Le diocèse de Nîmes se réjouit de l’installation d’une nouvelle communauté religieuse en provenance du Brésil, la Fraternité des Pauvres de Jésus Christ, une communauté nouvelle fondée en 2001 :
« Nous sommes Sr. Petronella, Sr. Assunta, Sr. Saïla et Sr. Petra. Toutes les quatre brésiliennes, nous appartenons à la Fraternité des Pauvres de Jésus Christ, un Institut fondé au Brésil en 2001 par le P. Gilson Sobreiro et Sr. Serva.
Notre charisme vise à s’occuper des pauvres dans leurs « multiples visages ».
Cela veut dire tout simplement que nous cherchons, toujours et partout, le Christ pauvre caché dans toute sorte de pauvreté.
Facilement nous comprenons alors que c’est l’Évangile et l’Évangile seul qui nous pousse à avancer dans nos missions, d’où notre arrivée à Nîmes.
Car notre seul but c’est de rencontrer Jésus et de Le faire connaître par chacun de Ses enfants, qu’ils soient dans la rue, sur les bancs des Églises ou ailleurs ».
Les 4 sœurs pauvres de Jésus résident pour le moment à l’évêché. Une de leur priorité sera d’apprendre le français pour mener à bien leur mission d’évangélisation au contact de toutes les pauvretés”.
J’espère que l’évèque a correctement mené l’enquête avant d’admettre cette “nouvelle communauté” dans son diocèse.
Le Brésil, c’est loin et ce n’est pas un pays de tout repos, y compris sur le plan religieux. Et puis, dans ces affaires de mœurs que subit l’Église catholique en ce moment, ce sont ces “nouvelles communautés” qui sont surtout visées.
Il faut toujours être prudent bien sûr, mais j’ai jeté un œil sur internet, cette communauté avait été reçue à Toulon par Mgr Rey, et aussi à Perpignan. J’ai vu aussi qu’elle a été persécutée par le gouvernement sandiniste du Nicaragua ( les amis de Mélenchon), ce qui suggère qu’elle a de la valeur.