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Carnac: un prêtre nous écrit

Commentaires (18)
  1. steeven dit :

    Parlons de charité évangélique et de bienveillance !!!!! quand on persécute et prive de sacrements les catholiques traditionnalistes c est l hôpital qui se moque de l infirmerie….« Que Dieu vous console ! … Ce qui vous attriste aussi, c’est que les autres ont occupé les églises par violence tandis que vous, pendant ce temps, vous êtes dehors. C’est un fait, ils ont les locaux : mais vous avez la foi apostolique. Eux, ils peuvent occuper nos églises, mais ils sont hors de la vraie Foi catholique. Réfléchissez : qu’est ce qui est le plus important, le lieu ou la Foi ? La vraie foi, c’est évident. »
    >Saint Athanase, Evêque d’Alexandrie,

  2. Uisant Er Rouz dit :

    La réaction des fidèles a été certes excessive mais dénotte un certain malaise, quand on laisse par ignorance ou par mondanité faire tout et n’importe quoi dans les églises, malgré les règles édictées Puisse cet épisode malheureux servir de leçon, faire prendre conscience et donner une véritable réflexion auprès des affectataires comme des élus et des artistes sur la juste place de l’art dans les églises.
    Il existe des lois et des règlements aussi bien du côté civil que canonique, et il faut en rester là. Et un coup, on embête les fidèles, et un coup, on laisse libre cours aux phantasmes d’artistes qui méprisent les catholiques. A long terme, ce n’est point tenable.

    Depuis trop longtemps, on laisse trop faire dans nos églises au nom du dialogue avec le monde, et l’on sent que le fossé se creuse.

    Si les décideurs de l’Eglise et de la culture subventionnée qui sont souvent loin des préoccupations des fidèles faisaient davantage attention, on n’en arriverait pas là.

    Beaucoup de Catholiques sont meurtris dans leur âme quand on interdit des processions, les défilés à sainte Jeanne d’Arc, que l’on déboulonne leurs statues, que l’on vadalise leurs calvaires et leurs cimetières, qu’on les traite de tous les noms d’extrême-droite, d’intégristes, de Nazis, qu’on leur interdit la messe traditionnelle, qu’on les traite de terroristes, alors qu’on laisse des artistes anti-chrétiens subventionnés par l’Etat se produire dans leur lieu de culte, on peut comprendre, sans approuver leur réaction. Et la seule arme qu’il rete est l’arme du pauvre de Dieu, le Chapelet.
    Quant à savoir si une élue a été gifflée, la question reste en suspends. Quand on dit le chapelet, on est en paix, on ne frappe personne, c’est aux antipodes de la récitation des divins mystères. Cette allégation paraît étrange, mais c’est sûr qu’il y a un antagonisme entre la philosophie du chapelet et l’esprit du concert prévu ce soir-là.

    Il est par contre inadmissible de remettre en cause la foi des pasteurs, même s’ils font fausse route sur certains aspect.
    On peut critiquer certains choix ou attitudes du clergé, même du saint Père, voire l’ignorance crasse de quelques-uns, mais il est téméraire de remettre en cause pour autant leur foi ou leur zèle apostolique. Il faut rester dans la correction fraternelle et prier pour qu’ils admettent leurs erreurs. mais ce n’est pas en les insultant que l’on parviendra à un résultat, même si parfois, il est nécessaire d’être fermes et de faire notre devoir de fidèles.

    La justification qu’a donnée Mlle Malone sur le titre d’une de ses oeuvres les plus contestées était assez spécieuse, elle n’a d’ailleurs pas démenti la présence de cette oeuvre lors de son concert ( contrairement à la paroisse qui a affirmé que ce titre n’était pas au programme, car il y était, au programme officiel du festival, comme d’ailleurs de ses autres titres d’oeuvres, dont les noms sont très connotés et ambigus., d’ailleurs, toujours dans un jargon anglo-saxon, mêlé de suédois et de latin plein de solécismes.

