D’après la Presse de la Manche, on reconnaît le père Jean-Pierre Maçon, Fils de la Charité actuellement du diocèse de Bourges, revenu en son pays, le Mesnil Auzouf, du diocèse de Coutances, pour l’Assomption, à son short bleu.
Bonjour à toutes et tous, c’est bien triste en ce jour de l’Assomption, fête de notre Mère miséricordieuse à toutes et tous. Des signes laissent penser que nous allons vivre un retour aux valeurs spirituelles et celles de l’Âme et de respect de Notre Dame de France. Nous ne pouvons que nous en réjouir pleinement. Patience et prières.
Il fut une époque pas si lointaine où l’ont reconnaissait un prêtre à sa soutane, vêtement dont les trois pièces signifient : pauvreté, chasteté, obéissance.
Je garde au fonds du coeur le souvenir de l’aumonier qui a accompagné toute ma jeunesse, de la fin des années 50 jusqu’à 1966.
Il était partout à la fois ( catéchisme, enfants de choeur ( une cinquantaine de l’âge des écoliers jusqu’à nos aînés qui étaient en faculté), patronage, ciné-club, colonie de vacances, scouts, sans compter sa présence auprès des personnes âgées ou en situation difficile qui résidaient sur la paroisse, sans distinction de croyance.)
Bien entendu, il portait la soutane de façon stricte pour l’exercice de son ministère, mais pour toutes les activités qui demandaient une présence plus physique, sa tenue évoluait quelque peu puisqu’il se ceignait, par dessus sa soutane d’un ceinturon de cuir d’origine militaire, et se chaussait de rangers issus des surplus de l’armée.
Personne ne trouvait rien à redire à ce qui discret rappel à son passé militaire d’ailleurs héroïque, puisqu’il avait participé à l’épopée de la Deuxième DB depuis le serment de KOUFRA jusqu’à BERSTESGADEN d’où les éléments français avancés ont été très rapidement chassés par les troupe US.
C’est d’ailleurs à la suite de cette guerre atroce que notre cher abbé avait ressenti l’appel du Seigneur.
Ceci pour expliquer mon premier commentaire qui tenait en ce seul mot de “pitoyable”, car j’ai pensé utile de rappeler ce que pouvait et devait être un véritable prêtre
Quant au héros de ce petit récit, personne ne sera surpris d’apprendre qu’il a été poussé hors de l’Eglise par la tempête post conciliaire…
Il me semble que le Mesnil-Azouf est dans le Calvados, donc dans le diocèse de Bayeux et Lisieux.
Pitoyable !
Triste église conciliaire … avec des clowns pareils …il est bien loin le temps des dentelles et des soutanes ….
Bonjour à toutes et tous, c’est bien triste en ce jour de l’Assomption, fête de notre Mère miséricordieuse à toutes et tous. Des signes laissent penser que nous allons vivre un retour aux valeurs spirituelles et celles de l’Âme et de respect de Notre Dame de France. Nous ne pouvons que nous en réjouir pleinement. Patience et prières.
Il fut une époque pas si lointaine où l’ont reconnaissait un prêtre à sa soutane, vêtement dont les trois pièces signifient : pauvreté, chasteté, obéissance.
Je garde au fonds du coeur le souvenir de l’aumonier qui a accompagné toute ma jeunesse, de la fin des années 50 jusqu’à 1966.
Il était partout à la fois ( catéchisme, enfants de choeur ( une cinquantaine de l’âge des écoliers jusqu’à nos aînés qui étaient en faculté), patronage, ciné-club, colonie de vacances, scouts, sans compter sa présence auprès des personnes âgées ou en situation difficile qui résidaient sur la paroisse, sans distinction de croyance.)
Bien entendu, il portait la soutane de façon stricte pour l’exercice de son ministère, mais pour toutes les activités qui demandaient une présence plus physique, sa tenue évoluait quelque peu puisqu’il se ceignait, par dessus sa soutane d’un ceinturon de cuir d’origine militaire, et se chaussait de rangers issus des surplus de l’armée.
Personne ne trouvait rien à redire à ce qui discret rappel à son passé militaire d’ailleurs héroïque, puisqu’il avait participé à l’épopée de la Deuxième DB depuis le serment de KOUFRA jusqu’à BERSTESGADEN d’où les éléments français avancés ont été très rapidement chassés par les troupe US.
C’est d’ailleurs à la suite de cette guerre atroce que notre cher abbé avait ressenti l’appel du Seigneur.
Ceci pour expliquer mon premier commentaire qui tenait en ce seul mot de “pitoyable”, car j’ai pensé utile de rappeler ce que pouvait et devait être un véritable prêtre
Quant au héros de ce petit récit, personne ne sera surpris d’apprendre qu’il a été poussé hors de l’Eglise par la tempête post conciliaire…