Malgré notre titre volontairement accrocheur, rassurez-vous ca ne se passe pas en France… mais en Pologne !! L’information est relayée par notre confrère Rorate Caeli qui l’a lue sur le site de la Fraternité Saint-Pierre en Pologne
Le fils de la Premier Ministre polonaise, Mme Beata Szydło, sera ordonné prêtre de l’Église catholique le samedi 27 mai.
L’abbé Tymoteusz Szydło, prêtre diocésain, célébrera sa première messe traditionnelle (avec des indulgences qui lui sont attachées) en l’église de la Sainte Croix de Cracovie, desservie par la Fraternité de Saint Pierre (FSSP) en Pologne, en la fête de la Pentecôte (Dimanche 4 juin 2017) à 19h15.
Félicitations au Premier ministre Szydło, à son mari, au nouveau prêtre, à sa famille élargie et ainsi que à toute la Pologne bienheureuse: Beatus populus cuius Dominus Deus eius !
eh oui tout le monde n’a pas cette chance qu’en pense la CEF
cette guéguerre entre les deux formes de la messe de rite romain me semble assez ridicule
j’ai passé ma jeunesse à Lyon où j’avais le choix entre la messe de rite lyonnais dans ma paroisse et la messe de rite romain dans mon collège de jésuites et la troupe scoute qui en dépendait; cela ne traumatisait personne, et ces deux rites étaient bien plus différents que ne le sont les deux formes actuelles du rite romain
a priori, cette querelle n’a rien de religieux et me parait surtout politique
il n’empêche que je ne comprends toujours pas le besoin qu’a éprouvé le pape Paul VI de bouleverser la liturgie et de provoquer ces divisions dans l’Eglise, mais il parait qu’il va être canonisé
Il va être canonisé ? Je ne sais pas ce que vous en pensez mais pour ma part je n’ai qu’une chose à dire: Deo Gratias !
A quand cela pour la France ? Vivement qu’elle retrouve sa place de fille aînée de l’Eglise. C’est la Pologne qui montre l’exemple et ce, depuis des décennies. Que Dieu bénisse la Pologne. C’est pas avec les tordus qu’on a au gouvernement que ça va arriver. Mais j’espère que ça arrivera un jour.
Déjà en première année du séminaire, l’abbé Szydło faisait parti d’un “cercle anti-moderniste” informel regroupant des séminaristes critiques envers l’évolution post-concilliare de l’Église.