    Cela aurait dû interroger les commissions ad hoc, mais encore une fois, il y a un tel décalage
    entre les délires conceptuels des artistes qui veulent s’approprier une église consacrée le temps d’une soirée et la vie de foi des fidèles, ainsi que la culture générale des décideurs ecclésiaux, que cela ne peut conduire qu’au clash.

    Deux mondes se font face : le monde de la culture subventionnée post-moderne déchristianisée teintée d’ésotérisme et qui n’hésite pas à user de son complexe de supériorité envers les simples fidèles, mais qui ne comprend plus rien au christianisme, et de l’autre côté, des fidèles qui en ont plus qu’assez d’être pris pour des imbéciles. Et entre les deux, une Eglise institutionnelle malade, qui essaie de gérer le quotidien, et des fidèles passifs qui attendent que cela passe, mais n’en pensant pas moins. Ce n’est pas la première fois que cela arrive, en contradiction avec la loi de séparation des églises et de l’état de 1906.

    On peut peut-être interpéter ce chapelet comme une provocation de trop.

    J’ai signé de mon vrai nom, car j’ai suivi cela de loin, je n’approuve personne dans l’histoire, et j’attends qu’e par la suite, il n’y ait plus de malenttendu de ce style.

    Que cette affaire interroge tout un chacun sur ses propres responsabilités.
    Cela fait fort longtemps que cela couve. Faut-il aller jusqu’à l’affrontement ou remettre les choses à plat et usant de la raison en vérité ?
    Une église n’est certes pas une salle polyvalente dédiée à l’ego des artistes, mais elle doit aussi dans le respect de la foi des fidèles continuer à offrir un espace où foi et culture puissent dialoguer, dans le respect de la foi des fidèles.

    Et c’est là tout l’enjeux : quand les artistes, les élus respectent les fidèles et leur foi sans les provoquer, cela se passe pour le mieux.

    D’ailleurs, la presse nationale et régionale qui s’est emparrée goulûment de l’affaire a reconnu que le vendredi soir, le concert de Mlle Malone s’était passé sans problème. A méditer.
    En effet, la programmation indiquait en toute sobriété : new music for organ and choir, (nouvelle musique pour orgue et choeur) comme quoi, si l’on ne provoque personne, cela se passe très bien.
    On pourra toujours regretter cette anglomanie. Pourquoi ces titres en anglais, c’est certes agaçant. Dans l’après Brexit, on n’est plus censé entendre d’anglais sans traduction, à se demander s’il n’y a pas un désir de colonisation anglo-américaine.
    La moindre des politesses et d’offrir une traduction française. Et si la paroisse avait eu cette traduction, peut-être aurait-elle décliné l’offre de concert ?

    Quand on chante en breton ou en latin, on nous la réclame, mais quand c’est la langue de l’empire, cela fait plus chic de lire du patois étasunien.
    En bref, que chacun se remette en question, fasse examen de conscience sur ce qui a pu clocher dans cette histoire, et que cela serve de leçon pour l’avenir. C’est allé trop loin, alors que cette affaire aurait pu être réglée par la bonne volonté de tout un chacun.

  3. Pitoune dit :

    “On peut exprimer un désaccord, à partir du moment où l’on prend en compte aussi la réponse du contradicteur”

    A ce sujet, On attend toujours la réponse du curé sur le caractère ésotérique des soi-disants musiciens autre que tel ou tel titre n’était pas officiellement au programme.

    Au lieu de se victimiser, technique gauchiste bien connue, on aimerait justement avoir son avis éclairé sur l’œuvre de Kali Malone avec des titres évocateurs comme XKatedral, Black gate, Tragic chorus ou Sorrowing Christ

    Quant à citer saint Jean Chrysostome sur l’humiliation de l’Eglise, ça me fait un peu penser à une histoire de paille et de poutre.

