Pendant que continuent d’être distillées dans les médias, une à une et jour par jour, les informations qui tentent de rendre responsable Benoît XVI des agressions sexuelles commises par une toute petite minorité de prêtres catholiques au cours de ces 50 ou 60 dernières années, le Saint-Père continue de dire tranquillement la vérité. Et notre devoir de courage.
Lors d’une homélie improvisée, jeudi matin, à l’occasion de la messe qu’il célébrait dans la chapelle Pauline pour la Commission biblique, il a appelé tous les catholiques à la « pénitence », mot qu’ont retenu les gros médias comme preuve d’un mea culpa individuel et collectif. Ce qui reste à démontrer.
Ils ont prêté moins d’attention à ces mots qui pour être partis du cœur n’en sont pas moins profondément réfléchis et terriblement éclairants sur les temps que nous vivons : parlant des « agressions contre l’Eglise » il y a vu la preuve d’un « conformisme » qui a remplacé « les dictatures nazie comme marxiste ». Lire la suite !