Le migrant rejeté, les personnes âgées abandonnées, les malades seuls, c’est Dieu, a assuré le pape François lors de l’angélus du 10 juillet 2016.
Présidant la prière mariale d’une fenêtre du palais apostolique donnant place Saint-Pierre, le pape a médité sur l’Evangile du jour, la parabole du bon samaritain, encourageant tous les baptisés à se faire le prochain de celui qui est dans le besoin.
« A la fin, a mis en garde le pape François, nous serons jugés sur les œuvres de miséricorde ». Le Seigneur dira alors, a-t-il ajouté : « Te rappelles-tu ? Cet enfant affamé, c’était moi. Te rappelles-tu ? Ce migrant que beaucoup veulent chasser, c’était moi. Ces grands-parents seuls, abandonnés dans les maisons de retraite, c’était moi. Ce malade seul à l’hôpital, auquel personne ne rend visite, c’était moi ».
L’intégralité du discours sur Zéntih