Saint Pierre dans sa première épître enseigne aux évêques (chapitre V):
« 1 J’exhorte les anciens qui sont parmi vous, moi ancien comme eux, témoin des souffrances du Christ, et qui prendrai part avec eux â la gloire qui doit être manifestée:
2 paissez le troupeau de Dieu qui vous est confié, veillant sur lui, non par contrainte, mais de bon gré; non dans un intérêt sordide, mais par dévouement;
3 non en dominateurs des Églises, mais en devenant les modèles du troupeau. »
Je pense qu’en effet, il y a une erreur du journaliste, par ailleurs très sympathique et au travail remarquable. Mgr Schmitz ne semble pas être évêque. Mais il a droit au titre de « Mgr ». Certaines fonctions confèrent ce droit sans qu’elle soient nécessairement occupées par un évêque.
Non, Mgr Schmitz n’est pas évêque, c’est un simple prélat comme il y en a des dizaines de milliers dans l’Eglise. Jusqu’à il y a peu, les évêques diocésains qui voulaient distinguer un prêtre méritant pouvaient lui faire obtenir ce titre. Maintenant avec le pape François, les conditions sont plus restrictives et il faut que le prêtre ait au moins 65 ans.
Cela dit, il y a des actes qui sont des mépris. Je me souviens de l’anecdote concernant sainte Bernadette Soubirous.
Le préfet l’avait convoquée avec sa mère et avait cru intelligent de la faire attendre longtemps dans une antichambre sans siège. Dans l’intention évidente d’humilier ces deux femmes. La préfète passant par là et voyant ces deux femmes debout leur proposa de leur faire apporter des sièges. La sainte raconte (je raconte cela « de tête », souvenir de lecture): « Maman ne répondit rien. Mais moi qui était méchante, je luis répondis : « Non ! Merci ! Nous les salirions ! »
Il y a des façons de recevoir les gens qui sont une insulte. Un homme qui a fait 600 km en voiture être forcé d’attendre 1/2 dans un salon… quelle impolitesse ! quelle hostilité !
Mgr Schmitz n’est pas un prélat diocésain. Il est un prélat romain suite à ses fonctions dans la diplomatie vaticane. Mais il n’est pas évêque.
Il ne sont pas des dizaines de milliers ! Son nom figure sur l’annuaire du Saint-Siège. Merci d’arrêter d’écrire n’importe quoi !
Notre très saint père le pape émérite Benoit XVI a bien rappelé que la messe de Pie V n’a JAMAIS ETE INTERDITE ?
ALORS pourquoi le Droit Canon de l’Eglise catholique n’est pas appliqué aux fidèles de liturgie traditionnelle ?
Pourquoi les évêques refusent TOUJOURS cette messe aux fidèles qui veulent honorer Dieu avec cette messe sont ceux qui se complaisent dans le rit ordinaire ?
Ils devraient alors se poser la question de savoir si le maître qu’il servent est bien Celui de l’Evangile et
pourquoi cette liturgie donne de nombreuses vocations religieuses qu’ils n’ont assurément plus ?
Bien d’accord avec ces dénonciations de l’hypocrisie et de l’arbitraire de Mgr d’Ornellas.
Ceci dit, maintenant que nous voyons énoncés cette fois au sommet même de l’Eglise des infamies telle que celle de dire qu’il il ne faut pas craindre de pécher car il y a derrière un confesseur, tout cela dit avec un bon rire bien gras, il n’y a plus qu’à tirer l’échelle!
Nous sommes tous au fond du trou. Que faire, que faire, que faire…Prier, d’accord, mais aussi agir.
