Deux jours avant la divulgation de l’exhortation apostolique Amoris lætitia du pape François, au contenu de laquelle un certain nombre de prélats avaient déjà eu accès, don Nicola Bux présentait son livre Con i sacramenti non si scherza (On ne plaisante pas avec les sacrements, éditions Cantagalli), à Rome, au Palais della Rovere. Le modérateur de la présentation était Guillaume Ferluc, représentant de Paix liturgique à Rome. La lettre de Paix liturgique du 14 avril 2016 donne d’ailleurs toutes précisions sur cette manifestation.
La présence de tel personnage romain auprès de tel autre, par exemple dans un restaurant, la publicité que donne un cardinal à une audience qu’il accorde, l’arrivée de tels ou tels prélats à un colloque, donnent lieu dans la Ville à des dissertations à l’infini sur les compositions et recompositions de réseaux. Or, le mercredi 6, les journalistes de la Sala Stampa Vaticana notaient que la salle était comble pour entendre parler du dernier livre de Nicola Bux, introduit par Vittorio Messori.
Le livre était présenté par les “inséparables” cardinaux Sarah et Burke et par l’ancien président de la banque du Vatican, Ettore Gotti Tedeschi, grand ami de Benoît XVI (et que le cardinal Bertone, alors secrétaire d’État, avait “débarqué” un beau matin sans en informer le doux Benoît). Dans l’assistance, étaient quatre cardinaux : Farina, Saraiva Martins, De Paolis et Brandmüller. Étaient aussi présents : Mgr Viganò, ex-nonce apostolique aux États-Unis, dont la présence fut très remarquée et en étonna plus d’un, Mgr Marchetto, ancien secrétaire de la Pastorale des Migrants, Mgr Pozzo, secrétaire de la Commission Ecclesia Dei, Mgr Laise, ancien évêque de San Luis, en Argentine, et d’autres encore, avec de nombreuses personnalités laïques et d’une foule de jeunes prêtres et séminaristes romains.
« On ne plaisante pas avec les sacrements » … et surtout pas avec l’Eucharistie. Le livre milite pour la redécouverte du caractère sacré des sept sacrements, contre leur banalisation, leur réception indigne ou désinvolte dans un climat de sécularisation, chacun étant présenté par l’auteur dans sa forme ordinaire et dans sa forme extraordinaire. Avec un thème cher à Nicola Bux : il faut aujourd’hui réaffirmer les droits de Dieu dans la liturgie livrée en quelque sorte aux droits de l’homme.
« Comment peut-on ne serait-ce qu’imaginer se moquer de la présence de Dieu ? demandait le cardinal Sarah. Comment peut-on plaisanter avec les sacrements qui sont les signes efficaces – on pourrait dire les médicaments, en particulier l’Eucharistie, qui est le médicament de l’immortalité – pour guérir des blessures du péché et retrouver la santé de l’âme ? Plaisante-t-on avec les médicaments ? Certainement pas ». Le cardinal ne manqua pas de souligner le rôle de Summorum Pontificum dans la resacralisation de la liturgie. Le livre évoque en outre, continuait le préfet de la Congrégation pour le Culte divin, « l’intérêt des jeunes pour la liturgie ancienne [qui] montre qu’est en train “de se produire un changement culturel et générationnel dans la perception de la liturgie, mais bien peu s’en rendent compte alors qu’on parle beaucoup des signes des temps” ».
À la curieuse question du vaticaniste Paolo Rodari, ultra-ratzinguérien sous Benoît XVI, devenu ultra-bergoglien sous François, qui demandait s’il n’était pas possible « de porter un regard positif sur les abus liturgiques », le préfet du Culte divin a répondu, sous les applaudissements de la salle, « qu’un abus n’est jamais positif ».
Un manifestation très réussie et un gros succès enregistré par le très actif Nicola Bux, dont l’édition du dernier livre Come andare a messa e non perdere la fede (Comment aller à la messe sans perdre la Foi, Piemme, 2010), est épuisée.
Il y aura toujours des irréductibles Gaulois . Mais que pèse leur parole ?
La parole d’une seule personne qui se conforme à la Vérité, vaut plus que la somme des paroles de milliards d’autres qui se conformeraient à l’erreur.
PARFAITEMENT BIEN PENSE!
Les maux cesseront de nous accabler, lorsque :
TOUS les chrétiens catholiques auront retrouvé le sens réel de la PRESENCE REELLE dans l’Eucharistie ! lorsque TOUS les chrétiens catholiques cesseront de tutoyer le BON DIEU comme si c’était leur “copain”, pardon Seigneur !
lorsque TOUS les chrétiens qui rentreront dans une Eglise, seront recueillis, car ils rentrent dans la MAISON DE DIEU ! et ce lieu est SACRE ! que nous soyons en 2016 ne change RIEN, car DIEU EST depuis toujours et JESUS FILS DE DIEU ET DIEU Lui-Même est venu sur cette planète et non pas sur une autre, bien que DIEU les a TOUTES CREEES pour nous le dire, nous le montrer car IL est DIEU ; TOUT lui appartient de l’eau qui coule à la planète inconnue encore des humains, jusqu’aux cheveux que nous avons perdus….
IL est le PRETRE par excellence !
Alors que les conciliaires se le disent : les SACREMENTS ont été créés par JESUS FILS DE DIEU et à cause et grâce à ces SACREMENTS nous serons sauvés ! RIEN ne doit changer, le respect le recueillement dans leur nature et leur fonction et dans leur RECEPTION doivent être pris au sérieux au risque d’être jugés sévèrement par DIEU lui-même pour blasphèmes.
Bonjour,
J’ai deux questions
1- L’ordination est-il un sacrement ?
2- Comment s’appelle celui que tu reçois juste précédent ta mort ?
A+
@Denis L
1) Oui
2) Sacrement des malades en cas de maladie mettant en danger le fidèle (voir épitre de St Jacques). Autrefois= Extrême-Onction car on avait pris la mauvaise habitude d’attendre la dernière extrémité. Il y a encore des gens de l’entourage d’un malade grave qui croient que la venue du prêtre va faire mourir le malade. Au contraire, le sacrement peut le guérir.
A+B
IL Y A 7 SACREMENTS:
LE BAPTÊME, LA CONFIRMATION, L’ EUCHARISTIE, LA PENITENCE (Confession), L’ EXTRÊME ONCTION (Sacrement pour les malades et les mourants), L’ ORDRE (Ordination des prêtres), ET LE MARIAGE.