Sur le site de son diocèse, l’évêque de Nantes a écrit un texte pour louer la cathédrale. Extrait :
“Depuis le quartier de St Similien ou de Malakoff, j’aime apercevoir la cathédrale de Nantes. Elle fait corps avec la ville. Les travaux considérables engagés par l’Etat, pour la restauration de l’édifice après l’incendie de 1972, et qui se poursuivent actuellement au chevet nord, l’illumination récente de la façade par les services de la ville de Nantes, donnent à contempler un des joyaux de notre patrimoine national. Cet édifice est lié à la cité de Nantes : celle-ci a construit la cathédrale. Et la cathédrale rassemble en un lieu des siècles d’histoire de Nantes et de sa région.
Chaque visiteur, en entrant dans la cathédrale, se rappelle ce qu’elle est, pour lui : Un édifice religieux ancien. Un témoin de l’histoire. Le lieu du fameux tombeau de François II. Un monument qui a souffert de la guerre. Une toiture qui a pris feu. L’église où il a vécu un événement de sa vie ou de la vie du diocèse. Le lieu de prière où il aime parler à son Dieu.. A chacun son approche sur la cathédrale. Mais sa réalité, c’est d’attirer l’attention de tous sur le message chrétien. Il faut laisser parler la cathédrale : elle parle du Christ à tous les âges. On y célèbre la liturgie chrétienne. […]
La cathédrale de Nantes est un édifice majeur dans la cité et pour la vie du diocèse. Elle aide les visiteurs à mieux comprendre sur quelles valeurs spirituelles au cours des siècles, a été façonnée la culture de notre région. Elle rappelle aux chrétiens le message dont ils sont porteurs et la mission des artistes, des bâtisseurs de cathédrales d’hier et d’aujourd’hui. Le concile Vatican II, dans son message aux artistes, y affirme : « Ce monde dans lequel nous vivons a besoin de beauté pour ne pas sombrer dans la désespérance. La beauté, comme la vérité, c’est ce qui met la joie au cœur des hommes, c’est ce fruit précieux qui résiste à l’usure du temps, qui unit les générations et les fait communier dans l’admiration. Et cela par vos mains..”
Oui, laissons parler les pierres ! En ce Jour là les pierres crieront…
On y célèbre “la liturgie chrétienne…” ou la Sainte messe ?
Le concile Vatican II, dans son message aux artistes, y affirme : « Ce monde dans lequel nous vivons a besoin de beauté pour ne pas sombrer dans la désespérance. La beauté, comme la vérité, c’est ce qui met la joie au cœur des hommes, c’est ce fruit précieux qui résiste à l’usure du temps, qui unit les générations et les fait communier dans l’admiration. Et cela par vos mains.. »
quel dommage que Vatican II si plein de bon sens ait substitué la messe si belle qu’elle en est canonisée de Saint Pie V par celle si pauvre et modulable de Paul VI et que l’Église n’ait pas lu ce passage de Vatican II, elle ne se serait pas alors défaite de tous ses magnifiques ornements liturgiques, chasubles, calices et autres, parfois retrouvés dans les marchés aux puces, pour s’équiper de calice en terre et de vétements les plus simples et pauvres possibles; iconoclaste dirait le capitaine Haddock.
A aucun moment cet article ne donne le nom de cette cathédrale Saint-Pierre, saint Pierre bien oublié à quelques jours de sa fête!
Quant au texte cité, c’est l’attrape-nigaud destiné à faire voter oui la majorité. Le latin doit être conservé, autre texte attrape-nigaud. C’était pour endormir les pères du Concile, ceux qui étaient encore catholiques en tous cas, et permettre aux progressistes au pouvoir de tout brader de la la liturgie, du grégorien et de l’art religieux, qui n’étaient plus conformes au nouveau credo.