Les nominations diocésaines de Tarbes et Lourdes viennent de tomber, et elles dénotent par leurs manques… qui laissent penser qu’il s’agit pour Mgr Micas d’une version provisoire ou que d’auutres nominations les complèteront en septembre – il y a en effet cinq nominations d’administrateurs, dont un qui est nommé sans être nommé – son identité n’a pas été dévoilée.
Entre autres :
- deux curés issus des Fraternités apostoliques de Jérusalem (FAJ) ont été permutés à la cathédrale, ce qui laisse penser que le diocèse a finalement renoncé – probablement faute d’effectif – à leur retirer la cathédrale, malgré des pressions externes assez fortes.
- le curé des Prémontrés responsable du sud-est de Tarbes, où il y a un petit couvent, a été rétrogradé coopérateur
- le père Montagnol, curé de Maubourguet, se retrouve aussi chargé de Rabastens de Bigorre dont le curé titulaire est malade.
- un ancien vicaire général, le père Puyau, qui s’opposait avant Summorum Pontificum à la messe en latin et était plutôt contre la ligne conservatrice (en apparence) de Mgr Brouwet, aujourd’hui à Nîmes, a pris sa retraite
- l’actuel vicaire général Pierre Jamet est nommé curé de Lourdes – il cumulera donc les deux. L’ancien curé, l’abbé Duhar, semble avoir disparu de la circulation…
- le curé de Bordères sur l’Echez, fidei donum du Bénin, qui avait fait délibérément tomber une hostie en pleine messe, est renvoyé à son diocèse d’origine. Va-t-il y reprendre ses cours au séminaire diocésain ?