Deux réunions discrètes, la première à Milan en mars, et la deuxième en ce mois de juillet ont assemblé, dans une grande discrétion, de hauts prélats de l’Église et des spécialistes laïcs réputés, pour une évaluation du concile de Vatican II. Nous avons appris que d’autres réunions de ce genre étaient prévues pour les mois qui viennent, et nous ne trahirons pas nos informateurs en signalant que le cardinal Walter Brandmüller, 83 ans, ancien président du Comité pontifical des sciences historiques (1998-2009), est l’un des participants à ces réunions d’évaluation des documents du dernier concile œcuménique, dès lors que le cardinal a évoqué, lors d’une conférence de presse publique, les travaux en cours et à même rappelé à son auditoire que des déclarations du concile de Vatican II, comme Nostra Ætate ou Dignitatis Humanæ n’avait, selon lui, aucune valeur contraignante… Aucun prélat ou intellectuel proches de ce qu’on nomme l’« École de Bologne » ne participent à ces travaux. Aucun membre de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X non plus…