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Les Supérieurs de l’Institut du Christ Roi reçus par le Pape ce lundi 24 juin

Commentaires (6)
  1. Courivaud dit :

    Vous êtes sûr que l’on n’a abordé des “questions qui fâchent”, notamment sur le plan liturgique (mais pas que) ?

  2. Moi dit :

    Timeo Danaos et dona ferentes.

  3. Marek dit :

    Cela devient un classique du genre. Vous êtes responsable d’un Institut post Ecclesia Dei Adflicta et vous avez lu Traditionis Custodes et la suite. Des échos vous reviennent de prêtres tradis virés à Quimper ou ailleurs, de visites dites fraternelles à des évêques pas franchement conciliaires, ou d’interdictions d’ordonner des prêtres pour le rite ancien au séminaire de la Castille. Vaguement inquiets tout de même, vous faites comme vos confrères de la FSSP, vous allez à trois voir le Saint Père à Santa Marta. Sourires, bonne ambiance, mines réjouies, paroles de réconfort, abrazos. Ils sont eux aussi l’exception qui confirme la règle. Mais s’il fallait obéir à des injonctions contraires, ils obéiraient. Rien à voir, nullam partem, avec les héritiers d’un évêque rebelle et félon.

  4. Benoît YZERN dit :

    Le pape François ? Qui est-il pour juger… que le catholicisme traditionnel en général, et la liturgie traditionnelle en particulier, font plus de mal que de bien à l’Eglise, aux fidèles et à la foi catholiques ? Quelle est sa connaissance personnelle de la liturgie traditionnelle ?

    Pourquoi les catholiques traditionnels n’auraient-ils pas le droit de bénéficier de la mise en oeuvre du sacro-saint “discernement évangélique dans la miséricorde et l’ouverture sur les périphéries” afin de disposer de davantage de lieux de culte dans les diocèses ?

    Les catholiques rénovateurs qui ont conquis le pouvoir au Concile et qui conservent le pouvoir depuis le Concile ont-ils bien conscience du fait que plus ils vont être intransigeants, sur la question de la liturgie, et plus ils vont faire comprendre qu’un anti-traditionalisme par principe, ou qu’un parti pris anti-traditionnel, constitue, depuis les débuts du néo-catholicisme, pendant l’entre deux guerres mondiales, l’une des principales caractéristiques fondamentales de l’idéologie du dialogue, de l’inclusion, du renouveau et de l’unité, laquelle constitue l’idéologie officielle du nouveau régime ecclésial ?

  5. Benoît YZERN dit :

    Nous en sommes arrivés à ce degré de marginalisation de la Tradition, dans l’Eglise et chez les fidèles, parce que le paysage intellectuel catholique, depuis le début des trente années qui ont précédé l’annonce du Concile par Jean XXIII, a commencé puis continué à être inspiré et orienté par des philosophes et des théologiens qui sont réellement convaincus ou sincèrement persuadés que l’Eglise et les fidèles catholiques peuvent et doivent s’aligner sur telle conception dominante de l’évolution des mentalités, ou se conformer à telle relation dominante à l’évolution des mentalités, au minimum en matière (inter)religieuse, voire également en matière morale.

    Eh bien, voyez-vous, il faudrait peut-être commencer par le commencement, et se demander s’il est bien chrétien, surnaturellement et théologalement chrétien, tout simplement, notamment face à l’esprit du monde de ce temps, de vouloir que les catholiques s’alignent sur telle condition dominante ou se conforment à telle conception dominante de la sacro-sainte évolution des mentalités.

    C’est un peu comme si les papes, les cardinaux, les évêques, les prêtres refusaient que des catholiques puissent, sachent et veuillent cheminer, dans le cadre du déroulement de leur vie chrétienne, à contre-courant face à l’esprit du monde, en recourant à la Tradition…

  6. C dit :

    Le Papa avait aussi reçu chaleureusement des autorités de la Fraternité Sacerdotale St Pierre, et l’on voit ce que cela a donné avec l’évêque de Quimper…