Communiqué du Cœtus Internationalis Summorum Pontificum (8 septembre 2013, en la fête de la Nativité de la Vierge)
Le cardinal Castrillón à Saint-Pierre de Rome
avec le peuple Summorum Pontificum
Le CISP est très heureux d’annoncer que c’est le cardinal Dario Castrillón Hoyos qui célébrera pontificalement en la Basilique Saint-Pierre, le samedi 26 octobre, à 11 heures, lors du prochain pèlerinage du peuple Summorum Pontificum à Rome. Cette célébration du 26 octobre sera l’occasion pour les prêtres séculiers et religieux, les séminaristes et les fidèles du peuple Summorum Pontificum de manifester leur reconnaissance et leur affection envers le cardinal Castrillón pour toute l’œuvre fructueuse qu’il a accomplie au service de l’Église, en particulier à l’occasion de l’élaboration et de la publication du Motu Proprio Summorum Pontificum, dont il est le témoin historique et la mémoire vivante.
Le CISP remercie d’autant plus vivement Son Éminence pour sa disponibilité, que ce 26 octobre sera pour Elle le 61ème anniversaire de son ordination sacerdotale, qui lui a été conférée à Rome, le 26 octobre 1952, en la basilique des Saints Apôtres. Cette messe pontificale d’action de grâces sera l’un des temps forts du pèlerinage tout au long duquel s’exprimera l’éternelle jeunesse de la forme extraordinaire du rite romain que le peuple Summorum Pontificum entend apporter à l’élan missionnaire de la Nouvelle Évangélisation.
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heuerreuse nouvelle que de voir le rite tridentin reprendre une place esentielle ! quand donc les prêtres défroqués de France vont-ils cesser nous persécuter !
“éternelle jeunesse”… ce n’est pas un peu pousser ?
La forme extraordinaire reste inscrite dans le temps, du moins aux dernières nouvelles. Et la réforme tridentine reste extrêmement marquée par un contexte historique de lutte contre la Réforme…
Oui la forme extraordinaire est riche, très riche, mais elle n’est pas non plus l’aboutissement ultime de la liturgie occidentale, ne serait-ce que parce que l’homme occidental évolue, avec sa pensée, sa sensibilité et ses besoins.
Pour que la forme extraordinaire puisse vraiment enrichir l’Eglise universelle, il faut cesser de la mettre sur un pied d’estale : il faut la prendre telle qu’elle est, avec ses richesses et ses limites aussi.
Pauvre eljojo (oui, le Jojo, nomen est omen), vous n’avez jamais entendu parler de la croissance organique du rite romain? Renseignez-vous un peu avant d’écrire des âneries.
Le cardinal Castrillon Hoyos n’est-il pas celui qui a été “remercié” par Benoît XVI pour ne pas avoir jugé que les propos de Mgr Williamson sur la seconde guerre, et surtout son état d’esprit, pouvaient poser un sérieux problème au moment de la levée des excommunications des évêques lefebvristes ?
Theobaldus, le cardinal Castrillón a quitté ses fonctions quand il a atteint 80 ans, ce qui s’est produit 5 mois après l’affaire Williamson. Cette “légende” du cardinal “viré” à cause de l’affaire Williamson est assez ridicule, puisque ce départ à 80 ans était prévu de longue date.