Contrairement à ce qu‘a déclaré Mgr Jean-Luc Brunin, évêque du Havre et président du conseil Famille et société de la Conférence des évêques de France, le 17 mai sur Radio Vatican :
« la mobilisation doit continuer, non pas sur le terrain politique, puisqu’un chrétien doit accepter dans un espace démocratique que la loi ne soit pas l’exact reflet de ses convictions ; mais la mobilisation doit se poursuivre sur le terrain de l’anthropologie. Il existe une vision chrétienne de l’Homme qu’il faut continuer à promouvoir, pas simplement en manifestant ou par des discours, mais aussi par le témoignage de vie auprès des autres. Enfin il y a une mobilisation éthique, une éthique éclairée par l’Evangile ».
Dans sa note doctrinale sur ce type de loi, le cardinal Ratzinger écrivait :
« Lorsqu’on est confronté à la reconnaissance juridique des unions homosexuelles, ou au fait d’assimiler juridiquement les unions homosexuelles au mariage, leur donnant accès aux droits qui sont propres à ce dernier, on doit s’y opposer de manière claire et incisive. Il faut s’abstenir de toute forme de coopération formelle à la promulgation ou à l’application de lois si gravement injustes, et autant que possible ne pas coopérer matériellement à leur application. En la matière, chacun peut revendiquer le droit à l’objection de conscience. »
Ce droit à l’objection de conscience, qui doit être désormais mis en avant par les maires, les professeurs, les parents, etc., de façon à ne pas coopérer à l’application de la loi Taubira est bien évidemment un acte politique. Et une loi inique est faite pour être abrogée.
« un chrétien doit accepter dans un espace démocratique que la loi ne soit pas l’exact reflet de ses convictions »
Sommes nous vraiment dans un espace démocratique quand le pouvoir refuse un référendum sur une loi qui remet en cause le fondement même de notre société :la famille ?
Mgr Jean-Luc Brunin, est sans doute plus attaché a ses amis politiques de la gauche caviar qua sa foi
bien sûr qu’il faut l’abroger et au plus vite!La CREATION a fait union d’un hmme et d’une femme donc de sexe oppsé etnon du même sexe.L’humanité devient décadente.Cea mefait penser au temps de la GRANDE ROME,et l’on sait our ceux qui ont lu ce qu’est devenu ROME,.Pratiquement tousleseereurs étaient homos et ont fait des émules.L’histoire va se répéter.
Bonjour,
Est-ce que tous les prêtres, évêques auront le courage de dire non s’il se présente des « rigolos »qui demanderont de « bénir » leur union ? est-ce que beaucoup de prêtres ou évêques seront au rendez-vous le 26 mai ? pour montrer que eux aussi sont contre toutes ces lois sataniques qui ne sont qu’un avant-goût de ce qui se prépare réellement ? Nous demandons simplement à être soutenus dans ce combat contre cet état qui fait tout pour terminer ce que d’autres ont commencé : qu’il n’y ait plus de chrétien catholique sur cette terre de France.
En plus de vos prières, n’ayez pas peur de vous montrer comme peu l’ont fait depuis que le « réveil a sonné ».
oui une Loi inique doit être abrogée et nous devons nous battre pour qu’il en soit ainsi?n’en déplaise à Mgr Jean-Luc BRUNIN qui semble oublier ce qu’a dit sur ce sujet notre bioen aimé Pape Benoit XVI .
Charles-Henri.
« Demandons-nous aujourd’hui: sommes-nous ouverts aux ‘surprises de Dieu’? Ou bien nous fermons-nous, avec peur, à la nouveauté de l’Esprit Saint? Sommes-nous courageux pour aller par les nouveaux chemins que la nouveauté de Dieu nous offre ou bien nous défendons-nous, enfermés dans des structures caduques qui ont perdu la capacité d’accueil? »
Tous au grand meeting évangélique -éthique pour un partage festif et convivial ,solidaire et durable…rendez vous et veille continue sur le champ anthropologique .aucun risque de coups de matraque.Mitre rembourée de bons principes recommandée ,car on ne sait jamais…avec ces jeunes…!