  4. Marek dit :

    Ce happening aura au moins le mérite de rendre les clercs, au moins ceux du diocèse de Vannes, plus clairvoyants en ce qui concerne l’acceptation ou non des manifestations cultuo-culturelles dans les églises. Comme le dit un autre prêtre, ce n’est pas à ce malheureux curé de Carnac de discerner ce qu’il y a de sulfureux chez tel ou tel artiste de passage mais à un comité diocésain ad hoc. Ce qui est amusant dans le communiqué du diocèse de Vannes, outre cette défausse des responsabilités, c’est la différence d’appréciation a priori entre les artistes “naturellement bons” et leurs contempteurs “épidermiques”. La notion de présence réelle est assez variable selon les groupes religieux, et, partant, celle du comportement à adopter dans les édifices religieux, surtout en présence du Saint Sacrement. Par conséquent, il ne faut pas donner de nihil obstat scénique au premier ménestrel venu quand il ne présente pas de garanties de catholicité suffisantes. Et puis, pour paraphraser l’abbé Bourvil : “Palestrina, oui, Polnareff, non”.

  5. Marchand du Temple dit :

    Nos pretres, nos eveques semblent toujours sincères dans leurs plaidoyers. Cependant le constat est là : des concerts qui n’ont rien à faire dans une eglise ont lieu régulièrement dans le diocèse de Vannes.

    Celui de Carnac bien sur avec une chanson nommée mal nommée Sacer Profanare, mais à Etel par exemple nous avons eu régulièrement les gabiers d’artimon: des chants marins que l’on peut apprécier mais pas la! ( les annonces Ouest France sont encore en ligne pour ceux qui en doutent) et bien d’autres encore. L’évêché ne repond jamais aux inquiétudes. Seul des actes publiques semblent efficaces. La triste vérité est la.

  6. Abbé Johann Ribette dit :

    De toute évidence, vous ne comprenez pas mes propos, mais comment s’en étonner. Je ne parle pas ici du fond, mais bien de la forme. Vous avez le droit de n’être pas d’accord, cela va de soi. Je remets en cause cette prétention quasi universelle dans vos commentaires à vous prendre pour la mesure de toute chose.
    Je rappelle que le Seigneur n’a laissé qu’un commandement: celui de la Charité. La vertu de religion est la plus élevée des vertus morales, cela est vrai, mais si pour la défendre nous en oublions la Charité, que nous devons à titre tout à fais spécial à nos frères Chrétiens, baptisés du même baptême, alors notre religion est sans valeur, comme le dirait l’épître de la messe de dimanche de la messe de saint Pie V.
    Je célèbre la messe de saint Pie V très régulièrement, et j’aime cette liturgie qui m’a tant apporté et m’apporte toujours beaucoup. Mais en mettant en avant un combat de chapelle contre l’Eglise, en opposant systématiquement les purs, que vous seriez, à ceux d’en face, que nous serions, nous les clercs, me semble démontrer d’un esprit non pas ecclésial, mais mondain. Que cela vous plaise ou non, opposer les catholiques entre eux par des considérations blessantes et dénuées de la moindre tentative de les comprendre et de les aimer authentiquement relève de l’esprit du monde.
    Je m’imaginais bien que j’aurais ce genre de commentaires, et qu’immanquablement ils dériveraient sur la question de la liturgie traditionnelle, alors que ce n’est nullement le thème dudit débat. Cela en dit long sur ce que nous poursuivons… Si le combat pour la liturgie et la forme du culte en vient à proférer de tels propos, à diviser de telle manière, c’est qu’elle est faite davantage selon l’esprit du monde que selon Celui du Christ.

  7. Jacques Fauchille dit :

    Quand à l’anonymat !!! J’ai tjs affiché nom et prénom et ma critique acerbe vis du clergé cynique et en plein déni de vérité face à la Réalité. Réalité faite de main d’homme, pour deconstruire la Foi des Pères de l’Eglise au nom du sulfureux dialogue/ monologue relativiste.Quant à vous comparez à l’Eglise du Xt via la citation de Sr Jean Xsostome , vous y allez fort . Auriez vs aussi les mollets qui gonflent ? Le clergé n’est pas l’Eglise du Xt. ..à lui seul….grâce au Ciel. Mais, je peux comprendre que vous ne supportiez pas la moindre critique face à vos injustices flagrantes , vis à vis de tout une partie du peuple de Dieu , qui est l’Eglise et que vous ostracisez volontairement, consciemment ,par idéologie ” ecclesiastico- wochiste”. Jacques Fauchille.

