Le journaliste vaticaniste de la Stampa André Tornielli vient de publier un nouveau livre intitulé Pape François : cette économie nous tue, qui reproduit une interview conduite en octobre 2014 avec le souverain pontife. Dans cet entretien, le Pape réitère ses vives critiques contre l’économie globalisée et les conséquences désastreuses qu’elle engendre. Rejetant tout d’abord l’idée que les marchés et les institutions financières puissent bénéficier d’une entière autonomie, il relève par ailleurs que même si l’économie mondialisée peut permettre de développer les richesses de certains pays, elle condamne par le même mouvement nombre d’autres populations à la misère, et à « de nouvelles formes de pauvreté. » Dans cet esprit, le Pape considère que « l’argent devient une idole, et les hommes sont réduits au rang de simples outils d’un système économique et social dominé par de fortes inégalités. »
Très bien!
Ce serait intéressant de recommander la lecture des principes économiques et monétaires connus sous le nom de Credit Social tel qu’enoncé par Clifford Hugh Douglas.
c’est bien courageux de désavouer les puissants partisans et acteurs du mondialisme