Une nouvelle manifestation pour la défense de la messe traditionnelle aura lieu ce samedi 2 avril entre 12h et 12h45, 14 bis avenue du président Wilson (ligne 9, métros Iéna ou Alma-Marceau) devant la nonciature apostolique.
Les organisateurs communiquent
“Le nonce apostolique, Mgr Celestino Migliore, a reçu mardi dernier deux de nos représentants, durant plus d’une heure, pour une « franche et fraternelle discussion », selon l’expression consacrée pour des échanges sans concession, au cours de laquelle ils ont pu exprimer, auprès du représentant du pape, la détermination des catholiques attachés à la liturgie traditionnelle, afin qu’il fasse « remonter » les éléments qu’il aura retirés de ce contact direct.
Il apparaît clairement que Rome a engagé en juillet dernier une bataille d’ordre idéologique, non seulement nuisible au maximum du point de vue pastoral dans le contexte actuel de sécularisation intense, mais qui manifeste en outre une totale méconnaissance de la capacité de résistance des catholiques traditionnels.
Les autorités épiscopales et romaines commencent à comprendre que nous ne cèderons rien : il y va de notre vie de foi et de celle des générations futures, comme de notre flamme missionnaire au service du Christ et de son Église. Nous soutenons ainsi les fidèles parisiens qui prient et protestent toutes les semaines dans ou devant les églises où des messes ont été supprimés : à Notre-Dame du Travail, le dimanche à 18h ( paristradition[@gmail.com ), à Saint Georges de La Villette, le mercredi à 17h, à Saint François Xavier/ND du Lys (où se récite aussi à 19h 30, un chapelet pour la France), et devant les bureaux de l’archevêché, rue du Cloître-Notre-Dame.
dans la foulée, vous auriez pu dire au Nonce que le Ralliement de l’Eglise à la république, annoncé par le Pape Léon XIII en 1892 dans un esprit de tactique en relativisant les formes de gouvernement, a entraîné un fiasco consommé aujourd’hui pour l’Eglise et une victoire pour tous les “sans-dieu et sans-roi” en France et de par le monde. Le tout dans cette affaire, c’est d’avoir l’humilité de reconnaître les faits et d’en tirer toules conséquences… en matière pastorale, les erreurs possibles ne sont pas irrémédiables.
Une bonne nouvelle