Le vendredi 20 janvier, le Pape François a reçu en audience les participants d’un cours de liturgie à l’Athénée Pontifical Saint-Anselme de Rome. Le Pape est revenu sur certains points de sa Lettre Apostolique Desiderio desideravi et a évoqué notamment la question du silence de la liturgie (messe de Paul VI).
Le mystère est indissociable du silence
Enfin, le Saint-Père a rappelé la valeur du silence. «Surtout avant les célébrations, aidez l’assemblée et les concélébrants à se concentrer sur ce qui doit être fait. Souvent les sacristies sont bruyantes avant et après les célébrations, mais le silence ouvre et prépare au mystère, permet l’assimilation, laisse résonner l’écho de la Parole entendue. Nous devons redécouvrir et valoriser le silence!», a-t-il lancé, demandant aux prêtres de raccourcir les homélies à dix minutes, pas plus. «L’homélie n’est pas une conférence, c’est un sacrement», a-t-il dit, concluant son adresse par des encouragements à ces responsables diocèses venus se former à Saint-Anselme. «Efforçons-nous tous de poursuivre le bon travail entamé par les Pères du Concile. Aidons les communautés à vivre la liturgie, à se laisser façonner par elle».
Pour retrouver le silence dans la liturgie, il faut et il suffit de revenir à la liturgie de toujours et lorsque l’on est pape, de faire preuve d’humilité en reconnaissant que l’on s’ est trompé par des écrits aussi inutiles que désorientants et donc minant l’exercice de l’autorité dans l’Eglise.
Le pape François 1er gagnerait à renoncer à ses travers jésuites (une forme de suffisance qui ressemble fort à celle des énarques qui gouvernent mal notre pays)… en adoptant la vertu de silence et en apprenant à être économe dans sa parole : tout à été dit et bien dit dans l’Eglise en liturgie comme dans d*autres domaines bien avant lui.
Merci pour nous qui sommes fatigués par son bavardage qui nous empêche de vivre pleinement en fidèles de Jésus Christ.
Stratégie de tromperie !
Il vaudrait mieux écouter les Pères de l’Eglise (il n’y en a qu’une) que les Pères du concile (lequel ?), ce qui ne veut rien dire. Pourquoi l’un serait supérieur aux autres ?
Un grand pas en avant pour détruire, un petit pas en arrière qui n’engage à rien pour donner l’impression d’être un peu conservateur et tromper les plus naïfs et le tour est joué.
Pendant ce temps là les mesures autoritaires d’autodestruction persistent.
Et dans l’assemblée ! “ça caquette, ça caquette”. C’est un fléau courant dans les nouvelles messes.
J’ajouterai que ça vaut également pour les écrits. Les encycliques de François sont vraiment trop verbeuses.
Le silence n’est qu’un aspect de l’immensité de plénitude à retrouver.
Mais attendons quelques semaines pour entendre tout et son contraire ….