Fidèle à sa tâche de veille sur les manœuvres des institutions internationales comme l’ONU pour faire progresser la culture de mort, C-Fam (Catholic Family and Human Rights Institute) vient de dénoncer l’utilisation de l’Année internationale de la jeunesse par des agences onusiennes pour promouvoir le « droit à la santé sexuelle et reproductive » auprès des adolescents.
C’est un travail qui peut paraître ingrat et ardu : l’ONU lance volontiers ses initiatives en insistant sur des « valeurs » qui semblent pouvoir être partagées par le plus grand nombre. Quitte à donner dans la tarte à la crème : ainsi le thème de cette année onusienne pour la jeunesse – « Dialogue et compréhension mutuelle » : que dire là-contre ? Comment dénoncer sans paraître méchant et étriqué ses nobles buts : la promotion de la santé et du développement, la réduction de la mortalité maternelle, les dégâts de la drogue et les conséquences des conflits armés, et j’en passe ?
Il faut en effet aller au fond des choses pour voir ce qui se cache derrière ces objectifs, et toute l’opiniâtreté et l’expérience d’une groupe de personnes convaincues qui depuis des années travaillent auprès de l’ONU pour permettre au grand public de ne pas ignorer les procédés qui permettent à des fonds et des militants internationaux d’aller sur le terrain subvertir ce qui reste de moralité publique. Je vous avais proposé ici une traduction de la maîtresse-conférence du directeur de C-Fam, Austin Ruse, qui explique les ressorts discrets de ces programmes internationaux, elle est à relire. Lire la suite !