Le 21 janvier prochain, le diocèse de Metz organise dans ses locaux une rencontre pour “accueillir nos proches homosexuels et transgenres“. Le même diocèse, dirigé depuis peu par Mgr Ballot, ex-évêque de Chambéry où il n’a pas laissé un souvenir impérissable, persécute ses propres fidèles, fait donner la police contre des fidèles en prière et interdit les sacrements dans le rite tridentin.
Vraiment, de plus en plus ballot, Monseigneur.
“L’homosexualité et la transsexualité sont des réalités vécues dans beaucoup de familles. Elles provoquent souvent incompréhensions et tensions. Dans nos communautés, ces situations peuvent créer des interrogations, des désarrois : comment accueillir ? Respecter ? Accompagner ?
Le 21 janvier prochain, le Service diocésain de la pastorale des familles organise une journée destinée à ouvrir le dialogue, à l’éclairer, à le nourrir sur le thème : Accueillir nos proches homosexuels et transgenres dans la dynamique d’Amoris Laetitia.
Cette journée est destinée aux personnes homosexuelles, transgenres et leurs proches, ainsi qu’aux prêtres et aux acteurs pastoraux.
Intervenant : père Bernard Massarini
La journée aura lieu au foyer des jeunes travailleurs, Espace Pilâtre de Rozier, 2 rue Georges Ducrocq à Metz”
En poste en Bolivie puis dans divers diocèses français, le père Bernard Massarini, lazariste, ordonné à Cahors en 1990, a visiblement des appuis : pour ses 25 ans de sacerdoce, un cardinal est venu à l’église de Catus où il célébrait son jubilé : “d’après l’abbé Cambon, le curé de Catus, cela n’était pas arrivé depuis le XVe siècle ! C’est donc pour la double occasion de l’anniversaire de Saint-Jean-Gabriel-Perboyre, le saint de Montgesty, et le jubilé (25 ans de sacerdoce) de Bernard Massarini (prêtre lazariste périgourdin né à Saint Astier et ordonné prêtre à Cahors en 1990) qu’un prince de l’église a franchi le seuil de l’église Saint Astier de Catus, pour une messe dimanche 13 septembre. À l’apéritif offert par la municipalité, Mgr Rodé, cardinal originaire de Slovénie, dans un excellent français, a trouvé cette église «belle, avec une grande impression de solidité, et très originale avec son décor jaune et rouge».
Régulièrement promu par certains diocèses où il anime rencontres et formations sur les thématiques LGBT, il estime que les mariages homosexuels doivent être permis et bénis par l’Eglise – ce qui reste contraire au magistère.
Si l’église veut être dans l’air du temps, elle risque d’avoir un avenir de feuille morte. C’est quand même dommage!! Qu’en penserait notre pape émérite BENOIT XVI ;
Le P. Bernard Massarini “accompagne” des personnes LGBT.
Tout dépend ce qu’on met dans le mot “accompagner”… Le “style de vie” LGBT étant rigoureusement incompatible avec la foi catholique, on se demande bien en quoi consiste ce compagnonnage. Un encouragement à persister dans le péché ? Et plus si affinités …
Aimons nous tous les uns sur les autres.
Après la Grand Messe du handball la Grand Messe de la Cage aux folles ! On n’a plus besoin de payer sa place non plus pour aller aller au théâtre !
C’est une façon de détruire le péché, on dit qu’il n’en est plus un, mais ils ne détruisent que le mot et rien d’autre.
Ce n’est certainement pas la bonne façon de sauver ceux qu’il prétend accueillir.
C’est une vision de la foi qui n’est plus l’amour de Dieu, mais l’amour de soi, donc ce n’est plus la foi.
Les mots, comme les dogmes n’ont plus de sens pour eux.
Le Catéchisme de l’Eglise Catholique parle d’accueil des personnes homosexuelles,personne ne doit être rejeté par l’Eglise,mais contrairement aux dérives de notre société il appartient à l’Eglise du Christ d’inviter à prendre de la hauteur ,les faiblesses humaines doivent être transcendées par un conversion évangélique .
Je ne porte pas de jugement sur ce prêtre ,toutefois ce déballage est malsain et à trop fréquenter ce milieu il n’est pas certain que ce religieux s’en sorte indemne,à moins qu’il ne fasse déjà partie de la fanfare !
Alors que tant de scandales éclaboussent même des évêques et des cardinaux,le moment me semble très mal choisi ,le clergé devrait faire profile bas et prêcher la véritable doctrine .
Il n’existe plus de prise de conscience du péché, tout devient permissible, échappant à la confession, donc à l’absolution. Les âmes se confondent dans le péché, nombre de clercs portent la responsabilité de cet abandon. Lorsqu’ils ne sont pas eux mêmes gangrenés par le mise en œuvre de leur propre déviance …. Le souci de sauver les âmes est abandonné, mieux vaut désormais estre mainstream et s’accommoder du péché …..
Il ne s’agit de Catholicisme, tout simplement.
L’Eglise ne peut cautionner le « changement de sexe » qui n’existe que dans l’apparence de ces personnes, et encore …
Quand à l’homosexualité accueil ne veut pas dire accord
Cet évêque de Metz a sévi à Chambéry
J’ai déjà dit le scandale de l’église de Pesey Nancroix où l’on refuse la communion dans la bouche et la Tradition mais où l’on prête l’église pour des protestants avec pasteur tous les dimanches d’été …