“Les défis du journalisme aux temps du Pape François”. Tel était le thème du congrès national de l’Union de la presse catholique italienne au cours duquel est intervenu le cardinal Parolin, le 5 mars dernier.
Le secrétaire d’Etat a saisi l’occasion de rappeler quelques “évidences” du métier de journaliste.
« servir la vérité des faits » ainsi que « les personnes qui n’ont pas de voix ».
Le cardinal a aussi mis en garde contre les slogans et les idéologies, précisant que les mots n’étaient jamais neutres, orientaient la compréhension et influaient donc nos comportements.
Le prélat a également souligné que donner la parole à ceux que l’on n’entend pas est la mission la plus noble du journalisme.
Puis il a insisté sur le fait que
La crédibilité se fonde sur l’intégrité, la fiabilité, l’honnêteté et la cohérence du journalisme. Une bonne information peut être très utile a-t-il précisé, car elle sert à créer des lieux où l’on s’écoute et à garantir le pluralisme.
Ajoutant que “sur internet, la tâche du journaliste n’était pas d’arriver premier, mais d’arriver mieux.” (sans allusion à la tempête dans un verre d’eau suite à l’article de La vie )
Le cardinal Parolin a enfin rappelé que l’un des rôles de l’Union de la presse catholique italienne était d’offrir une vision chrétienne rénovée de la communication, où les compétences de chacun sont un service ecclésial pour tous les citoyens. Cet engagement, a-t-il précisé « valorisera votre laïcité et votre indépendance »
Messieurs les journalistes, Yapluka !
Source Osservatore Romano
Bonjour Le grand défi du journalisme est la résistance au mensonge par omission souvent volontaire parcequ’anticlerical par conviction
Merci pour vos bons commentaires malgré aussi, malheureusement, quelques erreurs. Nous sommes humains et chrétiens. C’est bon de mettre les points sur les i. Il faut la défendre notre Église et de prier pour tous ceux et celles qui vont au front tout comme nos évêques et nos prêtres + + +