Message des évêques de France sur la situation des chrétiens d’Orient, à l’issue de l’Assemblée plénière de printemps qui s’est tenue du 15 au 18 mars 2016 à Lourdes.
Le bilan des guerres qui ravagent le Moyen Orient se compte aujourd’hui en centaines de milliers de morts, en millions de blessés, de déplacés, de réfugiés.
En Syrie, la guerre civile a éclaté depuis cinq ans. Il y a 18 mois, les chrétiens ont été chassés de Mossoul et de la Plaine de Ninive en Irak. Des familles sont brisées, des enfants sont déscolarisés. La situation des personnes réfugiées et déplacées en Turquie comme en Jordanie ou au Liban est très préoccupante.
Avec eux tous, nous crions pour la paix !Des liens d’amitié et des échanges fructueux se sont renforcés entre les épiscopats d’Orient et l’épiscopat français, notamment par des visites réciproques. Dans les diocèses de France, la mobilisation des fidèles et des communautés est réelle pour l’accueil et le soutien des réfugiés et déplacés qui nous enrichissent par leur foi et leur culture. Avec les organisations caritatives liées au Conseil épiscopal de la Solidarité, nous continuons à manifester à nos frères d’Orient notre soutien et notre proximité.
A la suite du Pape François et des évêques d’Orient, nous demandons que tout soit fait pour l’arrêt des combats, pour l’acheminement de l’aide humanitaire aux populations sinistrées et pour le retour des populations déplacées sur leur terre.
Les chrétiens irakiens et syriens sont facteurs de paix dans leur pays ; il serait dramatique qu’ils disparaissent de la carte du Moyen-Orient.
Nous manifestons notre vive inquiétude face aux lenteurs et aux difficultés d’obtention de visas pour la France pour les réfugiés et les déplacés à Erbil en Irak.
Aux autorités publiques françaises et internationales, nous demandons de ne pas relâcher leurs efforts pour aider les minorités vulnérables, comme les Yézidis et les Chrétiens.
Il est urgent de retirer aux groupes terroristes les moyens de nuire, en Orient comme ailleurs.Prochainement, Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille, Président de la Conférence des évêques de France, se rendra au Kurdistan pour signifier concrètement le soutien de l’Eglise de France à nos frères d’Orient.
Conscients de leur détresse, au moment où les communautés chrétiennes célébreront les fêtes de Pâques, nous prions pour que les chrétiens en Orient gardent des raisons de croire et d’espérer.
Nous rendons grâce pour leur témoignage de foi qui encourage les chrétiens de notre pays à vivre leur propre foi de manière plus profonde et plus explicite encore.
Les évêques de France réunis en Assemblée plénière
Mars 2016
Il est urgent de retirer aux groupes terroristes les moyens de nuire, en Orient comme ailleurs.
les bombes venues du ciel pas vraiment utile comme moyen sauf à anéantir tout un pays…..
relire le Coran et montrer en quoi il est erreur !
se battre sur le plan spirituel pour enlever l’épée aux terroristes peut être là un moyen plus efficace
mais si le terroriste arrêté en Belgique coauteur des attentats du 13 Novembre subit un procès va t on faire le procès du Coran ?
voilà où l’Eglise est en première ligne, dire et redire aux Musulmans que Dieu n’a pas demandé de couper la main du voleur, comme de lapider la femme adultère. Et pourtant même la loi de Moïse l’a dit, cet article, sur la femme adultère ! Et le Seigneur a balayé de sa main en écrivant quelque chose sur le sable du Temple, cet article de la Loi, et pas que cet article. Se pouvait-il que Moïse fût dans l’erreur en traduisant les paroles du Dieu tout puissant ?
voilà pourquoi l’Eglise doit se battre jusqu’au sang pour redonner à la religion chrétienne sa première place, celle de la Vérité, et de la Vie et du Chemin.
et assez !!! de voir une Eglise obligée à subir des procès à cause de la perversité de certains de ses prêtres ou autres responsables, au lieu de sauver les Chrétiens par la puissance de la parole.
bien sûr que Moïse s’est trompé ! Mais cela n’enlève pas le rôle énorme qu’il a joué dans le cheminement du peuple juif et donc de l’avènement de notre Seigneur Jésus. Le salut vient des juifs, mais la vérité vient des disciples du Christ. Moïse s’est trompé, peut être simplement en acceptant bêtement l’ordre du Seigneur et non pas en le discutant ? Abraham a fait cette même erreur avec son fils Isaac. Oui le Seigneur peut dire des choses graves, mais à nous les hommes de répondre à Dieu : il n’en est pas question !
Avec Abraham, Dieu a été rapide comme l’éclair, avec Moïse, lent, le temps de trouver comment nous enseigner en vérité, par l’arrivée du Christ sur terre.
ne soyons pas soumis comme les Musulmans, soyons fiers de notre origine divine grâce au Seigneur Jésus, et apprenons à ceux qui n’espèrent qu’un rôle de serviteur que la gloire d’être enfant de Dieu, c’est supérieur ! Mais c’est exigeant !