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Un appel au dialogue sur la question liturgique

Commentaires (6)
  1. fg dit :

    Quand la “paix liturgique” régnait, la grande majorité des demandes de messe traditionnelle étaient rejetées. C’était mieux que rien, mais pas idéal.
    Au risque de me faire censurer par RC, j’attribue à la baisse du denier du culte dans les paroisses concernées cette lettre qui, l’air de rien, apporte de l’eau au moulin des adversaires de la messe tridentine.

  2. Pierre Mary de Montamat dit :

    Le rattachement à Unitatis redintegratio est incroyable : les deux rites représentent bien deux formes de religions chrétiennes différentes, c’est bien ça ? Quel aveu !

    Ils se revendiquent de l’irénisme total de cette époque, débordement affectif non dogmatique, non juridique, etc… Quelle régression !

    Oui, c’est notre fraternité qui va rétablir la Paix Liturgique, pas l’Eglise-Institution dont il ne faut rien attendre… Non, la méthode, tout sur la méthode et rien que la méthode.

    C’est là qu’on voit les dégâts de TC. Et ce n’est pas fini…

    PS : ‘La multiplication des interdits crée au contraire la fascination et le désir de transgression chez les jeunes générations de clercs comme de laïcs.’ C’est ma phrase préférée : sont-ils en plein délire psychanalytique ?

    PS bis : sur le site de La Nef, vous avez aussi un texte de Dom Courau qui n’est pas mal du tout dans le même genre…

  3. COTILLARD dit :

    Bonjour chers amis

    Personnellement, je la trouve bien bonne (cette proposition) de la part de ces gens très respectables par ailleurs.
    Quel intérêt de discuter ensemble à partir du moment où François a pris une décision unilatérale ?

  4. Le Bouyer dit :

    Voici deux attitudes, celle du publicain, plein d’humilité et de bonne volonté, et celle des pharisiens sûrs d’eux et qui se croient parfaits. On connaît celle qui plaît au Père des Cieux. A bon entendeur salut !
    ´

  5. Schneider dit :

    La réaction rapide de certains épiscopes français au motu proprio du pape sur le rite tridentin signale une absence de conciliation dans le fond de sauce de la “modernisation”.

    La Frat ne doit pas perdre son temps en bavardages mondains comme les aiment les rédacteurs de la presse catholique, mais continuer à tracer son chemin de vérité. Ignorer la contradiction sera sans doute le plus fructueux pour elle. Quant aux fraternités traditionalistes de la sphère conciliaire, elles se voient jetées sous le bus de la “normalisation” sans avoir jamais démérité. A quoi leur servirait de bavarder elles-aussi ?
    Echanger, discuter, est devenu un tropisme de communicant. Ça ne servira à rien, sauf à flatter les organisateurs.

  6. Paul BONNEAU dit :

    C’est du Christophe GEOFFROY tout craché.

    Je doute que cette dialectique mène quelque part. Propose-t-on aux orthodoxe de découvrir la joie de la communion dans la main ?? Ce n’est pas ce genre d’appel du pied maladroit qui va faire avancer le schmilblick.

    Nous accuser d’ignorer les autres, de mépriser est regrettable. Pour ma part, je suis foyer relai de ma paroisse conciliaire et fidèle FSSP exclusivement, par ailleurs membre d’une END conciliaire. Suis un dangereux sectaire ? Pour mes enfants je veux le cathéchisme Traditionnel. Je sais bien ce que l’Église conciliaire propose. Je n’ai pas d’avis à donner dessus !

    Nous voulons la Tradition, toute la Tradition. Sans chipotage. Sans compromis. Librement. Quelque soit la qualité de la liturgie ou du catéchisme conciliaire à côté.

    Honnêtement, je suis revenu de l’idée d’une forme unique de la Liturgie romaine. Le fossé est bien trop béant. Nous sommes les Vieux-croyants de l’église Latine. C’est ainsi, ne forçons pas les choses.

    Et si le Bon Dieu voulait garder cette voix dans le chœur de louange à Sa gloire ? Pourquoi la Lui refuserons-nous ?