L’Eglise protestante unie de France continue de s’enfoncer dans le n’importe quoi abyssal, en suivant un agenda qui n’a plus rien d’ecclésial, ni de vraiment lié au protestantisme des origines. Ainsi, deux pasteures protestantes – en réalité deux jeunes femmes “proposantes“, c’est à dire en période probatoire de deux ans, ont été unies à Montpellier par les protestants locaux.
“Emeline Daudé et Agnès Kauffmann sont les premières pasteures lesbiennes à s’être dit “oui” depuis que l’Eglise protestante unie de France a décidé d’élargir ses possibilités d’accompagnement liturgique“, indique d’un ton à la fois lénifiant et laudateur Nice-Matin.
Ce n’est d’ailleurs qu’un jalon dans le n’importe quoi : “On a fêté ça comme un mariage banal, c’est une étape de franchie pour l’église”, témoigne Agnès auprès de l’AFP; on trouve par ailleurs son interview en ligne qui montre que la langue de buis et le parler-creux existent aussi chez les protestants . “Les personnes LGBT ont besoin de voir d’autres personnes LGBT engagées, y compris dans le milieu des religions”, renchérit Emeline”. On n’ose demander où est la fin du chemin.
Le ramdam autour de ce “mariage” est d’autant plus superflu que pour les protestants, le mariage n’est pas un sacrement – il n’y a qu’une bénédiction après une cérémonie civile.
Les églises luthériennes modernistes et LGBT-friendly se vident
Le modernisme à tous crins et la mainmise du lobbty LGBTQI donnent chez les protestants des évolutions semblables aux églises catholiques dominées par les modernistes, comme en Allemagne, Belgique, France et d’autres pays de la vieille Europe : les fidèles fuient ou meurent et ne sont pas remplacés, tandis que les églises évangéliques, à la fois plus traditionnelles et communautaires, font le plein.
En France, le basculement s’est déjà opéré : un protestant sur deux est évangélique. Les évangéliques, eux, ont annoncé à plusieurs reprises qu’ils s’opposent à toute bénédiction de “mariage” homosexuel.
En Normandie, un maire de confession évangélique, Franck Meyer, engagé par ailleurs dans le combat contre la loi du “Mariage pour tous“, a été visé en 2020 par deux plaintes de deux associations LGBT après qu’il ait déclaré dans la Croix qu’il ne bénirait pas d’union homosexuelle, indique Réforme – qui ne cite curieusement que des théologiens luthériens ou non en faveur des unions homosexuelles ou engagés auprès de ce lobby.
Luther se retourne dans sa tombe
Par ailleurs, comme le rappelle une étude sur la condamnation à mort de l’homosexualité dans l’Histoire, “la réforme luthérienne, puis l’émergence du calvinisme allaient renforcer la chasse aux sodomites puisque, dans ses débuts, le protestantisme se montra fort hostile à l’homosexualité. Genève, devenue la capitale de Calvin, vit ainsi une trentaine d’exécutions, entre 1555 et 1678, d’hommes et de femmes, par tous les moyens, décapitations, pendaison et noyades“. Aujourd’hui, les bastions protestants suisses de Vaud et de Genève bénissent les unions homosexuelles.
Martin Luther a lui même prêché avec passion contre l’homosexualité, qu’il liait à l’origine à sa volonté de Réforme de l’Eglise. A la fin du XIXe, le pasteur Ewald Martin Plass dans son oeuvre What Luther Says, an anthology (que dit Luther : une anthologie) explique sa prédication au sujet des homosexuels :
“le vice des Sodomites est une énormité sans précédent. Il s’écarte de la passion et du désir naturels, définis dans la nature par Dieu, selon lesquels le mâle a un désir passionné pour la femelle. La sodomie a soif de ce qui est tout à fait contraire à la nature. D’où vient cette perversion ? Sans aucun doute, cela vient du diable. Après qu’un homme s’est une fois détourné de la crainte de Dieu, le diable exerce une telle pression sur sa nature qu’il éteint le feu du désir naturel et en attise un autre, ce qui est contraire à la nature“.
Tout ça pour ça.
Non Luther -qui est certainement dans les flammes de l’Enfer- ne se retourne pas dans sa tombe.
Luther n’avait qu’une haine : l’Eglise catholique, sa doctrine, sa morale, la messe.
A l’époque de Luther l’homosexualité n’était pas à la mode ni admise par la société.
Mais le protestantisme est une (fausse) religion évolutive. Il n’y a pas de vérité immuable et la morale évolue aussi. Donc s’il vivait aujourd’hui Luther approuverait les mœurs contre nature.
De plus il ne faut pas oublier que Luther était un moine défroqué, ivrogne et qui vivait dans la débauche.
Luther était un envoyé de Satan.
Donc SVP ne donnez pas le débauché Luther qui a entrainé une partie de la chrétienté dans l’hérésie en exemple comme un modèle de vertu.
pourquoi ce ridicule (et incorrect grammaticalement) “pasteure” d’origine gauchololo… Pourquoi pas pasteuse ou pastrice ou pastoresse qui est d’ailleurs le plus conforme à la langue française!
Je crois me souvenir de la règle pour la formation du féminin : on ne féminise que ce qui est un métier, on ne féminise pas les dignités (ministre, échevin, écrivain…) ou les services (pasteur, prêtre, pompier, policier…)
en Christ
Diacre orthodoxe MB (professeur de Français retraité)
“Après qu’un homme s’est une fois détourné de la crainte de Dieu, le diable exerce une telle pression sur sa nature qu’il éteint le feu du désir naturel et en attise un autre, ce qui est contraire à la nature“.
idée de Luther à méditer même au Vatican
M Clydesdi je vous rappelle que Luther véritable envoyé de Satan fut un des plus abominables et scandaleux hérésiarque de tous les temps.
Ce moine défroqué, hérétique, parjure et débauché entraina dans l’hérésie et la damnation une partie de la chrétienté. Luther éprouvait une haine féroce contre la foi catholique et s’attaqua avec une violence terrifiante à la Sainte Messe ( les novateurs de Vatican II se sont inspirés de Luther pour abolir la vraie messe)
Luther lui-même reconnaissait avoir des contacts avec le diable. Voir le livre “La Conférence entre Luther et le Diable au sujet de la messe”
Cet hérésiarque qui mena une vie de débauche ne peut JAMAIS être pris en exemple par un catholique.