Ce vendredi 23 octobre, Mgr Guido Pozzo, secrétaire de la Commission Pontificale Ecclesia Dei, a célébré la messe et donné l’homélie pour la fête de saint Antoine Marie Claret en l’église de Santa Maria in Portico in Campitelli.
Guillaume Ferluc, sur Le Forum Catholique, nous livre cette homélie dont nous retenons un extrait sur la messe traditionnelle :
Où peut-on d’ailleurs vivre, contempler et intérioriser, de façon privilégiée et sûre, la rencontre avec le mystère divin ?
La grandeur de la liturgie consiste non pas à offrir un divertissement spirituel, aussi plaisant soit-il, mais à se laisser toucher par le mystère de Dieu qui se présente à nous puisque, par nos forces seules, nous ne réussirions pas à nous en approcher.
La célébration de la Sainte Messe dans le rite romain traditionnel met en évidence des éléments et des aspects indispensables pour nous faire percevoir la sacralité du Rite, la présence réelle du Christ, le caractère sacrificiel de la Messe qui est, précisément, le sacrifice du Christ. Tout ceci participe à la construction du corps du Christ qui est l’Église.
La liturgie ancienne n’est pas une relique du passé mais une réalité vivante de l’Église qui contribue à rendre actuel le patrimoine de sainteté et de prière que la Tradition nous transmet.
La célébration de la Sainte Messe selon la liturgie traditionnelle nous fait aussi mieux prendre conscience de ce que la raison d’être de la liturgie est l’adoration du mystère de Dieu, Père, Fils et Esprit Saint. La grandeur de la liturgie et sa force résident dans l’éducation des croyants à l’adoration : il n’y a que dans l’adoration que peut mûrir l’expérience profonde de la rencontre vécue avec le Dieu vivant. Dans l’acte d’adoration mûrit également la mission sociale de l’eucharistie qui, non seulement abat les distances entre Dieu et nous, mais entend aussi abattre les frontières qui nous séparent les uns des autres et qui empêchent la réconciliation fraternelle et la bonne entente entre les hommes.
Pendant votre pèlerinage romain, alors qu’est sur le point de s’ouvrir l’année jubilaire de la miséricorde, proclamez à voix haute la profession de notre foi catholique. Nous croyons avec une ferme certitude que le Seigneur Jésus a vaincu le mal et la mort. Forts de cette confiance assurée, nous nous confions à Lui : Christ présent au milieu de nous vainc la puissance du Malin et l’Église, en tant que communauté visible de sa miséricorde, demeure comme le signe de notre réconciliation définitive avec le Père.
Comment vaincre le mal et le Diable si nous vivons dans un pays où il y a de plus en plus de personnes contre les catholiques?
Merci Mgr pour ces paroles de vérité.
Beaucoup de catholiques se laissent séduire par le divertissement spirituel
Dans mon ancienne paroisse, aujourd’hui désert ecclésial, il existe une grande confusion liturgique a tel point que beaucoup des ses brebis égarées parlent de cérémonie et non de célébration pour la messe. Les mots ont un sens mais pour ces personnes la liturgie (ou se qu’il en reste) n’a plus aucun sens.
je réponds à : Ecossais : je demeure au pays de ste jehanne d’arc le bourg de vaucouleurs à 21 kms de domrémy la pucelle. Vaucouleurs point de st sacrifice de la messe, une sorte de metting et danse impuron chantejésus nous aime ,peace lovesblasphèmes sur blasphèmes,aimons nous folle ville,pour ma part je suis fidèle à notre chère fraternité st PIE 10,mais il faut faire l’effort de rouler 100 kms .A.R, et être considéré comme un blasphémateur,nazi et autres épithètes. mais NS SEIGNEUR JESUS n’a t’il pas été blasphémé,insulté,c’est qu’ils m’ont fait dit NS JESUS ils feront pour vous . prions pour les prêtres égarés et le troupeau paganisé.