Hier, j’annonçais dans un courriel réservé aux inscrits (nombreux !) à notre petite chaîne de prière “de l’arrière”, une excellente nouvelle : les 40 Messes que j’avais sollicitées, cette année, comme effort supplémentaire pour soutenir les militants de la vie “du front” aux États-Unis, étaient confirmées. Il y aura donc, pour cette campagne d’automne des 40 Days for Life, une Messe célébrée chaque jour ! Et même, un peu plus, car j’en ai enregistrées plus de cinquante… Ce qui m’a profondément touché hier, c’est qu’un membre de notre petite chaîne de prière a, d’un coup, pourvu aux 9 Messes qui manquaient dans notre calendrier, et me précisait qu’elles seraient célébrées à… Jérusalem ! Quel symbole : que des Messes pour la vie soient célébrées en cette ville sainte où le Maître de toute Vie a offert la sienne pour notre rachat, pour que nous ayons la vie et la vie en abondance ! Quelle excellente nouvelle, et une nouvelle qui devrait, lecteurs connus et inconnus d’Americatho, inviter ceux qui ne sont encore inscrits à notre chaîne de prière (10 Je vous salue Marie par jour, chaque jour de la campagne), de le faire. Il n’est jamais trop tard et les « ouvriers de la onzième heure » sont toujours les bienvenus. Signalez-moi ici que vous nous rejoignez et que vous pourrez ainsi partager la joie de la deuxième bonne nouvelle que 40 Days for Life nous apporte : au neuvième jour de la campagne, donc hier, ce sont 69 bébés qui ont été sauvés de l’avortement grâce aux prières et aux jeûnes des vigiles…
Quelques belles photos pour illustrer le courage, l’abnégation et la persévérance des vigiles. Les deux premières nous viennent du Canada (Halifax en Nouvelle Écosse) où la vigile prie… sous la pluie – les panonceaux sont en anglais et en mandarin car il y a une forte communauté d’origine chinoise à Halifax. La troisième, très ensoleillée, nous vient de Lawrenceville (Géorgie) : des ballons et des enfants pour la Vie, qui invitent, sur la banderole, les automobilistes à klaxonner si « votre maman a choisi la vie » – et elle l’a nécessairement choisie puisque les conducteurs sont vivants. Quel concert de klaxons dans cette rue de Lawrenceville !
Si la maman biologique du bébé né en février 1955 avait été pro-choice, il n’aurait pas été adopté et il n’y aurait alors eu ni Steve Jobs, ni Apple, ni Mac, ni I-Phone, ni I Pad, ni….