint Paul VI) est un “lieu théologique” ; et que le refuser revient à quitter la communion avec la Sainte Eglise. Saint Thomas, les grands Docteurs de l’Eglise et le Catéchisme (de saint Pie X) et les Manuels de Théologie préconciliaires l’ont toujours dit. Ce n’est donc pas en refusant les textes du Concile, ou en rêvant qu’un Pape les annule, mais en les interprétant correctement, qu’on pourra avancer. Et c’est bien ce à quoi le Saint-Père Benoît XVI, après saint Jean-Paul II, s’était attelé. Car, si le Magistère “suprême” s’est trompé avec Vatican II, il peut donc aussi s’être trompé avant, et plus rien ne tient… toute rupture est létale pour lui, comme pour nous qui avons besoin qu’on nous indique la vérité.
    @Steeven. Hélas! Mais je ne crois pas qu’on ait touché le fond, loin de là.

  9. Pitoune dit :

    @PERE GRUBER
    L’hérésie au sein de l’Eglise n’est pas nouvelle :
    Voici ce qu’écrivait saint Hilaire de Poitiers contre l’évêque de Milan Auxence (arien) vers 362.
    “Pour que l’erreur s’élève jusqu’à la certitude, on ne parle de la vérité qu’en termes ambigus; on sème partout le doute; il n’y a plus d’unanimité, et le partage des esprits révèle assez la présence de l’antichrist. De là la lutte des opinions; de là vient qu’avec la foi en un seul Christ on en prêche deux; de là vient que l’esprit d’Arius, cet ange des ténèbres, s’est changé en ange de lumière, et que ses héritiers, Valence, Usacius, Auxence, Germinius, Gaïus, à la faveur de coupables innovations, osent lui aplanir les voies, et l’introduire dans la société chrétienne.”
    Un concile œcuménique n’est pas nécessairement doctrinal, Vatican II se voulait pastoral, mais reconnaissons que ce n’est pas un franc succès, non ?
    Le concile de Rimini en 359 a été reconnu comme hérétique, on dira qu’il était convoqué par l’empereur Constance II, mais c’est quand même les évêques qui ont conclut.
    Le concile de Nicée en 325 était pourtant lui aussi convoqué par l’empereur Constantin 1er

    Il faut lire “Le Concile Vatican II : un débat à ouvrir,” de Mgr Brunero Gherardini,ouvrage ni pour, ni contre
    Mais aujourd’hui à l’heure de la synodalité tous azimuts, le débat est interdit, il serait pourtant nécessaire.

  10. Mickaël dit :

    Prière de ne pas vous présenter en tant que catholique car nullement représentative de la grandeur intellectuelle et mystique de ma religion.
    Vous pouvez à loisir opter pour une des sectes protestante qui se fera un plaisir de vous accueillir

  11. Horovitz dit :

    Comme souvent ce genre d’analyse commence et finie à Vatican II .
    C’est oublier le ralliement à la république de Léon XIII, qui a fait entrer dans l’Eglise le Libéralisme, ou inversement. C’est oublier le refus obstiné des papes depuis 1917 à obéir aux demandes présentes de Notre Dame de Fatima. C’est oublier la désastreuse politique de Pie XI soutenant Marc Sangnier et condamnant Charles Maurras. Quand on veut faire une bonne analyse il ne faut pas avoir la mémoire trop sélective !

  12. Père Gruber dit :

    @Pitoune Ne mélangeons pas tout: 1° le concile de Rimini n’est pas un Concile oecuménique, même s’il est conclu par des évêques: aucun Pape ne l’a approuvé comme Oecuménique.
    2° Nicée a été convoqué par l’Emereur (saint) Constantin Ier le Grand certes, mais ses conclusions approuvées par le Pape.
    3° Dire que Vatican II est “pastoral” est une tarte à la crème sans aucun sens: tout dépend des documents et des paragraphes des documents: plusieurs passages de Lumen gentium et Dei verbum relève à l’évidence du Magistère définitif (et, de toutes façons, Magistère déjà enseigné par les Papes). Le Concile de Trente avait aussi des textes “disciplinaires” dont plus personne ne parle aujourd’hui; sa force (comme d’autres) résidait dans ses “Décrets dogmatiques” qui étaient courts et faciles à lire, et non logorrhéiques comme Vatican II. Mais nous n’y pouvons rien, le dernier Concile a écrit ce qu’il entendait écrire. Quant à l’interpéter, il faut se référer aux “Acta Synodalia” c’est-à-dire aux explications de textes dionnées en Aula concilaire par les Pères eux-mêmes qui en fixent le sens avant de voter. Toute autre interpétation est frauduleuse. Quand j’étudiais à Rome, nous avons passé des heures à scruter les textes avec un crayon de papier, pour comprendre chaque expression, chaque mot, si j’ose chaque virgule, et les resituer dans la pensée authentiques des Pères et de qu’ils voulaient dire ; on se rend alors compte que ce que certains leur ont fait dire après, même s’ils étaient eux-mêmes des Pères du Concile, n’a rien à voir. Un seul exemple: selon Vatican II, l’utilisation du latin devait être maintenu dans la liturgie (contre les “novateurs”), avec juste une ouverture facultative pour les lectures et la Prière universelle qui devait être rétablie. Qui a obéi? Les “novateurs” ont fait passer le contraire en en appelant au Concile: ce sont des menteurs, parjures et félons. Nous payons leur désobéissance . J’en reste à ce que le futur Benoît XVI m’a appris: Ce concile n’est pas appliqué, c’est le premier qui ne serait pas appliqué, il le sera un jour tel qu’il est.
    J’ai connu Mgr Gherardini: il a beaucoup varié dans ses appréciations, publiques et surtout privées; difficile de s’y retrouver; mais c’est un grand et fidèle théologien (enseignant l’Ecclésiologie et l’Oecuménisme bien après le Concile dans les Universités pontificales et collaborant à la Curie; je me souviens de sa Conférence d’Ouverture de l’Année Académique des Univ. Pontificales sur l’Encyclique Ut unum sint de saint Jean-Paul II: un modèle de précision), mais je ne crois pas que le livre polémique que vous citez soit son meilleur.

  13. Horovitz dit :

    Comme souvent ce genre d’analyse commence et finie à Vatican II .
    C’est oublier le ralliement à la république de Léon XIII, qui a fait entrer dans l’Eglise le Libéralisme, ou inversement. C’est oublier le refus obstiné des papes depuis 1917 à obéir aux demandes pressentes de Notre Dame de Fatima. C’est oublier la désastreuse politique de Pie XI soutenant Marc Sangnier et condamnant Charles Maurras. Quand on veut faire une bonne analyse il ne faut pas avoir la mémoire trop sélective !

  14. Joël dit :

    Merci pere Horovitz, vous oubliez également l’abandon des christeros par le même Pie XI .
    Pape calamiteux sur bien des points !
    Il est d’ailleurs notoire que François a des traits de ressemblance avec lui ( que de colères ne pique t’il pas à Ste Marthe ! Dixit feu le cardinal Tauran à l’un de mes amis)

  15. la Révolution en marche, avec la bénédiction de son chef suprême

  16. teddy dit :

    A en croire l image les feux de l enfer brulent derrière elle…. pauvre sœur.. Jésus revient ils font n importe quoi !!!!!