Itinerarium

Dominique Venner : du suicide et de l’enseignement de l’Eglise

Commentaire (1)
  1. Michel dit :

    Historien de qualité Dominique Venner a été présenté par les médias comme un homme d’extrême droite, ce qui signifie qu’il ne mérite pas qu’on en parle.
    Il faudrait donc gommer tout le travail de l’historien, le réduire à son geste fatal ? Je suis peiné parce que je constate l’absence de réaction claire des médias catholiques. Cet homme s’est réfugié dans la cathédrale, près du tabernacle, comme un enfant en grande souffrance, alors qu’il était un homme engagé (même si l’on ne partage pas tout son engagement) le contraire d’un tiède. Son choix n’est pas un hasard.
    Je ne verrais plus ces lieux de la même manière, entre la conversion d’un écrivain et la destruction d’un autre.
    Geste terrible qui devrait nous interpeller, non pour admirer le désespoir qui tue, mais pour réfléchir à tout ce qui ce passe aujourd’hui dans notre société, dans l’Eglise catholique en France.
    A ma connaissance cet homme de lettre et de conviction a été bien moins dangereux que les défenseurs de l’euthanasie, ses écrits dans la NRH exprimaient parfois ce que pense bon nombre de personnes.
    Il faut prier aujourd’hui pour Dominique Venner.