  8. dan dit :

    Il est sans doute plus porteur de foi évangélique de faire venir les fidèles dans une église avec des chanteurs balsphémateurs qu’avec un office tel la messe dominicale ou des vêpres. Il est plus moderne d’ouvrir l’église à des jeunes exprimant leur opposition à la Foi plutôt qu’aux fidèles qui souhaitent entendre la messe universelle de Saint Pie V. Je ne condamne pas les blasphémateurs, ils font leur travail et le chrétien n’est pas soumis à une forme de charia. Mais je constate que depuis une certaine nouvelle autorité ecclésiastique, l’ouverture d’esprit de charité ne va pas jusqu’aux catholiques cherchant à respecter des commandements de Dieu et de l’Eglise et des Béatitudes. Je demanderais simplement au prêtre qui a rédigé la réponse ci-dessus s’il accepte dans son église consacrée le service ordinaire selon les liturgies de toujours sans les repousser au nom du “retardisme”? Au demeurant il doit être remercié pour avoir exprimé un point de vue que je ne supposais pas.

  9. Ropert dit :

    In peut ne pas être d’accord sur le fond comme sur la forme. Mais le dialogue ne doit pas être rompu. Les excès ne sont jamais de bons conseils.
    Je reconnais à Monsieur l’abbé du diocèse de vannes du courage et de la conviction pour faire entendre son point de vue. Sa blessure témoigne d’une foi sincère et la charité dans sa réponse manifeste, non corporatiste,sans mépris.
    Ne fait il pas de l’évangélisation en accueillant des personnes peut être éloignées du christianisme et de l’église ? Qui sait si en laissant les artistes s’étonner par un accueil chaleureux, vivant à l’image du christ un seul d’entre-eux ne sera pas à questionner. Dieu n’est certainement pas prisonnier d’un rite, et le rite loue et témoigne de Celui qui est… dans la maison du Père il y à plusieurs demeures..et Dieu est Amour. Laissons lui le choix de décider

  10. Pitoune dit :

    A monsieur l’abbé Johann Ribette
    Tour le problème vient justement du fait qu’il n’y ait pas de réponse sur le fond et c’est peu charitable.
    Vous dîtes : “Je rappelle que le Seigneur n’a laissé qu’un commandement: celui de la Charité”
    Si le mystère de la Trinité nous indique qu’il y a un seul Dieu en trois personnes, il me semble qu’il y a dix commandements. Ils découlent tous de la charité.
    Mais à ma connaissance, la charité est de vouloir le bien de l’autre dans l’objectif du Salut.
    Je ne vois pas bien comment un concert profanatoire y contribue et pourquoi il serait charitable de l’accepter. Je ne sais si c’est ce que que l’on apprend à sciences-po ou dans les séminaires actuels.
    Quoique cela n’ait rien à voir avec la situation, des parents n’auraient-ils plus le droit de punir et donc d’éduquer leurs enfants parce que ce n’est pas charitable dans votre définition de la charité.
    Quant à la dérive sur la liturgie, elle vient en général de l’honneur qui est fait d’être traité d’intégriste (personne intègre).
    Amusez-vous à appliquer à la lettre vos propos à un fidèle à qui on refuse les sacrements de l’Eglise Catholique transmis par la Tradition, ils collent parfaitement à ce que nous subissons depuis plus de cinquante ans sans pour autant faire un scandale.

