Mgr Alain Guellec est nommé évêque de Montauban par le pape François. Il était jusqu’à présent évêque auxiliaire de Montpellier depuis 2019.
Fils unique d’une famille bretonne, le père Guellec fut ordonné prêtre le 17 juin 1990 pour le diocèse de Quimper et Léon. Il fut
- vicaire à la paroisse de Landerneau (1990-1994) avant de partir pour la Ville éternelle jusqu’en 1996.
- en 1996, il est nommé sur le secteur pastoral de Brest-centre ; aumônier du collège et lycée de l’Harteloire ; vicaire paroissial de Saint-Louis ; conseiller pastoral de l’équipe diocésaine de l’aumônerie de l’enseignement public ; chargé de formation à la Formation permanente.
- En 2001, Mgr Guellec fut nommé délégué diocésain pour la catéchèse. Il devint professeur au séminaire la même année.
- Depuis 2002, il était membre du collège des consulteurs.
- Entre 2004 et 2007, il fut membre du Conseil épiscopal.
- En 2007, Mgr Alain Guellec fut nommé curé de l’ensemble paroissial « Le Chenal du Four ».
- En 2008, il fut vicaire épiscopal chargé des services diocésains et délégué à la formation, fonction qu’il occupa jusqu’en 2014.
- En 2012, il devint délégué diocésain pour la pastorale des nouvelles croyances et dérives sectaires.
- En 2013, il fut nommé vicaire général du diocèse de Quimper et Léon.
- En 2019, il fut nommé évêque auxiliaire de Montpellier
En avril 2021 il assistait à la prière du ramadan à la mosquée de Montpellier.
Fait insolite : dans son trombinoscope des évêques 2022, qui prend en compte les auxiliaires, Golias n’avait strictement rien à dire (page 250).
Nous continuons avec la génération de pasteurs insipides.
Un constat: la sacro-sainte ouverture au monde a vidé les églises. Ce grand exode s’est joué en l’espace de deux générations. Notre Seigneur ne nous a-t-il pas prévenus: “Vous reconnaîtrez l’arbre à ses fruits”.
Aujourd’hui beaucoup de fidèles catholiques ne se reconnaissent plus dans leurs pasteurs, ceux-là mêmes qui ont été placés pour les enseigner et les conduire. Ces mêmes fidèles pressentent-ils sans doute que quelque chose ne va plus, ne sonne plus juste, en un mot: que quelque chose est dévoyé. Cela déborde bien évidemment des simples questions de rite ou de liturgie.
Cette situation n’est pas loin de ressembler à un pacte tacite avec l’Ennemi; pour, de compromis en compromis, aboutir à une perfide compromission . Toutes les lois s’opposant au droit naturel et à la vie ne suscitent que des réactions bien timides de la part du Collège des évêques de France. Bien au contraire, sommes-nous invités, par la voix la plus haute de l’Église, à regarder d’un œil favorable les personnes se revendiquant de la mouvance LGBTQ, et surtout à éviter tout propos moralisateur à leur endroit! Sommes-nous encore invités à faire bon accueil aux musulmans, et surtout à nous sortir de l’esprit que l’Islam est conquérant ou que le dialogue interreligieux n’est pas inscrit dans le Coran.
A voir notre pays peu à peu gagné par la violence et les les plus bas instincts, à voir la crasse ignorance des jeunes générations pour ce qui regarde les vérités de notre si belle religion, à constater enfin que les réseaux très influents de la Libre pensée jouent de leur pouvoir pour gommer le peu qui reste des signes témoignant nos racines chrétiennes, eh bien, on ne peut que crier notre détresse en direction de Celui qui tient en ses mains le destin de tous les peuples. Reprendre à notre compte le cri d’alarme des disciples, et pourquoi pas en faire une prière : “Seigneur, ne t’inquiètes-tu pas que nous périssons?”
Il succède à Mgr Ginoux qui, lui, n”hésitait pas à soutenir de sa présence les gilets jaunes sur les rond-points Quel contraste !
Ce qui m’intéresse beaucoup dans son parcours est qu’il a été délégué diocésain pour la pastorale des nouvelles croyances et dérives sectaires. Les compétences qu’il a pu acquérir dans ce domaine seront particulièrement utiles dans ce diocèse.
Comme territoire à concentration de fausses églises pseudo-chretiennes et généralement liées aux confréries d’artisans du bâtiment, c’est effectivement quelque chose.
Sans oublier le prêtre réduit à l’état laïc pour incompatibilité grave avec l’état sacerdotal, qui proclame toujours partout qu’il est prêtre…et qui a même eu une paroisse (!) quelques mois il y a un quart de siècle.
Ne soyons pas d’emblée pessimiste. J’ai connu l’abbé Guellec vicaire à la paroisse St Louis à Brest. Et j’en garde un excellent souvenir, celui d’un prêtre doux, humble et abordable (comme me semble l’être Mgr Ginoux). Je me souviens aussi de son respect de la liturgie et la qualité de ses sermons
“En avril 2021, il assistait à la prière du ramadan à la mosquée de Montpellier”… Quel est son Dieu? Qui, détient pour lui la vérité: Jésus-Christ ou Mahomet? Si selon cet évêque les deux sont équivalents, en quoi cet épiscope peut-il se revendiquer comme successeur des apôtres?
Je suis du diocèse de Montpellier, Monseigneur Guellec est un homme humble et bon’ très à l’écoute de ses ouailles.
Personnellement je suis désolée de le voir partir..je lui souhaite d’être heureux dans son ministère à Montauban.
Merci Monseigneur Alain Guellec et, comme on dit chez nous…War Sao..
Laissons lui faire ses preuves,même s’il a été nommé par Bergoglio,cela suppose que le Nonce à Paris a fait son rapport,et que l’épiscopat français a donné son avis,dans le meilleur des cas il ne se manifestera pas trop!
on continue avec ces pasteurs un an par ci trois ans par là sur le modèle des “carrières ” civiles ! :ce n’est pas ainsi qu’on construit quelque chose dans L’Eglise