Je pense que François a voulu exprimer une doctrine que j’avais lue je ne sais plus où que si l’on a une chose bonne à faire, mais que l’on prévoit que dans le cours de cette mission, on commettra des péchés (par exemple se mettre en colère et proférer des injures contre notre ennemi), il fallait accomplir la mission et tant pis pour les péchés. Comme toujours avec François on ne comprend pas très bien, ce n’est pas clair, mais c’est ce que crois avoir retrouvé dans la bouche de François. Cette doctrine morale traditionnelle que je crois l’avoir lue. Je ne l’impose à personne, mais elle me semble valable. Sinon on en vient au jansénisme: on ne fait plus rien pour ne pas pécher. « À sa mort, il n’a rien fait, il est sauvé. » Comme disait ironiquement je ne sais plus qui à propos d’un janséniste.
Moi j’en ai assez de ces déclarations de François faites pour choquer le bourgeois. C’est fatiguant à la fin.
Ce reportage est mal ficelé. Il a le mérite d’exister et de mettre en lumière des situations que leurs auteurs auraient préféré laisser dans l’ombre.
Raison de plus ! La partie était belle et facile à jouer, ce n’était pas la peine de la gâcher.
Comme ces lignes seront lues aussi par des partisans de la démolition de l’Eglise, vous comprendrez que je n’indique pas là où le bat blesse.
Mention « peut mieux faire ».
Et par avance, pour ceux qui me soupçonneront de filtrer le moustique et d’avaler le chameau : le comportement de l’évêque semble effectivement difficilement compréhensible et difficilement défendable. D’un point de vue communicationel, sa position est intenable. Les maladresses de communication peuvent lui donner des arguments pour contre-attaquer, où à minima donner des arguments aux durs parmi ses conseillers.
La caricature risque de compliquer un combat pourtant bien engagé, et le contraire du marxisme, ce n’est pas un marxisme de droite.
Toutes nos prières pour le chanoine et sa communauté,
Saint Pierre dans sa première épître enseigne aux évêques (chapitre V):
« 1 J’exhorte les anciens qui sont parmi vous, moi ancien comme eux, témoin des souffrances du Christ, et qui prendrai part avec eux â la gloire qui doit être manifestée:
2 paissez le troupeau de Dieu qui vous est confié, veillant sur lui, non par contrainte, mais de bon gré; non dans un intérêt sordide, mais par dévouement;
3 non en dominateurs des Églises, mais en devenant les modèles du troupeau. »
https://bible.catholique.org/1ere-epitre-de-saint-pierre/3472-chapitre-5
Modèle doux et libéral. Comme un authentique père qui respecte la liberté de ses enfants.
Encore un évêque félon ?
On reconnaît l’arbre à ses fruits, pas de vocations chez les félons …..
Mgr Schmitz, évêque ? Vraiment ?
Je pense qu’en effet, il y a une erreur du journaliste, par ailleurs très sympathique et au travail remarquable. Mgr Schmitz ne semble pas être évêque. Mais il a droit au titre de « Mgr ». Certaines fonctions confèrent ce droit sans qu’elle soient nécessairement occupées par un évêque.
Non, Mgr Schmitz n’est pas évêque, c’est un simple prélat comme il y en a des dizaines de milliers dans l’Eglise. Jusqu’à il y a peu, les évêques diocésains qui voulaient distinguer un prêtre méritant pouvaient lui faire obtenir ce titre. Maintenant avec le pape François, les conditions sont plus restrictives et il faut que le prêtre ait au moins 65 ans.
Cela dit, il y a des actes qui sont des mépris. Je me souviens de l’anecdote concernant sainte Bernadette Soubirous.
Le préfet l’avait convoquée avec sa mère et avait cru intelligent de la faire attendre longtemps dans une antichambre sans siège. Dans l’intention évidente d’humilier ces deux femmes. La préfète passant par là et voyant ces deux femmes debout leur proposa de leur faire apporter des sièges. La sainte raconte (je raconte cela « de tête », souvenir de lecture): « Maman ne répondit rien. Mais moi qui était méchante, je luis répondis : « Non ! Merci ! Nous les salirions ! »
Il y a des façons de recevoir les gens qui sont une insulte. Un homme qui a fait 600 km en voiture être forcé d’attendre 1/2 dans un salon… quelle impolitesse ! quelle hostilité !
