Ce 13 février la nouvelle église catholique de Gland, une commune vaudoise située dans le Grand Genève, a été consacrée par l’évêque Mgr Charles Morerod, évêque de Lausanne, Genève et Fribourg. Elle fait partie de la paroisse catholique de Nyon.
Cette église remplace l’actuelle chapelle Saint-Jean-Baptiste, un ancien baraquement de chantier qui date de 1972 et n’est plus du tout aux normes, en plus d’être trop petit – la commune compte 4200 catholiques pour 13.500 habitants, et cette nouvelle église pourra accueillir près de 250 fidèles. Elle a été construite à partir de juin 2020, pour 4.6 millions de francs suisses, dont 850.000 restent encore à trouver. La cloche et les vitraux de l’ancienne chapelle seront remployés dans le nouvel édifice.
Comme d’habitude, il y a des explications laborieuses de l’architecte pour justifier de la forme et des volumes – une colonne tronquée (comme la cathédrale d’Evry) : “une église moderne et ouverte sur le monde qui n’oublie pas pour autant ses racines. «Il y a même une volonté de retour aux sources», note Gilles Vallat. Le concept général étant de retrouver ce qui caractérisait les premières communautés chrétiennes. Cette vision a notamment guidé le projet architectural, réalisé par le bureau Coretra, à Nyon.
La forme circulaire donne une dimension communautaire à l’action liturgique. L’assemblée, les lecteurs et chanteurs y font naturellement «corps». L’autel, l’ambon et le siège de la présidence forment un triangle au milieu des chaises placées en demi-cercle. Une configuration qui permet une participation plus active de l’assemblée. Tout cela dominé par un plafond qui laisse passer une lumière zénithale douce“. Le mobilier liturgique en marbre bleu de Savoie, dont une croix en tau, est l’oeuvre de l’artiste français Alain Dumas.
Les cathédrales gothiques n’avaient pas besoin de telles explications alambiquées – ce qui se conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire viennent aisément.
En effet, la colonne brisée est aussi un symbole maçonnique important – on la trouve assez régulièrement sur les monuments funéraires des maçons ou des déistes au XIXe, où elle symbolise le caractère inéluctable et injuste de la mort, qui brise l’existence humaine trop tôt, et de façon irréparable – c’est aussi une allusion aux colonnes du temple de Salomon et à leur origine mésopotamienne.
“Dans le rite écossais rectifié, elle est, nommée Adhuc Stat, et est la devise figurant au tableau du premier grade de l’Apprenti. Adhuc Stat est une figure symbolique extraordinaire, sa puissance considérable doit inspirer la plus profonde humilité aux apprentis, mais aussi à tous les frères quelques soient leurs grades y compris les plus hauts dignitaires du Rite Écossais Rectifié. Ce terme latin surmonte une colonne solidement érigée sur sa base, mais brisée dans sa partie haute.
Adhuc Stat se traduit littéralement par « elle est encore debout » ou aussi par « sa base est encore solide » en allusion voilée à la survivance templiére. [C’est aussi] l’emblème de l’homme déchu, fautif, qui ignorant de l’état de sa perfection initiale, s’est engagé dans un processus de retour au « chaos primordial”.
Bref, une étrange forme pour une église…
Digne d’une “Centrale”. Nucléaire !
Mais où sont nos Cathédrales et leurs vitraux qui sont invités à la “Rencontre” ???
Avec le Tout Autre ✝️ !
Mes chers Amis,
C’est l’architecte ou l’évêque,qui est franc-maçon? Peut-être les deux.
Prions assiduement le Saint Rosaire:!
En union de prières avec vous tous.
Dieu aura toujours le dernier mot!
quel argent gaspillé pour ce que vous appelez une église, moi je vois une horreur, une église doit avoir la forme d’une croix et alors, les fidèles n’ont pas protesté, nous vivons une drôle d’époque et je pense que la messe doit ressembler un ce monument en métal, des vrais catholiques auraient protesté!!!
La Suisse, disait Notre-Dame :::”le ventre mou de la France”
Bof ! La messe Paul6 et ce machin sont faits pour aller ensemble et ce pape avec.
Une rotonde avec oculus zénithal… comme l’Anastasis à Jérusalem. On peut aussi oser l’hypothèse.