Le nouvel évêque de Rodez, Mgr Luc Meyer, arrivé récemment dans l’ex-Vendée rouergate, complètement sinistrée suite au “printemps de Vatican II“, a publié la composition du conseil presbytéral, qui a été élargi :
Le Conseil épiscopal
Par décision de Mgr Luc Meyer, évêque de Rodez et Vabres, outre le père Daniel Boby, nommé vicaire général le 17 septembre, sont nommés membres du conseil épiscopal pour cette année 2022-2023 :
- Thierry Glaisner, conseiller épiscopal
- Marie Pecqueur, conseillère épiscopale
- Père Christophe Battut, vicaire épiscopal
- Père Jacques Clavier, vicaire épiscopal
- Père Célestin N’Guessan, vicaire épiscopal
Le Conseil épiscopal élargi aux doyens
Le conseil épiscopal élargi aux doyens comprend en outre :
- Père Jean-Luc BARRIÉ
- Père Pierre DEMIERRE
- Père Florent DIX-NEUF
- Père Bernard FIXES
- Père Jean-Claude LAZUECH
- Père Daniel RIGAUD
-
Le Conseil diocésain pour les affaires économiques
- Père Daniel Boby
- Mme Françoise Carles
- Père Jacques Clavier
- M. Jacques Combret
- M. Alain Foulquier
- M. Michel Mabile
- Père Francis Monziols
Espérons que de tout ce monde, quelqu’un pourra dire à l’évêque qu’il serait temps de publier les comptes du diocèse sur le Journal officiel, Rodez est désormais l’un des derniers diocèses à ne pas le faire – nous le signalions en juin dernier, et depuis, rien n’a changé.
La CEF avait répondu illo tempore à France 2 que l’Eglise de France ne cache pas son argent : “chaque association diocésaine dépose ses comptes certifiés en préfecture et les publie au Journal Officiel“.
Le diocèse de Rodez, visiblement, si.
Il est remarquable de lire, en général, les commentaires des différents commissaires aux comptes, validant sous réserves et s’exonérant de responsabilité sur l’item des flux des quêtes en numéraire.
Tant dans la majorité des diocèses et de leurs paroisses les chiffres transmis ne reflètent en rien la réalité.
La Cef n’a pas souhaiter mettre en place des règles précises sur ce sujet, préférant laisser perdurer nombres de volatilités. ….
Le circuit est une véritable passoire, dès après la réception de la quête. Des montants s’évanouissent à tout les stades et c’est finalement des sommes bien modestes qui arrivent en comptabilité paroissiale et diocésaine, tant les bonnes méthodes redoutables d’efficacités, qui existent pourtant, ne sont pas mise en place.
Sans compter les pseudos associations (loi 1905) parallèles qui se nourrissent sur les quêtes paroissiales. Ainsi une association pourrait parfaitement récolter plus de 30k€ l’an et ne reverser à l’économat diocésain, qu’ une modique somme de 5,4K€ !!! Tout cela n’est pas sérieux, et motive nombre de fidèles à ne plus donner, car nos dons n’ont pas à servir des intérêts privés.
merci beaucoup d’avoir procédé à cette modification de texte. (“l’ex-Vendée rouergate”).