Mgr Schmitz n’est pas un prélat diocésain. Il est un prélat romain suite à ses fonctions dans la diplomatie vaticane. Mais il n’est pas évêque.
Il ne sont pas des dizaines de milliers ! Son nom figure sur l’annuaire du Saint-Siège. Merci d’arrêter d’écrire n’importe quoi !
Notre très saint père le pape émérite Benoit XVI a bien rappelé que la messe de Pie V n’a JAMAIS ETE INTERDITE ?
ALORS pourquoi le Droit Canon de l’Eglise catholique n’est pas appliqué aux fidèles de liturgie traditionnelle ?
Pourquoi les évêques refusent TOUJOURS cette messe aux fidèles qui veulent honorer Dieu avec cette messe sont ceux qui se complaisent dans le rit ordinaire ?
Ils devraient alors se poser la question de savoir si le maître qu’il servent est bien Celui de l’Evangile et
pourquoi cette liturgie donne de nombreuses vocations religieuses qu’ils n’ont assurément plus ?
HOMO MOMINI LUPUS
SACERDOS SACERDOTI LUPIOR!
Bien d’accord avec ces dénonciations de l’hypocrisie et de l’arbitraire de Mgr d’Ornellas.
Ceci dit, maintenant que nous voyons énoncés cette fois au sommet même de l’Eglise des infamies telle que celle de dire qu’il il ne faut pas craindre de pécher car il y a derrière un confesseur, tout cela dit avec un bon rire bien gras, il n’y a plus qu’à tirer l’échelle!
Nous sommes tous au fond du trou. Que faire, que faire, que faire…Prier, d’accord, mais aussi agir.
Je pense que François a voulu exprimer une doctrine que j’avais lue je ne sais plus où que si l’on a une chose bonne à faire, mais que l’on prévoit que dans le cours de cette mission, on commettra des péchés (par exemple se mettre en colère et proférer des injures contre notre ennemi), il fallait accomplir la mission et tant pis pour les péchés. Comme toujours avec François on ne comprend pas très bien, ce n’est pas clair, mais c’est ce que crois avoir retrouvé dans la bouche de François. Cette doctrine morale traditionnelle que je crois l’avoir lue. Je ne l’impose à personne, mais elle me semble valable. Sinon on en vient au jansénisme: on ne fait plus rien pour ne pas pécher. « À sa mort, il n’a rien fait, il est sauvé. » Comme disait ironiquement je ne sais plus qui à propos d’un janséniste.
Moi j’en ai assez de ces déclarations de François faites pour choquer le bourgeois. C’est fatiguant à la fin.
HOMO HOMINI LUPUS
SACERDOS SACERDOTI LUPIOR
Décidément, vous n’aimez pas le latin qui, ici, dit VRAI:
HOMO HOMINI LUPUS
SACERDOS SACERDOTI LUPIOR
Moi, ce sont les censeurs qu je n’aime pas!
Ce reportage est mal ficelé. Il a le mérite d’exister et de mettre en lumière des situations que leurs auteurs auraient préféré laisser dans l’ombre.
Raison de plus ! La partie était belle et facile à jouer, ce n’était pas la peine de la gâcher.
Comme ces lignes seront lues aussi par des partisans de la démolition de l’Eglise, vous comprendrez que je n’indique pas là où le bat blesse.
Mention « peut mieux faire ».
Et par avance, pour ceux qui me soupçonneront de filtrer le moustique et d’avaler le chameau : le comportement de l’évêque semble effectivement difficilement compréhensible et difficilement défendable. D’un point de vue communicationel, sa position est intenable. Les maladresses de communication peuvent lui donner des arguments pour contre-attaquer, où à minima donner des arguments aux durs parmi ses conseillers.
La caricature risque de compliquer un combat pourtant bien engagé, et le contraire du marxisme, ce n’est pas un marxisme de droite.
Toutes nos prières pour le chanoine et sa communauté,