Bonjour,
1. Devons-nous rappeler aux uns et aux autres que nous ne sommes plus en démocratie depuis au moins vingt ans ?
A. Devons-nous rappeler aux uns et aux autres cette phrase inouie de Jacques DELORS, alors Président de la Commission européenne, au cours de l’année 1992 : « Ceux qui sont contre le Traité de Maastricht n’ont qu’à arrêter de faire de la politique ! »
B. Devons-nous rappeler cet aveu inoui du même Jacques DELORS, dans ses Mémoires : « Je connais les mérites, mais aussi les limites, de la méthode des pères fondateurs, une sorte de doux despotisme éclairé. Une méthode saint-simonienne qui consacre la compétence et l’indépendance d’esprit comme principe de légitimité, sans toujours s’assurer à l’avance du consentement des peuples. (…) Cette méthode Monnet se justifiait au début de l’aventure. Mais, n’ayons pas peur de le dire, cette politique – semi-clandestine – n’est plus possible et le moment est venu de rompre avec la méthode des pères fondateurs. » ?
C. Devons-nous éclairer davantage les lecteurs, en leur rappelant
– qu’un despotisme doux est nécessairement mou avec les uns, et dur avec, ou plutôt contre, les autres ?
– qu’un despotisme éclairé est nécessairement éclairant pour les uns et aveuglant pour, ou plutôt contre, les autres ?
2. Devons-nous rappeler ce qui suit ?
– ce qui est en jeu ici n’est évidemment pas sans rapports avec l’anthropologie chrétienne, avec la Foi, l’Espérance, la Charité, mais porte aussi sur la véritable liberté, la véritable égalité, la véritable fraternité, lesquelles, bien comprises, ne sont pas contraire, mais conformes, au bien commun, au sens commun, à la loi naturelle ;
– ce qui est utilisé ou véhiculé, au sein ou autour de la législation en cause ici, consiste précisément à soumettre la liberté au libertarisme et l’égalité à l’égalitarisme, pour provoquer un découplage, apparemment libérateur, à très court terme, mais effectivement asservissant, à moyen terme, entre une conception fallacieuse de la liberté, de l’égalité, de la raternité, d’une part, et le bien commun, le sens commun, la loi naturelle, d’autre part.
3. En réalité, tous les êtres humains, chrétiens ou non, croyants ou non, un tant soit peu respectueux et soucieux, vis-à-vis de la vérité objective et de la liberté responsable, devraient faire preuve de résistance et de vigilance, au contact de ce qui se joue, depuis, au moins, 1975, au coeur de l’esprit public et au sein du corps social.
4. Pour autant, le combat à mener n’est pas avant tout ni seulement politique, dans l’acception électorale ou politicienne du terme ; il est avant tout politique dans l’acception intellectuelle et programmatique du terme, mais il est aussi culturel et sociétal, et, pour tout dire, médiatique.
5. En effet, les défenseurs et promoteurs de la vérité objective et de la liberté responsable, de la liberté de la conscience et de la dignité de la personne, dans le respect et le souci du bien commun, du sens commun, de la loi naturelle, doivent pouvoir se mobilier et s’organiser, afin de disposer d’un espace d’expression, d’un organe d’expression, dans la sphère médiatique audio-visuelle.
6. D’une manière plus interne à l’Eglise catholique, c’est à nous à préciser ou à rappeler à nos évêques qu’il ne s’agit pas avant tout ni seulement d’un débat à ouvrir, mais qu’il s’agit également d’un combat à mener, contre une lame de fond anthropologique et civilisationnelle qui fonctionne à la falsification généralisée.
