Le rapport de synthèse du synode de Versailles, de 54 pages, est accessible ici. La forme extraordinaire est mentionnée à la page 15, comme l’une des préoccupations des fidèles. Mais elle n’est pas retenue parmi les sujets devant être soumis à l’évêque (page 46-47) :
La mise en oeuvre de ces critères aboutit à identifier 12 sujets susceptibles d’être soumis au travail de l’assemblée. Parmi eux, il nous semble raisonnable que l’évêque en retienne 6, en fonction des enjeux de conversions propre à chacun :
1. la formation chrétienne, des jeunes et des adultes
2. liturgie & formation
3. les synergies pastorales (dont la situation particulière des villages)
4. le service de la vie
5. vie économique et monde du travail
6. vivre avec l’Islam
7. pauvretés & solidarités (incluant les personnes âgées)
8. l’accueil dans la vie communautaire (incluant les personnes âgées & la proximité)
9. ressourcement & prière
10. la Parole de Dieu
11. La Nouvelle Évangélisation (incluant le langage, la visibilité & la communication)
12. Vivre le dimanche autrement
Puis le rapport indique :
Que faire des sujets non retenus pour le travail de l’assemblée ? Selon les cas :
o Ils doivent tous être au minimum mentionnés par l’évêque comme ayant été entendus : jeunes & interreligieux ; dialogue interreligieux & oecuménisme ; jeunes & liturgie ; la vie religieuse ; jeunes & solidarités ; relations intergénérationnelles ; autres ; forme extraordinaire du rite (renvoi au Motu Proprio)
C’est bien, c’est mentionné. Et cela restera lettre morte. Il est également dommage que l’important thème de l’enseignement catholique soit passé à la trappe.