Mgr Batut est évêque auxiliaire de Lyon depuis un an. Cette année, il lance une école de la Mission, destinée aux missionnaires du 8 décembre :
“Dans leur histoire, les Lyonnais ont le sentiment très fort d’être protégés, accompagnés par le Vierge Marie. Quand on a une mère, même si beaucoup d’autres choses nous occupent
l’esprit, on n’oublie pas sa mère. Il en va de même pour les Lyonnais : même ceux qui sont éloignés de l’Eglise tiennent à ce qu’il y ait des manifestations religieuses. Jadis à Lyon, tous
les commerces restaient ouverts la nuit. Ils avaient décoré leurs vitrines. Puis cela s’est perdu, et même les églises se sont fermées. Aujourd’hui, elles sont grand ouvertes. Beaucoup de gens
y entrent, et il fallait faire quelque chose : depuis quelques années, nous avons les « missionnaires du 8 », qui font visiter les églises, rappellent ou annoncent le message du 8 décembre, la
fête de l’Immaculée Conception. Ils font toute une catéchèse à partir de la Vierge Marie. Les fruits sont immenses. La presse s’en est même fait le témoin. Par exemple, je constate
cette année que la presse, même profane, s’en est fait l’écho à l’avance : les journaux locaux, le Progrès, les gratuits, font état de ce qui s’est passé les années précédentes avec les
missionnaires du 8. L’impact est difficilement mesurable, mais il est réel. Et les premiers sont les missionnaires eux-mêmes. Il n’y a rien de plus convertissant que d’être devant les autres
quand on sent sa faiblesse. Et c’est quand on propose quelque chose que l’on est faible.”Tous les matins du 5 au 8 décembre : rendez-vous à 9h à la chapelle Jésus-Marie (en face de la basilique de Fourvière), pour un temps de prière, suivi d’un enseignement de Mgr Jean-Pierre Batut,
d’un temps de partage d’expérience, d’une Messe et d’un temps d’adoration.
l’esprit, on n’oublie pas sa mère. Il en va de même pour les Lyonnais : même ceux qui sont éloignés de l’Eglise tiennent à ce qu’il y ait des manifestations religieuses. Jadis à Lyon, tous
les commerces restaient ouverts la nuit. Ils avaient décoré leurs vitrines. Puis cela s’est perdu, et même les églises se sont fermées. Aujourd’hui, elles sont grand ouvertes. Beaucoup de gens
y entrent, et il fallait faire quelque chose : depuis quelques années, nous avons les « missionnaires du 8 », qui font visiter les églises, rappellent ou annoncent le message du 8 décembre, la
fête de l’Immaculée Conception. Ils font toute une catéchèse à partir de la Vierge Marie. Les fruits sont immenses. La presse s’en est même fait le témoin. Par exemple, je constate
cette année que la presse, même profane, s’en est fait l’écho à l’avance : les journaux locaux, le Progrès, les gratuits, font état de ce qui s’est passé les années précédentes avec les
missionnaires du 8. L’impact est difficilement mesurable, mais il est réel. Et les premiers sont les missionnaires eux-mêmes. Il n’y a rien de plus convertissant que d’être devant les autres
quand on sent sa faiblesse. Et c’est quand on propose quelque chose que l’on est faible.”Tous les matins du 5 au 8 décembre : rendez-vous à 9h à la chapelle Jésus-Marie (en face de la basilique de Fourvière), pour un temps de prière, suivi d’un enseignement de Mgr Jean-Pierre Batut,
d’un temps de partage d’expérience, d’une Messe et d’un temps d’adoration.