En ce temps caractérisé par l’individualisme et par la tentation du repli sur soi, le Saint-Père encourage les prêtres à remettre au centre le Sacrement de la réconciliation et à accompagner les personnes qui s’approchent du confessionnal.
«Tous, a-t-il réaffirmé avec force, peuvent obtenir le pardon de Dieu. Dieu est un Père qui aime et attend tous ses enfants, en particulier ceux qui se sont fourvoyés ou qui se sont éloignés. Le Sacrement de la réconciliation est le lieu privilégié pour faire l’expérience de sa miséricorde.»
«Les confesseurs ne doivent jamais oublier, a prévenu le Pape François,
qu’ils sont des instruments de la miséricorde de Dieu et ils doivent veiller à ne pas faire obstacle au don du salut. Le confesseur est lui-même un pécheur qui a besoin d’être pardonné. Cela exige de la part des prêtres une grande cohérence évangélique, une bienveillance paternelle, une fois humble et généreuse ; nous sommes des gardiens jamais des maîtres, aussi bien des brebis que de la grâce.»
Source Radio Vatican