Le 7 avril qui, en France, se souviendra qu’il s’agit de la commémoration du 70ème anniversaire du massacre de Katyń ?
Peut-être ceux qui ont vu le film du même titre du polonais Andrzej Wajda (dont le père est une des victimes de Katyń) sorti dans quelques très rares petites salles de cinéma en France en 2007… Ce film aura en effet eu le mérite de faire mieux connaître dans notre pays cet épisode douloureux de l’invasion de la Pologne par l’URSS en 1939, épisode trop souvent oublié pour des raisons de « commodités » dans l’Histoire qui nous est enseignée, puisque l’URSS, après avoir été l’alliée de Hitler, devint son ennemi et fit des plaines de Stalingrad le tombeau du IIIème Reich. Cet « oubli » fera d’ailleurs dire au journaliste Adam Michnik : « La terreur dans les deux parties occupées du pays [ndlr : la Pologne] fut comparable ; la brutalité et la cruauté avec lesquelles les deux occupants emprisonnaient et assassinaient les Polonais était la même. En Europe occidentale, […] le dogme idéologique interdisait de mettre côte à côte les crimes d’Hitler et ceux de Staline. Jusqu’à aujourd’hui, ce tragique événement historique est un cadavre dans le placard de la gauche française, si longtemps indulgente à l’égard du Grand Linguiste, Joseph Staline ».
Le massacre de Katyń désigne le meurtre de plusieurs milliers de polonais, réputés hostiles à l’idéologie communiste, par le NKVD lors du printemps 1940. Par extension, cette expression recouvre l’ensemble des exécutions des élites polonaises (médecins, avocats, professeurs, officiers, soit de 15 000 à 22 000 personnes) qui ont eu lieu à la même période. Lire la suite !
Adam Michnik vel Aaron Szechter
juif subversif
fondateur du journal de propagande cathophobe et anti-polonaise Gazeta Wyborcza (alias Gowno Prawda)
fils d’un agent bolchévique
frère du juge sanguinaire qui a fait massacrer bon nombre de patriotes polonais après la 2GM
actuellement en Suède
etc etc etc…