7. Ainsi, le mariage pour (presque) tous n’est que l’une des composantes du mirage pour tous, qui permet, au passage, d’ouvrir de nouveaux droits aux uns, en faisant oublier qu’il permet également de fermer d’autres droits à d’autres ou aux mêmes, au moyen du chômage pour (presque) tous.
8. Face à ce qu’il faut bien appeler la dictature du relativisme, opposé à toute hétéronomie, à toute hiérarchie, à tout jugement de valeur, sauf contre ceux qui lui résistent, il nous faut tirer parti du fait que nous connaîtrons, cette année, le 20 ème anniversaire de la publication de la lettre encyclique Veritatis Splendor.
9. Sur toutes ces questions, cette encyclique magistrale devrait pouvoir être la boussole doctrinale commune aux évêques, aux prêtres, aux fidèles ; exhortons nos évêques à la faire connaître et comprendre par tous : les parents, les futurs prêtres, les prêtres, les croyants non chrétiens, les humains non croyants.
10. Voici, pour conclure ce message, un passage de VS :
» 94. Dans ce témoignage rendu au caractère absolu du bien moral, les chrétiens ne sont pas seuls : ils se trouvent confirmés par le sens moral des peuples et par les grandes traditions religieuses et sapientiales de l’Occident et de l’Orient, non sans une action intérieure et mystérieuse de l’Esprit de Dieu. Cette réflexion du poète latin Juvénal s’applique à tous : « Considère comme le plus grand des crimes de préférer sa propre vie à l’honneur et, pour l’amour de la vie physique, de perdre ses raisons de vivre ». La voix de la conscience a toujours rappelé sans ambiguïté qu’il y a des vérités et des valeurs morales pour lesquelles on doit être disposé à donner jusqu’à sa vie. Dans les paroles qui défendent les valeurs morales et surtout dans le sacrifice de la vie pour les valeurs morales, l’Eglise reconnaît le témoignage rendu à cette vérité qui, déjà présente dans la création, resplendit en plénitude sur le visage du Christ : « Chaque fois — écrit saint Justin — que les adeptes des doctrines stoïciennes ont fait preuve de sagesse dans leur discours moral à cause de la semence du Verbe présente dans tout le genre humain, ils ont été, nous le savons, haïs et mis à mort ».
Je remercie par avance toute personne qui voudra bien que ce message, s’il comporte quelque intérêt, soit publié, et je souhaite une excellente continuation aux animateurs et aux responsables de Riposte catholique et à leurs lecteurs.
A Z
Jusqu’où la CEF « jureuse » nous entraînera-t-elle ?
Protestation :
* Nonce apostolique :
Mgr Ventura tel 01 53 23 01 50
e-mail [email protected]
*Conférence des évêques de France :
58 avenue de Breteuil 75007 Paris;
e-mail du Secrétaire général de la Conférence : [email protected]
Et Résistance !
Nous sommes d’accord!
Notre engagement doit être éthique et éclairé par l’Évangile. Nous avons le devoir d’accueillir et de porter la Paix de notre Maître au monde.
Nous avons le devoir d’évangéliser notre siècle cependant cela ne signifie pas seulement: nous adapter à la modernité mais bien plus d’éclairer les choix de notre époque.
Oui, nous sommes témoins (martyres) de notre Seigneur, et en tant que tels nous avons à assumer notre responsabilité de citoyens chrétiens.
En monarchie (de droit divin?) Le roi fixe les décrets du Ciel; en démocratie, tous les citoyens rédigent, ensemble, les lois « En Vérité ». C’est du moins l’éclairage que doit choisir un citoyen catholique.
Notre engagement est donc aussi politique. Ce qui signifie, ici, que nous avons pour le moins un devoir de résistance et d’objection qui doit être concilié avec notre devoir d’évangéliser: notre devoir d’accueillir et de répandre La Paix. Nous ne sommes pas « du monde » mais nous semons au cœur du monde; nous sommes donc des citoyens à part entière et nous restons sans crainte et sans arrogance, voilà notre attitude politique.
