Malgré les sondages, on pouvait penser que Trump avait compromis ses chances pour la primaire du 20, mais c’était sans compter sur la Providence en la personne du pape François. Le Vatican est protégé par une énorme enceinte érigée sur ordre du pape Léon IV au IXe siècle (en réponse à une invasion musulmane) et des consignes d’accès très strictes, sans oublier la garde suisse, mais le vicaire du Christ (à moins qu’il ne soit « un pion du gouvernement mexicain venu prêcher des comportements hors la loi », selon la formule de Trump) célébra une messe à Juarez, sur la frontière mexico-américaine, d’où il jugea que les migrants illégaux étaient des victimes. Il ajouta que tout homme envisageant de construireun mur n’était « pas chrétien».
François est pétri de la théologie de la libération, mêlant foi catholique et marxisme. Les deux étant inconciliables, le marxisme l’emporte.
François est célèbre aussi pour avoir accepté un crucifix représentant le Christ non sur une croix, mais sur une faucille et un marteau, art blasphématoire s’il en fut.
De plus, il copine en un œcuménisme douteux avec Obama, Rouhani, les frères Castro et toute la gauche. La réplique de Trump, présidentielle, fut que « seul un président Trump pourrait protéger la chrétienté d’attaques islamistes, y compris le Vatican, trophée ultime ».
François s’est immiscé dans la politique américaine. Ce sont ses propos et son militantisme outrancier qui sont non-chrétiens. En excluant Trump (et donc les millions de personnes qui veulent protéger leur nation et leurs droits, aux États-Unis et ailleurs) de la communauté chrétienne, il fait de son apostolat une forfaiture.
La victoire de Trump lui assène un soufflet qu’il a bien cherché…
Évelyne Joslain
source Les AV Hebdo
On l’aime notre pape, même et peut-être à cause de ses faiblesses.
@Joseph2,
A ce niveau là de responsabilité, ce ne sont plus des faiblesses; c’est de la perversité pure et simple.
Arrêtez de vous leurrer, il nous mène droit en enfer.
Sauvons nous de lui; c’est le mieux que l’on puisse faire.
Ce commentaire est violent.
Mais les propos du Pape étaient excessifs, c’est un fait.
D’où le rétropédalage en catastrophe de la salle de presse du saint-Siège.
” Qui suis-je pour juger”……..TRUMP?
Ce pape a le don de nous faire sursauter dans sa foi et dans la nôtre ! J’aime son audace pour nous remettre en question sans vouloir renier le Christ !
Depuis la nuit des temps, il y a toujours eu des clôtures et des murs entre les nations et même entre les particuliers. C’est un bien et/ou un mal nécessaire dans la vie. Notre âme est elle-même prisonnière de notre propre corps. C’est toute une clôture !
Dans le développement du concept du dieu argent et du je-me-moi de notre culture, j’opte plus dans le sens d’avoir un esprit ouvert au dialogue que de perdre son temps à ériger continuellement des murs de divisions.