Comme le souligne un post du Salon Beige, BFMTV, ressort un article déjà daté et scientifiquement remis en cause sur la femme de Jésus.
Au delà du serpent de mer, BFMTV nous donne un exemple de la manipulation quotidienne des médias. Mentez, il en restera toujours quelque chose.
Notons le ton de l’article, n’hésitant pas à parler de réactions violentes du Vatican. Il est intéressant de voir que la presse, qui utilise tant qu’elle peut l’image du pape François pour tenter de pousser l’Eglise sur la pente moderniste, se saisit de tous ce qui peut lui permettre de déstabiliser cette vieille dame qui décidément ne se décide pas à mourir.
Alors que déjà l’émotion pédophile retombe, un nouveau brûlot est envoyé sur la forteresse assiégée, espérant créer un peu plus de dégâts. Nous ne pouvons que nous réjouir de tant de sollicitudes de la part d’une médiatesque visiblement très avide des intérêts de l’Eglise. Car bien entendu ce papier sans envergure n’a d’autre but que de permettre à cette Eglise d’un autre âge de sortir de l’obscurantisme en ouvrant le mariage des prêtres.
Loin de comprendre les tenants théologiques d’une telle discipline, ils pensent ainsi faire plier le corps mystique du Christ avec des arguments humains et fallacieux.
Il est intéressant de noté que, comme par hasard, ce brûlot arrive alors que le cardinal Parolin ne trouverait pas extraordinaire de se reposer la question du célibat sacerdotal. Depuis cette remarque de septembre 2013, les journalistes y vont de le petit couplet régulier sur le sujet.
On se demande tout de même pourquoi cette question, si elle n’est après tout que disciplinaire, dont d’aucuns seraient tentés de dire secondaire, les intéresse autant ? Les médias, poussés par une idéologie plus intelligente que leurs propres papiers, auraient-ils donc mieux perçu que certains catholiques l’enjeu du célibat sacerdotal ?