Des mères de prêtres vont marcher de Paris à Rome pour porter le témoignage de l’attachement des fidèles à la liturgie traditionnelle et à l’Eglise. La Voie Romaine invite donc les fidèles à confier leur lettre au Pape François.
Catholiques attachés à la célébration du rite tridentin qui nourrit notre amour pour le Christ, pleinement engagés dans la mission de l’Église, nous voulons porter à Rome un témoignage d’unité et de foi.
Conduits vers le Ciel par la richesse liturgique de ce rite, soutenus par les prêtres qui nous font grandir dans la foi, nous voulons témoigner de notre humble participation à la construction du royaume du Christ dans le monde.
Nous avons reçu le Motu Proprio du pape François Traditionis Custodes avec incompréhension, alors que nous partageons avec tous nos frères et sœurs dans la foi le même amour inconditionnel de l’Église.
Profondément ébranlés, nous voulons confier à des mères de prêtres le soin de marcher de Paris jusqu’à Rome afin de porter aux pieds du Saint-Père la supplique de tous les chrétiens attachés à la célébration du rite tridentin, dans la pleine communion de l’Église. Forts de notre amour pour cette liturgie qui encore aujourd’hui porte tant d’âmes vers le Seigneur.
Belle initiative, mais jusqu’à il y a peu, la FSSPX était dans une périphérie très éloignée de l’Église officielle ; au point que certains considéraient qu’elle se trouvait en dehors du périmètre de l’Eglise, qu’elle était, osons le mot, schismatique.
Et puis François est entré en action ; par étapes il a accordé à la FSSPX : le pouvoir de confesser, de célébrer les mariages, d’ordonner des prêtres sans lettres dimissoriales et sans que ceux-ci ne soient suspens a divinis, et demain, j’en suis convaincu, il leur accordera des évêques.
Mais rappelons nous l’offre généreuse du Supérieur général de la FSSPX s’est montré plus réconfortant : « la Fraternité Saint-Pie X a le devoir d’aider toutes ces âmes qui se trouvent actuellement dans la consternation et le désarroi.
« Nous avons le devoir de leur offrir, par les faits, la certitude que la Messe tridentine ne pourra jamais disparaître de la face de la terre : il s’agit d’un signe d’espérance extrêmement nécessaire. De plus, il faut que chacun de nous, prêtre ou fidèle, leur tende une main secourable, car celui qui n’a pas le désir de partager les biens dont il bénéficie est en réalité indigne de ces biens.
Avec foi et surtout recherche d la foi, j’i fréquenté assidument le barroux et envoyé mensuellement des subsides, jusqu’à ce qu’un revers de fortune m’oblige à suspendre et à propose une aide physique. Jamais de réponse, mais suppression des bulletins d’information etc…. jusqu’à une relance manageriale.
Rupture de l’idéal et de l’aide morale que je croyais attachée à la proximité, rien d’autre.
L’abbaye éait alors sous la houlette de Dom Gérard Calvet. Je reconnais qu’une relance téléphonique m’a laissé de glace, j’aais éprouvé la résignaton de l’exclusion de plano.