Ce 23 avril entre 12h et 12h45 aura lieu une nouvelle manifestation pour la défense de la liberté de la messe traditionnelle, devant la nonciature apostolique, 14 bis avenue du président Wilson (métros Iéna ou Alma-Marceau, ligne 9).
Les organisateurs communiquent :
“Le diocèse de Paris est dans l’attente. Son nouvel archevêque a été désigné par le pape, mais son nom n’est pas encore connu. Il devrait être révélé très prochainement. On parle toujours de Mgr Aveline, archevêque de Marseille, de Mgr Jammes, archevêque de Bordeaux, de Mgr Bustillo, archevêque d’Ajaccio, pour les personnalités accommodantes avec la liturgie traditionnelle, de Mgr Ulrich, archevêque de Lille, ou du P. François Boëdec, provincial des jésuites de France, comme personnalités plus clivantes. Mais le prélat désigné est peut-être encore un autre.
Le nouvel archevêque aura donc, entre autres, à régler la question liturgique de Paris : messes traditionnelles supprimées à Notre-Dame du Travail, Saint Georges de La Villette, Saint François Xavier.
Notre protestation et celle des divers groupes parisiens, non seulement est intacte, mais s’apprête à être puissamment réactivée“.
On pourra ajouter que cette semaine, de jeunes fidèles de Saint-André de Grenoble ont occupé quarante heures durant le clocher de leur église, au coeur de la capitale du Dauphiné, pour protester contre les persécutions de leur évêque, puis de leur administrateur diocésain, contre leurs prêtres de la FSSP et leur communauté de plus de 500 fidèles.
A Grenoble, comme à Paris, et ailleurs, la flamme de la résistance des fidèles de la messe de toujours est allumée et elle ne s’éteindra pas.
Ce 23 avril, pas 23 février!
Merci beaucoup. En effet !