Interdite d’accès à la communion dans plusieurs diocèses américains, l’élue démocrate Nancy Pelosi a néanmoins communié à Saint-Pierre de Rome lors de la célébration du Pape à l’issue de laquelle le Souverain pontife a remis aux 44 archevêques métropolitains le pallium. L’instrumentalisation de l’accès à la communion dénoncée pourtant par certains esprits hostiles au rappel des conditions requises (la question de la “cohérence eucharistique” Outre-Atlantique) est en tout cas illustrée par ce qui n’est pas autre chose qu’une provocation en pleine messe pontificale… Une démarche qui intervient en plein débat sur le statut juridique de l’avortement, alors même que la Cour suprême américaine a constaté vendredi dernier que ce dernier était dépourvu de base constitutionnelle.
Bergoglio est un traitre.
C’est ce que l’on appelle un scandale public et il semble que le pape François 1er aime beaucoup cela.
À quand une réaction des cardinaux et une énième supplique, au “Saint” Père en attendant sa déposition ?
Question de droit : l’excommunication prononcée par un évêque sur un de ses diocésains est-elle limitée aux limites du diocèse ? Quelqu’un peut-il me renseigner sur ce point ?
Bergoglio accumule les scandales depuis le début de son pontificat : Amoris laetitiae, adorateur de Pachamama et de Luther, Fratelli Tutti , grand ami avec l’Islam, ennemi de la messe traditionnelle.
Et maintenant voilà Bergoglio qui soutient l’avortement.
Assassin de la foi catholique, assassin d’enfants.
Voilà le visage répugnant de Bergoglio pape idolâtre et apostat.
Que lui reste-t-il de catholique ?
Vade retro, Bergoglio !!!
Nous ne sommes peut-être plus très loin de l’époque où l’Eglise avait deux papes ( et même jusqu’à 3) et la responsabilité en incombera totalement à un pontife qui se veut ” politique” et qui n’est qu’un politicien et qui est le contraire du Pasteur dont l’Eglise avait le plus grand besoin en cette période troublée, alors que nous voyons le troupeau se disperser sous les invectives et les exclusions visant les forces vives de la chrétienté.
Se pourrait-il que l’actuel locataire du Vatican soit la matérialisation de la victoire posthume du KGB qui avait lancé une vaste campagne d’infiltration de l’Eglise Catholique dans laquelle LENINE voyait la menace la plus sérieuse contre le marxisme ?
Canoniquement, même un Pape ne peut se prononcer contre une telle décision (bannissement de la Communion) prise en son âme et conscience par un évêque, seul maitre de ces questions en son diocèse, contre un fidèle. Seul un procès canonique en Cour de Rome pourrait éventuellement l’annuler.
L’admission de Mme Pelosi à la Communion durant une messe pontificale est donc une offense publique et délibérée du souverain pontife à Mgr Cordileone et à son autorité.
Ce qui conduit à poser LA question qui tue: “QUI, en l’occurence dans cette affaire, est LE semeur de division dans l’Eglise?”
L’évêque de Rome ou celui de San Francisco ???
Le scandale public c’est surtout le mépris du Pape à l’encontre de la personne et de l’autorité d’un de ses évêques. L’exemple venant de haut, certains collègues américains de Mgr Cordileone, en désaccord avec lui sur cette affaire, comme Mgr Gregory évêque de Washington, ne se sont pas gênés pour donner eux aussi la Communion à Mme Pelosi, tandis que d’autres apportaient leur soutien à l’évêque de San Francisco (Saint François, quelle coïncidence!).
Une ligne de fracture bien nette a été créée dans l’épiscopat américain sous la main experte en la matière d’un pape sycophante toujours prompt à montrer du doigt et à sanctionner de prétendus fauteurs de divisions dans l’Eglise là où elles n’existent pas !
Au lieu de soutenir sans réserve Mgr Cordileone, irréprochable dans son approche, et de rappeler fermement la position ancienne et inébranlable sur la grave question de l’avortement, le Pape François en bon jésuite, soutient l’air de rien hypocritement, et encourage en douce les nombreux hétérodoxes prétendument catholiques qui ne considèrent pas l’avortement comme un meurtre.
A voir la tournure que prend cette affaire je n’hésite pas à qualifier le Pape François de “plus grand diviseur commun” de l’Eglise Catholique.
à Jack et autres qui viennent de s’exprimer.
Mais puisque ce pape se comporte en diviseur et en destructeur de l’autorité légitime qui s’exerce au sein de l’Eglise catholique, les victimes immédiates étant les évêques et in fine les fidèles, ne serait-il pas temps qu’a minima des cardinaux lui adressent solennellement une correction fraternelle et si rien ne bouge après cet avertissement, exigent la destitution ? Où est donc le cardinal Burke qui s’était vanté de présenter une correction fraternelle ? Son silence, à la fin place les fidèles dans le désarroi vis à vis de l’institution, qui n’est pas seulement “gouvernementale”, mais divine, en tant qu’elle est l’instrument de notre salut (ce qui suppose de se préoccuper de nos fins dernières, ce que tant d’évêques et de cardinaux se désintéressent en ce moment) ?
“Si jamais le Pape,comme personne privée, tombait dans l’hérésie, il serait à l’instant déchu du pontificat, car, comme il serait alors hors de l’Église,il ne pourrait plus être chef de l’Église. Dans ce cas, l’Église devrait donc,non le déposer puisque personne n’a autorité sur le Pape,
mais le déclarer déchu du pontificat.” (St Alphonse de Liguori)
« Quand le pape est hérétique exprès, ipso facto il tombe de son grade hors de l’Église.» (St François de Sales)
Marc 9.42 Mais, si quelqu’un scandalisait un de ces petits qui croient, il vaudrait mieux pour lui qu’on lui mette au cou une grosse meule de moulin, et qu’on le jette dans la mer.
Le temps des suppliques est passé.