Sur le site de la Conférence des évêques de France, on trouve
un entretien avec Anne-Cécile Antoni, Présidente de l’Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture (ACAT), à l’occasion de l’anniversaire de la Déclaration des Droits de l’Homme. Extrait :
un entretien avec Anne-Cécile Antoni, Présidente de l’Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture (ACAT), à l’occasion de l’anniversaire de la Déclaration des Droits de l’Homme. Extrait :
- “Quelles sont les avancées ?
- La principale, c’est le combat contre la peine de mort. Le nombre de pays qui l’ont abolie ou qui ont renoncé à l’appliquer, est passé, ces vingt dernières années, de 51 à 139, soit les
deux tiers des Etats du monde. Les derniers sont le Burundi et le Togo. L’ACAT est très active au sein de la Coalition mondiale contre la peine de mort. C’est à ce titre que nous pouvons nous
réjouir de cette avancée.”
Ce qui est totalement scandaleux, c’est que, ce que ne dit pas l’ACAT, la
peine de mort existe en France de façon abominable avec le meurtre légal des enfants à naître. Le premier des droits de l’homme, c’est le droit à la vie. Il est inutile de lutter contre
la peine de mort si on ne lutte pas contre la peine de mort appliquée aux enfants à naître.Quand est-ce que la Conférence épiscopale donnera la parole à une association qui défend la vie ?
peine de mort existe en France de façon abominable avec le meurtre légal des enfants à naître. Le premier des droits de l’homme, c’est le droit à la vie. Il est inutile de lutter contre
la peine de mort si on ne lutte pas contre la peine de mort appliquée aux enfants à naître.Quand est-ce que la Conférence épiscopale donnera la parole à une association qui défend la vie ?