Une responsable du Centre d’Éthique et de politique publique et écrivain américaine Marie Rice Hasson a indiqué dans une interview pour un média catholique que le nombre de jeunes femmes qui rejetaient les méthodes de contraception pour contrôler leur fertilité était en forte augmentation. Ce rejet vient d’une prise de conscience de la violence des effets « secondaires » de ces pilules qui s’attaquent aux cycles naturels du corps féminin : « nous achetons du lait bio pour éviter les hormones, mais nous mettons de ces mêmes hormones dans notre corps avec la pilule ». L’auteur, catholique, a insisté sur le fait qu’il faut en finir avec la vision de la fertilité et de la grossesse comme un problème ou un risque, l’idée que « quelque chose en [vous] n’est vraiment bonne ».