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Pays-Bas : de plus en plus de prêtres en burn-out

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A comme abandon
Commentaire (1)
  1. Line dit :

    Je constate la même chose. Des prêtres lors des nominations diocésaines qui prennent un an de congé sabbatique. Certains qui évoquent leur mal être.
    La conjoncture est très difficile. Les prêtres deviennent les manageurs du déclin. Si c’est déjà difficile pour les fidèles les regroupements de paroisse, pour les prêtres qu’est ce que c’est. A la force de courrir partout, on est présent de façon qualitative nulle part, et la vie spirituelle des prêtres et des fidèles en souffrent.

    La crise, les témoignages reçus, la réorganisation des méthodes de gestion des abus peut aussi constituer des difficultés existentielles.

    Les mises en accusation de prêtres diverses et variées, les plaintes, les mécontentements en ce qui concerne des prêtres en particulier et la doctrine catholique en général est certainement très difficile à vivre.

    C’est vraiment pas le bon moment pour être prêtre, malheureusement. Honneur à ceux fidèles à leurs engagement, malgré tout.