Dans un article du Progrès.fr, l’évêque d’Oran soulève la complexité de la position de pasteur face aux accusations de pédophilie.
« Néanmoins, dans ce contexte, la focalisation médiatique sur la responsabilité personnelle et directe du cardinal Barbarin provoque en moi un profond malaise. Suis-je bien certain que, placé face à la même situation que lui, j’aurais agi différemment ? Après avoir pris soin d’entendre ce prêtre, n’ayant aucun élément objectif permettant de mettre en doute ses paroles selon lesquelles il n’avait plus eu de comportements condamnables à l’égard d’enfants depuis 1991, aurais-je remis en cause les choix faits en conscience par mes trois prédécesseurs ? Aurais-je pris à froid la décision de dénoncer à la justice des faits qui remontaient à une quinzaine d’années, pour lesquels je ne disposais d’aucune preuve tangible, ni aucun élément nouveau pouvant éveiller ma méfiance ? Puis-je exclure que, comme le cardinal, j’aurais pris, à tort ou à raison, le risque de la confiance et confirmé ce prêtre dans ses missions »
Bonne question en effet, et d’autant plus que la majorité de ses paroissiens avait pour lui la plus grande estime pour la qualité de son évangélisation et de son engagement paroissial.
Bien sûr, la miséricorde s’applique à Mgr Barbarin (on se soutient les uns les autres..).
Mais la haine déversée à longueur de temps sur ce blog sur « l’étranger », ça c’est légitime!!!!
2 poids 2 mesures dans cette Eglise chez certains!!!!
Tout cela discrédite l’Eglise!!!
Qui assassine qui?????
Qu’est-ce c’est que ce charabia… pour le moins confus.
Mgr Vesco n’est pas le mieux placé pour commenter cette mauvaise affaire dirigée contre le Cardinal Barbarin.
Son livre limite et de mauvaise foi – dans tous les sens du terme – sur les divorcés remariés dont il fait un vrai nouveau mariage sous l’appellation scandaleuse de « Nouvelle Alliance » ne plaide pas pour le crédit à lui accorder.
Son commentaire, d’ailleurs, sur Mgr Barbarin ne conduit à rien dans son amphigouri et sa petite musique d’eau tiède. On connaît cette langue embrouillée qui ne dit rien qui vaille.
Je suis contre le lynchage d’une personne quelle qu’elle soit mais vraiment quand l’abbé Benoît a été lynché copieusement que d’autres prêtres ont été soumis à la vindicte populaire……jamais le Cardinal ne les a soutenus….il a laissé faire!
Âlors ???????
Je continue
Âlors alors?si l’épreuve actuelle permettait un changement d’attitude un rapprochement vrai avec les prêtres. une distance avec les laïcs qui veulent tout gérer
……. une Eglise qui respecte les appro ches différentes sans nuire aux dogmes …… !!!
Est-ce un rêve? ???
La paix sur les « divorcés remariés ». Il faut regarder au cas par cas, je pense. Le premier mariage a pu être une erreur de jeunesse et le deuxième une réussite totale, éventuellement avec des enfants baptisés. Pourquoi le rompre? Ce serait ajouter du malheur (surtout pour la famille créée au malheur.