L’ Esprit de Vérité fera le reste.
Fraternellement
Bonjour,
Les sous-marin ne sont malheureusement pas tapis qu’au fond des océans !
Ils le sont, malheureusement, également dans l’église catholique. Mais que cherchent-ils donc? Sont-ils prêts même à renier leur « foi » en Notre Seigneur JESUS-CHRIST pour garder leur place bien au chaud à la tête du troupeau?
Tous les tièdes seront vomis par le Créateur.
Une seule loi peut et doit être suivie: LA LOI DE DIEU et les 10 Commandements. Ceux qui chercherez à tergiverser doivent être dénoncés comme des renégats et des apostats. Fussent-ils évêques.
Maranatha!
Merci!
JFL
Le commentaire de cet évêque pose problème. il sous entend qu’une loi aussi grave que celle qui organise le mariage puisse être laissée à l’appréciation de « convictions »…Sans doute Mgr a -t-il oublié qu’une « conviction » puisse être erronée, comme c’est le cas pour les idéologues qui mettent beaucoup de « conviction » à démolir la famille, la filiation et autres réalités naturelles que la loi a pour mission de protéger. C’est le nouveau mantra de nos évêques: « les convictions ». Il n’en est pourtant jamais question dans l’Evangile. Jésus ne prêche pas ses « convictions », mais la vérité. Ce discours sur les « valeurs » et les « convictions » est un piège sémantique dans lequel tombent beaucoup de chrétiens. Une « valeur », c’est quelque chose de très subjectif. Le bien et le mal n’existent plus en eux-mêmes, mais selon la « valeu »r que chaque sujet attribue à tel ou tel comportement, ou telle ou telle réalité. la pensée d’un homme n’est respectable que par sa correspondance avec la vérité, et non pas la conviction qu’il peut mettre à défendre aussi le mensonge. De ce point de vue-là, les fossoyeurs du mariage mettent beaucoup de « conviction » à vouloir imposer l’idéologie du genre. les CRS mettent beaucoup de « conviction » à gazer et à frapper des femmes et des enfants. Ils n’en sont pas moins dignes de notre profond mépris. Le discours de la « conviction » est d’un bourgeois consommé. Je regrette que Léon Bloy ne soit plus de ce monde pour régler son compte à ce langage qui gangrène les catholiques. Une conviction n’est respectable que si elle est vraie. Sinon, il faut la combattre sans état d’âme.
L’évêque a bien dit : « dans un espace démocratique…. le chrétien doit accepter que les lois…. »
Oui oui « dans un espace démocratique » précisément !
On aimerait , j’aimerais , entendre « les évêques » la cef sur ce qu’est un espace démocratique et si nous sommes dans « espace démocratique » en l’occurrence
Bien sûr que c’est de la politique « manichéenne » !
Le parti socialiste a focalisé l’attention des Français sur le « mariage pour tous » qui n’intéresse qu’une minorité chez les homosexuels.
Et pendant ce temps-là que s’est-il passé, voir le lien ci-dessous :
http://mediapresse75.wordpress.com/2013/05/16/%E2%96%BA-le-senat-vote-la-fin-du-cdi-et-tout-le-monde-sen-fout/
Diviser pour régner !
Je m ‘ étonnais pourquoi notre chère jeunesse n ‘ était pas plus soutenue par nos évêques.
Nos jeunes risquent gros , criant leur révolte dans la France entière devant l ‘ angoissant avenir que leur prépare nos dirigeants .
Réponse de nos évêques : SILENCE ASSOURDISSANT
Qui a défendu Nicolas, , prisonnier politique?
Qui dénoncent les violences policières contre ces gamins ?
Il faut faire le ménage dans l ‘ église
L ‘ heure est à la purification dans tous les domaines
Dénoncons haut et fort les faux évques , traitres à l ‘ Eglise