  11. Justine dit :

    Quand on voit avec quelle hargne depuis le concile et avec Bergoglio ils ont la prétention de vouloir interdire aux catholiques la foi de l’Eglise la messe traditionnelle jusqu’à la faire disparaître ! … on se croirait plus souvent sur Golias à l’entendre et le lire et d’assister dans nos églises vandalisées pour «l’honneur du Christ » à ces genres de bastringues stupides, indignes et sacrilèges, personne ne se préoccupent de savoir si les catholiques en sont blessés et scandalisés !

    Mais trop c’est trop …

    Les parfaits commentaires de Steven et Usant Er Roux, comme d’autres ci-dessus peuvent vous aider à comprendre la souffrance des catholiques et ce que vivent les familles au quotidien pour élever leurs enfants dans la foi et le respect du Christ, de sa mère la Sainte Vierge Marie et de l’Eglise.

    Merci à Riposte Catholique pour son aide.

  12. karr dit :

    La foi des confrères de ce prêtre , célébrer sur un autel rond en verre ou plexiglas témoigne effectivement d’une foi profonde en l’Eucharistie ,ainsi que d’un respect réel des règles édictées par l’Eglise.
    Le cardinal Joseph Ratzinger avait mille fois raison lorsqu’il parlait du profond problème de l’Eglise,à savoir l’absence de foi chez un certain nombre de prêtres .
    Personnellement je me garderais bien de juger de la foi des autres,mais de quelle foi s’agit-il dans le cas de ces prêtres qui laissent faire n’importe quoi dans un lieu consacré ,lorsque ce ne sont pas eux-mêmes qui font du n’importe quoi ?
    Quand vont-ils prendre conscience que ce qu’ont fait leurs prédécesseurs a vidé nos églises , il serait bien temps de redonner du sacré à ceux qui en demandent ,que les prêtres fassent ce pour quoi ils ont été ordonnés ,mais il est vrai que la formation donnée dans les quelques séminaires encore en activité est d’une indigence sans nom,j’en parle par expérience ,rien n’a changé depuis plus de quarante ans .

  13. Courivaud dit :

    Et l’évêque du lieu, Mgr Centène, que l’on dit vigilant sur le plan magistérielle, qu’a-t-il fait ? Que fera–t-il?

  14. Courivaud dit :

    “MAGISTÉRIEL”, bien sûr.

  15. Gogo dit :

    Oui bah avec de tels raisonnements on autorise tout et n importe quoi.

  16. Marek dit :

    A M l’abbé Johann Ribette : à mon avis, M l’abbé, vous êtes à côté de la plaque. La forme et pas le fond ? Voulez vous dire que ces trublions armés de chapelets ont eu raison de protester contre la venue de cette organiste suspecte mais que leur méthode était mauvaise ? Réellement cela se discute. Si le nombre d’avortoirs a diminué en France c’est probablement dû à ce genre d’opérations. Même chose je pense pour les spectacles profanatoires. Surtout dans les églises. On va voir ce que cela donne après l’affaire Bilal à Metz et celle-ci de Carnac. Les réactions médiatiques sont prometteuses. Voulez vous dire aussi que les commentaires n’ont pas été élogieux pour la hiérarchie catholique ? Votre serviteur n’a pas eu à se louer moultes fois des réactions épiscopales à l’encontre de manifestations de tradis. Ce n’est pas une question de liturgie mais d’indépendance ecclésiologique. Evêque, c’est par toi que je suis matraqué. La Charité n’est pas à sens unique.

  17. Catherine B. dit :

    Deux questions à UISANT ER ROUZ :

    Vous écrivez “On peut peut-être interpréter ce chapelet comme une provocation de trop”… en quoi dire le chapelet serait une provocation, et pourquoi ce serait une provocation de trop ?

  18. Juliette dit :

    @ Catherine – Sans doute une provocation de trop pour les conciliaires et autres autorités …

    Des catholiques oser venir prier dans leur église la Sainte Vierge Marie la Mère de Dieu avec le chapelet ! …

    Pour les obliger à déménager et empêcher tout ce bazar prévus dans le chœur … sacré de l’église …

    Quelle profanation par ces « activistes » contre l’ultra modernite aigüe anti Christ et anti catholique !